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Channel: News - Events Archive - Epitech France
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Project Week 2019 : les gagnants sont lillois !

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Comme chaque année depuis 2013, le Groupe IONIS organise une compétition inter-écoles à l’issue de laquelle un campus est nommé gagnant.

1 000 étudiants, 200 équipes, 8 campus

Le concept est assez simple : 1 000 étudiants sélectionnés parmi les écoles Epitech, E-artsup et l’ISEG travaillent ensemble en petits groupes sur une problématique donnée par l’entreprise partenaire de la Project Week.

 

 

Pour l’édition 2019, c’est FranceTV Publicité qui s’est proposée pour être partenaire de ce concours créatif.

La problématique ?

« Comment rendre les publicités des vidéos en ligne plus attractives pour les internautes qui regardent ces contenus sur le site de FranceTV? »

Effectivement, la plupart des internautes passent la publicité sans vraiment la regarder, et beaucoup ne s’intéressent pas du tout à son contenu. Pourtant, la publicité online est une vraie source de revenus pour France Télévisions.

Imaginer le format publicitaire de demain

Ainsi, le 6 mai dernier, FranceTV Publicité a lancé le projet lors d’une conférence nationale relayée dans les 8 campus créatifs numériques du Groupe IONIS participants à la compétition : Bordeaux, Lille, Lyon, Montpellier, Nantes, Paris, Toulouse et Strasbourg. FranceTV Publicité n’a pas hésité à faire appel à la créativité et l’ingéniosité de ces étudiants faisant partie d’écoles qui dessinent le monde du futur.

 

 

E-Artsup pour la création, le design, et le multimédia ; l’ISEG pour le digital marketing et la communication ; et enfin Epitech pour l’informatique et l’innovation. FranceTV Publicité a donc profité de l’expertise des étudiants de ces écoles pour leur poser la question suivante :

« Quels sont les expériences et formats publicitaires vidéo de demain pour une plateforme digitale telle que France.tv ? »

1 000 étudiants sélectionnés sur leur CV, leur motivation, et leurs expériences passées se sont donc réunis en groupes et ont travaillé intensément pendant 4 jours afin de rendre un dossier contenant des supports de communication, une présentation et des créations graphiques.

Les étudiants d’Epitech garants de l’harmonie technique

Le rôle des étudiants d’Epitech était de veiller à ce que le projet proposé soit techniquement réalisable et viable. Ils étaient les garants d’une harmonie technique, et devaient faire le lien entre la créativité visuelle des étudiants en design, et la créativité des contenus des étudiants en communication.

Mais puisque les étudiants d’Epitech sont aussi formés à la conduite de projets et à la réflexion en groupe, beaucoup se sont également investis dans d’autres missions que celles purement techniques.

La finale chez France Télévisions Publicité

Le 10 mai, les 1 000 étudiants, répartis en 200 équipes dans les 8 campus créatifs du Groupe IONIS, ont pitché face à un jury composé de directeurs et directrices des écoles. Ces derniers, forts de leurs expertises dans les différentes matières, ont choisi un seul projet par région, soit 8 groupes finalistes.

 

Marianne Siproudhis, Directrice Générale de FranceTV Publicité

 

Chaque groupe gagnant a alors eu 9 jours pour prototyper son projet, aidé par les différents coordinateurs pédagogiques des écoles. La grande finale a eu lieu le 27 mai, au siège de FranceTV Publicité à Boulogne-Billancourt devant un jury composé uniquement de personnes issues de FranceTV Publicité :

  • Thomas Luisetti, directeur des produits, opérations et technologies digitales
  • Karl Pilotte, directeur des solutions créatives
  • Elodie Trouilly-Du Penhoat, responsable marketing produit digital
  • Margot Morali, chef de produit Marketing Numérique
  • Elvis Gosselin, Lead Developpeur Web
  • Vincent Salini, directeur commercial numérique
  • Valérie Blondeau, directrice de la communication

Et c’est le campus de Lille qui a remporté cette compétition ! Après deux heures de pitchs par les huit équipes finalistes ; Marianne Siproudhis, Directrice Générale de FranceTV Publicité, a fait un petit discours pour remercier les participants au challenge et réexpliquer l’importance de la vision des étudiants dans la stratégie de FranceTV Publicité. Elle a déclaré :

« FranceTV Publicité est heureuse de soutenir ce concours créatif de jeunes Talents initié par le Groupe IONIS. C’est très enrichissant de puiser nos sources d’inspiration dans la créativité des jeunes générations. Apprentis ingénieurs, marketeurs ou créatifs, ils ont imaginé ensemble la publicité digitale de demain. Félicitations aux étudiants du campus de Lille qui remportent avec leur projet « We Pub », la première place de la Project Week 2019 ! Notre souhait, au-delà de cette expérience, est de poursuivre notre partenariat avec ce groupe d’écoles supérieures dont les étudiants portent un regard pertinent sur les formats numériques de demain. »

Ainsi, en dehors du nom du projet des étudiants du campus de Lille, il est impossible de donner le contenu de leur proposition. FranceTV Publicité a tellement aimé leur projet qu’elle a décidé de continuer à travailler avec ces étudiants et l’entreprise souhaite que tout cela reste confidentiel, tant le milieu de la publicité est concurrentiel.

L’internaute acteur de la publicité en ligne

Le campus parisien est arrivé en deuxième place, et c’est Nantes qui occupe la troisième marche du podium.

Le jury a déclaré avoir choisi le groupe lillois comme grand gagnant car ils ont décidé de rendre les internautes acteurs de la publicité, et plus seulement passifs. Même si les autres groupes n’ont pas été sélectionnés, Marianne Siproudhis a annoncé aux étudiants qu’elle aimerait beaucoup continuer à travailler avec eux en leur proposant des contrats d’alternance ou des postes au sein de FranceTV Publicité.

 

 

L’équipe de Lille quant à elle, a exprimé sa gratitude auprès du jury pour avoir été choisie. Composée de Maxence de GOUY et Célestine GOUBET pour l’ISEG ; Sandra MELONI pour E-artsup et de Théo CAUET, Renaud GILLIERS, Grégoire GONZALES DE LINARES et Lucas ROGER pour Epitech ; l’équipe WE PUB a également remercié chaleureusement Jean-Baptiste Caignaert, le directeur pédagogique d’Epitech Lille, qui a aidé et suivi le projet de A à Z.

Au moment du pitch final, l’équipe lilloise est la seule dont tous les membres sont montés sur scène, avec un nom de projet, et un teeshirt rouge avec leur logo. C’est peut-être l’un des facteurs qui a influencé le choix du jury. Jean-Baptiste Caignaeart lui, pense qu’effectivement, c’est très important de montrer qu’un groupe est uni.

« Surtout, les directeurs pédagogiques des trois écoles ont beaucoup insisté sur l’apport bénéfique de travailler avec des personnes qui ont un parcours différent, explique Jean-Baptiste Caignaert. On les a délocalisés toute la semaine, je pense que c’est la bonne façon de faire. »

Le directeur pédagogique d’Epitech Lille est très fier de ses étudiants, et espère que cette victoire motivera les étudiants de Lille à s’inscrire à la Project Week de l’année prochaine.

 

 

 

 

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La Web@cadémie ouvre à Marseille et Saint-André de La Réunion

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La Web@cadémie est née en 2010 de la volonté conjointe de Zup de Co, l’association de lutte contre le décrochage scolaire, et Epitech, l’école de l’innovation et de l’expertise informatique.

Aider les décrocheurs du système

Le but de cette formation gratuite en informatique est d’aider les décrocheurs du système scolaire ou du système de l’emploi. En effet, chaque année, 100 000 jeunes sortent du système scolaire sans qualification, nombre d’entre eux rêvent de carrières dans le web, mais les formations nécessitent l’obtention du bac. Pourtant, plus de 30 000 postes sont à pourvoir dans les métiers du développement informatique.

Les conditions d’entrée ? avoir 18 ans, c’est tout

Initialement la Web@cadémie était ouverte au 18/25 ans sans le bac. Aujourd’hui, les critères se sont élargis : la Web@cadémie est accessible pour toutes et tous à partir de 18 ans et avec un Bac+2 maximum.

 

 

Actuellement, sept campus d’Epitech accueillent la Web@cadémie : Lille, Lyon, Nancy, Nantes, Paris, Rennes et Strasbourg. Cette année, et c’est la grande nouveauté, les campus de Marseille et de Saint-André de la Réunion bénéficieront eux-aussi de cette formation.

Depuis 2010, 23 promotions, toutes villes confondues, ont été diplômées (dont 11 promotions en cours).

Huit ans plus tard, les résultats sont là :

  • 100% des jeunes certifiés par la Web@cadémie ont retrouvé les chemins de l’intégration.
  • 96 % sont en emploi (dont 30 % en alternance afin de poursuivre leurs études vers un bac +5)
  • 80% en CDI et 15% en auto-entrepreneur ou free-lance
  • 60% sont développeur web, 10% sont chef de projet web, et 10% sont analystes ou consultants pour le web
  • 5% réalisent leurs projets personnels

 

 

Ayant démontré l’employabilité des jeunes sans qualification dans le métier de développeur, la Web@cadémie bénéficie du soutien du Gouvernement dans le cadre des labellisation « La France s’engage », « Grande École du Numérique », « Paris Code » et « Hors les murs » du Campus Région du Numérique.

La Web@cadémie est également reconnue « Organisme Qualité Pôle Emploi » et certifiée « Datadock ».

Enfin, depuis le début de l’année 2019 nous avons obtenu la reconnaissance au titre de niveau III en tant qu’« intégrateur développeur web ».

Une formation gratuite, financée par des bienfaiteurs

Puisque la Web@cadémie est une formation gratuite, ce sont des organisations externes et Epitech qui la financent entièrement.

Cinq ouvertures de campus en 2019

Le campus parisien a été ouvert grâce à l’apport financier Epitech. Les campus de Strasbourg et Nancy ont ouverts respectivement en 2017 et 2018 grâce au Syntec Numérique, Pôle Emploi et la Région Grand Est.

 

 

En avril 2019, ce sont les campus de Lille, Nantes et Rennes qui ouvrent grâce au soutien de la Grande École du Numérique (et surtout grâce à un appel d’offre gagné).

Enfin, en novembre prochain toujours sur le même accord et également grâce à Epitech, ce sont les campus de Marseille et de Saint-André qui ouvrent.

Composition de l’apprentissage

La formation dure 24 mois et est répartie de la manière suivante :

  • 12 mois sont destinés à l’enseignement au sein du campus technologique d’Epitech
  • 12 mois sont destinés à un contrat de professionnalisation en entreprise (3 semaines en entreprise/ 1 semaine en formation)

Alors pour ceux ou celles qui veulent tenter l’aventure de la Web@cadémie, il faut remplir le formulaire pour postuler à la prochaine session de recrutement :

  • Novembre 2019 : Lyon / Nancy / Marseille / Paris (Ambition Féminine) / Saint-André (La Réunion) / Strasbourg
  • Avril 2020 : Lille / Nantes / Paris / Rennes

 

Bonne chance !

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Des étudiants d’Epitech Nice ont gagné un hackathon sur la blockchain et le football

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Cinq étudiants d’Epitech Nice ont participé à un hackathon organisé par Monaco sur la blockchain et le football le 7 mai dernier…et ils l’ont gagné !

Révolutionner la pratique du football

Le but de ce hackathon « Monaco International Blockchain »était d’imaginer une solution en blockchain qui révolutionnerait la pratique du football, le développement des joueurs et l’expérience des fans.

Passionnés de football et de blockchain

Pierre-François Morganti, Andrea Tombarel, Julien Deporte, Alexandre Couzi et Edouard Supper sont les cinq étudiants d’Epitech Nice qui ont participé à ce hackathon monégasque. Passionnés de football et de blockchain, ces étudiants en deuxième année ne s’attendaient pas à ce que ce challenge soit aussi intéressant.

Un challenge organisé à Monaco

« On est amis depuis la première année, on aime beaucoup travailler ensemble, et quand Julien nous a parlé du projet, on a décidé de s’y mettre à fond » raconte Edouard Supper. Julien Deporte est effectivement très intéressé par les technologies de la blockchain. Depuis quelques années, il organise des conférences sur le sujet à Epitech Nice et en dehors.

 

Alors il s’est occupé d’expliquer les grandes lignes de la blockchain à ses quatre amis, et de les acculturer à cette technologie.

Et les Epitech gagnent … !

Alexandre et Andrea sont quant à eux, supporter de football depuis très longtemps. Mais du PSG, pas de l’AS Monaco (chut). Pendant ce hackathon qui a duré 24h à peine, pas besoin de prototype, les participants ont seulement dû réfléchir à des idées concrètes pour améliorer le monde du football.

Crypto-monnaies et échanges de joueurs

Différentes conférences ont été présentées lors de cette journée, organisée par Sébastien Icard, créateur d’une crypto-monnaie appelée Monoeci, qui est utilisée pour des transactions dans la ville de Monaco.

L’équipe d’Epitech était la seule équipe étudiante à participer à ce hackathon, et c’est pourtant bien elle qui l’a remporté !

 

 

L’idée proposée par les étudiants est assez simple : investir les supporters de clubs de football dans la vie des clubs et des joueurs. Chaque équipe de foot et chaque joueur sont représentés par une crypto-monnaie, et chaque supporter peut investir dans ce club ou ce joueur en achetant des parts via la blockchain.

Alexandre précise : « On permet aux supporters de participer à la vie de leur club ou à la carrière d’un joueur. Aujourd’hui, il est possible à n’importe quel supporter de parier sur la réussite d’un joueur mais pas d’investir sur sa carrière ni d’avoir des parts dans un club si le statut du club ne le permet pas ».

Le supporter est actionnaire

Une idée nouvelle qui a visiblement plu à l’auditoire. Cette solution pourrait rendre le supporter acteur d’une réussite, en plus de lui rapporter de l’argent. Ce supporter devient « actionnaire ». Un club de football peut profiter également de cette solution car elle facilitera les échanges avec les supporters et permettra à celui-ci, comme aux joueurs, de compter sur une nouvelle source de revenu..

Grâce à ce hackathon, les étudiants ont également déjà pu avoir des retours sur leur projet. Effectivement, dès la fin de leur pitch, ils ont été approchés par un investisseur américain dans la blockchain qui avait l’air intéressé. « Il nous a donné sa carte en nous disant qu’il gérait des fonds d’investissement dans la blockchain et qu’il voulait nous aider à développer notre idée » s’enthousiasme Pierre-François.

 

 

Pour les cinq étudiants, c’était une première. Le projet a tellement bien plu, qu’ils ont décidé d’en faire un Epitech Innovative Project l’année prochaine car ils ont envie de travailler encore plus sur son exploitation.

« D’ici octobre, on veut qu’un prototype soit prêt, puis on va commencer à mettre en place des partenariats, et se renseigner sur la législation en vigueur » précise Julien.

En gagnant ce challenge, les étudiants ont également gagné des places pour faire une formation d’un an à Alyra, l’école parisienne de la blockchain. Mais ils les ont revendues pour investir dans leur projet l’année prochaine. Et puis, de toutes façons, confirment-ils, « Epitech, c’est mieux » !

Alors bonne chance à eux, et on espère qu’on retrouvera ce projet aux Trophées EIP dans quelques années !

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Colin Cleary : un étudiant passionné et passionnant

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Colin Cleary est étudiant en deuxième année à Epitech Strasbourg, il est fondateur du Google Dev Group de la capitale alsacienne, et il va organiser le 6 novembre prochain le premier DevFest de Strasbourg. Portrait de ce jeune homme ambitieux.

Choisir Epitech pour être libre

Colin Cleary est franco-américain et c’est en participant à un atelier du Coding Club il y a quelques années qu’il a décidé de postuler à Epitech : « J’aimais le fait de pouvoir être libre dans mon agenda et d’avoir l’opportunité de faire plein de choses et de monter des projets ».

 

 

Ce jeune homme de 20 ans est un entrepreneur dans l’âme. A 12 ans, il monte sa propre web radio : « C’est d’ailleurs ce qui m’a poussé à faire du développement informatique, parce que j’ai dû créer tout seul le site web de cette radio » raconte Colin.

Et aujourd’hui à Epitech Strasbourg il est à l’initiative de plein de projets, d’événements et de partenariats. « Il m’est arrivé de foirer parfois, mais c’est comme ça que j’ai appris, explique-t-il, j’aime faire plein de choses et voir où ça mène ». Une philosophie à laquelle Epitech adhère totalement et à laquelle l’école pousse ses étudiants.

Faire toujours plus, ne se contenter de rien.

« Je ne voulais pas être seulement étudiant à Epitech, je voulais profiter du réseau de l’école pour mettre en place des choses » explique Colin Cleary. Alors en mai 2018, avec son ami Thibaut Burckel, il décide d’organiser la première Google I/O Extended de Strasbourg.

 

 

Ces événements sont habituellement organisés par Google à San Francisco. Ils durent trois jours, et permettent à toute personne extérieure à Google de découvrir les dernières sorties du mastodonte américain. Un gros événement pour la planète tech, que les étudiants de 19 ans à l’époque ont envie de dupliquer à Strasbourg. Colin suivait depuis longtemps ces conférences internationales, mais ne pouvant jamais y participer, il a décidé de l’organiser lui-même.

La première Google I/O Extended strasbourgeoise

« On demande l’accord de Google pour utiliser le nom de leur conférence, ils acceptent et il nous reste plus que deux mois pour tout organiser » raconte Colin. Mais les étudiants ne se découragent pas. Avec l’aide d’Epitech, ils font tout de A à Z. « On trouve des personnalités locales pour intervenir, on organise des ateliers de programmation avec de nouveaux langages et de nouvelles technologies ».

110 personnes viennent participer à la première Google I/O Extended strasbourgeoise. Epitech accueille l’événement et a soutenu économiquement toute la logistique. Et comme cette première édition est un vrai succès, les étudiants décident de mettre en place un programme qui proposerait le même type d’événement toute l’année.

Le Google Dev Group de Strasbourg

« Alors je suis tombé sur le GDG : le Google Dev Group, qui est un programme qui regroupe des communautés de développeurs Google localement » raconte Colin. Ce sont des réunions entre développeurs pour apprendre réciproquement des nouvelles techniques.

 

 

La passion pour Google de cet étudiant n’est pas récente. Il explique admirer la capacité du géant américain à innover tout le temps, à être en avance sur tout le monde, à avoir une culture très ouverte, et à sortir des sentiers battus.

La communauté Google

« Il y a une sorte d’esprit Google, et même en dehors de l’entreprise, il existe une vraie communauté » s’enthousiasme Colin. Donc avec Simon Meyer et d’autres étudiants, Colin Cleary monte le premier Google Dev Group alsacien. Et une nouvelle fois c’est un succès !

Tous les deux mois, les étudiants organisent des ateliers et font venir des intervenants à Epitech. Le nombre de participants est croissant au fil des éditions auxquelles des entreprises s’associent à chaque fois.

Le premier DevFest alsacien

Mais les étudiants ne s’arrêtent pas là. Avec leur association du GDG, ils décident de créer un DevFest à Strasbourg. Ces événements rassemblent, dans le monde entier, des développeurs qui travaillent sur des technologies et des logiciels divers. Même si le DevFest est également un programme de Google, il n’y a pas seulement des développeurs Google lors de ces événements qui rassemblent en moyenne 300 participants et plusieurs dizaines de speakers.

 

 

« J’aime beaucoup organiser des événements, j’aime rassembler des gens qui ont des passions en commun et qui ont les mêmes centres d’intérêt, raconte Colin, j’adore voir des gens discuter avec passion alors qu’ils ne se connaissaient pas à l’origine. C’est beaucoup de travail mais c’est très satisfaisant et ça me rend réellement heureux quand ça se passe bien ».

Au-delà de ça, ces événements ont un véritable intérêt pédagogique pour Colin, qui apprend à manager des équipes lors qu’il est dans l’organisation.

« A Epitech, tout est fait pour réaliser nos rêves »

Il précise : « Je ne sais pas si j’aurais monté un GDG si je n’avais pas été chez Epitech parce qu’ils nous aident vraiment dans la logistique et ils nous soutiennent économiquement. Si on a une idée, Epitech est toujours derrière pour nous aider. Tout est fait pour réaliser nos rêves en fait ».

Alors le 6 novembre prochain aura lieu à Strasbourg le premier DevFest d’Alsace. Et tout cela grâce à des étudiants d’Epitech.

Un petit détour par San Francisco

Et parce que tout ça ne suffit pas à Colin, il a été invité avec Simon Meyer à une Google I/O avec tous les organisateurs de GDG du monde pour des sessions networking à San Francisco au siège de Google en mai dernier. « C’était super intéressant, et en plus il y avait 50% de femmes et 50% d’hommes, c’est quelque chose qu’on aimerait bien réussir à faire à Strasbourg à long terme » précise l’étudiant.

 

 

Grâce au billet d’avion payé par Epitech, les deux étudiants ont rencontré sur place tous les organisateurs français, ils se sont donnés des conseils, et ont eu l’opportunité de voir en avant-première les nouvelles technologies sur lesquelles Google travaille en ce moment.

Un événement très prisé du monde de la tech

Une expérience inoubliable pour les deux jeunes hommes car cet événement est très prisé dans le monde de la tech. C’est une récompense méritée pour Colin en tous cas, qui s’est toujours investi dans les projets d’Epitech, et qui a en lui une posture naturelle de leader.

On a hâte de voir ce que cet étudiant de 20 ans deviendra dans quelques années ; lorsqu’Epitech l’aura parfaitement formé techniquement, lui qui a déjà des compétences naturelles d’entrepreneur.

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Epitech Nantes a une nouvelle fois participé au Web2Day édition 2019

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Les 5,6 et 7 juin 2019 a eu lieu le Web2Day, festival emblématique de la ville de Nantes depuis 11 éditions. Comme depuis de nombreuses années, Epitech Nantes et ses étudiants y ont participé.

Une parenthèse dans le monde de la tech

Trois jours pour penser les technologies de demain, c’est le pari que se lance chaque année le festival Web2Day, depuis 11 ans maintenant. « Nous offrons une parenthèse pour reprendre le temps de la rencontre et de l’échange afin d’aborder l’avenir du monde par la tech » : c’est ainsi que les organisateurs présentent le Web2Day sur son site internet.

 

 

On pourrait même dire que la philosophie de ce festival est intimement liée à celle d’Epitech : « Nous n’avons pas peur de critiquer et d’interroger les modèles d’innovation pour faire prendre conscience à chacun de sa responsabilité et de son pouvoir en tant qu’acteur de la tech, à impacter le monde ». Cette phrase résumant le Web2Day synthétise parfaitement le type d’enseignement que nous offrons à nos étudiants. Ainsi, le mariage Epitech X Web2Day se fait tout naturellement.

Un événement au coeur de l’écosystème nantais

Cette année, 7000 participants ont pris part au Web2Day. Entre startups, grosses entreprises, investisseurs et étudiants, on n’a pas eu le temps de s’ennuyer. Une occasion parfaite pour les étudiants d’Epitech Nantes de se faire un réseau et d’être au cœur de l’écosystème nantais.

 

 

Une trentaine d’étudiants d’Epitech ont donc été bénévoles à la billetterie, dans les salles, ou encore sur les stands. Baptiste Le Nedic par exemple, étudiant en deuxième année à Nantes, explique à quel point il a trouvé cet événement génial : « j’ai pu assister à des conférences très intéressantes qui me seront utiles plus tard, et j’ai pu me faire des contacts professionnels et personnels ».

Market, Tech, Entrepreneurship, Society, Work et Design

Effectivement, 200 conférences ont été organisées sur l’île des Machines de Nantes, lieu emblématique de la Préfecture du Pays de la Loire, à travers 6 univers thématiques : Market, Tech, Entrepreneurship, Society, Work et Design. Et c’est quelques 250 speakers de partout dans le monde qui sont venus délivrer leurs messages et échanger autour de ces thématiques.

Simon Guillochon, étudiant en troisième année nous livre son ressenti :

« Le Web2Day a une ambiance spéciale comparée à celle des autres festivals portés sur le numérique. Ce n’est pas aussi énorme que Viva Technology et c’est moins technique que le DevFest mais ça l’est quand même. Le festival offre un mélange ingénieux entre l’entrepreneuriat et les innovations techniques et organisationnelles. C’est l’événement parfait pour échanger avec des professionnels du digital. Cette année, en plus d’être bénévole, j’organisais les bénévoles roadies qui étaient chargés de transporter les speakers de leur lieu d’arrivée au lieu du festival. Ça m’a permis de montrer à de nouveaux bénévoles quelle fête numérique est le Web2Day ! »

Un ancien étudiant d’Epitech Nantes a également eu l’opportunité d’y livrer une conférence. Simon Galet est développeur FullStack en JS Web et Mobile chez The Tribe, une agence nantaise en développement web. Avec Jordan Le Lay, également développeur chez The Tribe, ils ont discuté des technologies utilisées lors d’un développement mobile lors d’un débat intitulé « Flutter ou React Native : comment faire son choix ? ».

 

 

Pour sa onzième édition, le Web2Day a encore une fois fait rêver les participants et les visiteurs dans une ambiance conviviale qu’on lui connaît bien. Sans hésitation, on se dit à l’année prochaine !

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Romain Vermot & Benjamin Chatelain, créateurs de Moneway : « Epitech nous rend adaptables à toute situation »

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En 2018, alors que Romain Vermot et Benjamin Chatelain sont encore étudiants à Epitech Strasbourg, ils se lancent le pari fou de bousculer le monde bancaire, en créant leur propre application : Moneway. Depuis, l’équipe a grandi et a réussi une première levée de fonds impressionnante (1 137 000 euros !), laissant apparaître un prochain succès, auquel la formation Epitech n’est pas étrangère…

Moneway, dépoussiérer le système bancaire français

C’est lors de son année en Angleterre en 2017, que Romain Vermot prend conscience du train de retard du système bancaire français : « À Kent, des notifications m’indiquaient combien je venais de dépenser dans tel magasin, avec son logo et son adresse, alors qu’en France, mon solde mettait encore trois jours à s’actualiser ! » Rapidement rejoint par son comparse Benjamin Chatelain à son retour à Epitech, et par Noémie Nicod, diplomée de l’école de la BSB (Burgundy School of Business), le jeune Doubiste en est convaincu : il y a quelque chose à faire !

À l’école … mais déjà dans l’entreprise !

Tous les deux en cinquième année à Strasbourg, ils en profitent pour mettre sur les rails leur projet, nommé Moneway, contraction de « money » et « way », avec une ambition tout assumée :

 

 

« L’idée était simplement de faire bouger et de révolutionner l’univers bancaire tel que nous le connaissons en France. À partir d’une carte de débit Mastercard reliée à un compte de paiement, toutes les opérations se passent instantanément : on paye, on reçoit une notification, le solde est à jour. Quand on a besoin d’envoyer de l’argent à quelqu’un, pas besoin d’IBAN, simplement de son numéro de téléphone », explique Romain Vermot.

Romain Vermot : « Nous voulions créer quelque chose d’extrêmement simple, ainsi qu’un produit qui répond aux besoins des utilisateurs. »

À l’écoute des utilisateurs

Après une levée de fonds fort concluante (1 137 000 euros !), Romain Vermot et Benjamin Chatelain, ainsi que leur équipe, installée dans le Doubs, viennent de mettre en service la version Bêta de leur application : « C’est encore les tous débuts de l’histoire, la version Bêta lancée le 12 juin est sur le modèle du Minimum Viable Product (MVP), c’est-à-dire qu’elle ne fait que le minimum du minimum : on peut payer, recevoir les notifications et envoyer de l’argent. »

Le but des deux entrepreneurs est bien sûr d’ajouter de nouvelles fonctionnalités par la suite, mais pas n’importe comment : « Nous voulons le faire main dans la main avec l’utilisateur. Il est important qu’il puisse nous apporter son avis, ses retours, afin de produire une application raisonnée », explique Romain Vermot.

Epitech pour apprendre à chercher les informations

Diplômé en 2018, Romain est réaliste : le cursus d’Epitech n’y est pas pour rien dans leur réussite : « L’école nous a très bien formés, nous pouvons lui en être reconnaissants. On nous dit souvent qu’on nous apprend à apprendre, et c’est totalement vrai. Nous connaissions très peu le monde bancaire, mais la formation acquise à Epitech nous a permis d’acquérir les clés de ce monde-là très rapidement. »

 

 

Une opinion largement partagée par son ami, Benjamin Chatelain : « Si l’école n’est pas là pour nous donner les clés de la création d’entreprise, elle nous a appris à chercher et à trouver les informations pour réaliser nos objectifs. »

Epitech, l’intransigeance de l’excellence

Encore fraîchement sortis de l’enceinte de l’école de Strasbourg, les deux anciens étudiants ont encore du mal à réaliser tout ce que l’école leur a apporté : « Toute la communication de l’école est fondée sur le credo : ”Apprendre à apprendre” et pourtant, j’ai été étonné, depuis que je suis sorti de l’école, de la quantité de choses que j’ai pues apprendre par moi-même. », raconte Benjamin.

« Epitech nous rend adaptables »

Quant à Romain Vermot, il a été particulièrement frappé par le niveau d’exigence de l’enseignement fourni, une rigueur tout à fait bénéfique dans le monde professionnel : « On nous apprend à être rigoureux avec nous-même, et finalement, c’est tout ce qui est important dans le monde de l’entreprise. Créer une entreprise, c’est apprendre comment cela fonctionne. Epitech nous a rendus adaptables à chaque situation. »

 

 

Ce niveau d’exigence, ils le demandent à tous leurs collaborateurs, dont bon nombre sont également issus de la formation : « Nous travaillons avec beaucoup de personnes qui sont passées par Epitech. Ce n’est pourtant pas un choix de notre part ! Mais en recrutant quelqu’un d’Epitech, nous sommes certains de ses compétences. »

Romain Vernot : « À Epitech, on nous demande toujours de repousser les limites »

Aux nouveaux entrants, Romain Vermot donne quelques conseils : être passionné d’informatique, mais surtout avoir la volonté d’apprendre par soi-même. « Il faut avoir la volonté de découvrir de nouvelles choses que ce qui sera proposé par le cursus. Il faut repousser les limites, ne jamais se contenter de quelque chose qui nous semble bien. Ce n’est jamais parfait, on peut toujours faire mieux ».

 

 

Quant à ceux qui hésitent, Benjamin Chatelain en est convaincu : « Epitech est l’une des meilleures formations ! Aujourd’hui, dans le monde de l’informatique, les diplômes ne sont pas le plus important. Ce sont vos compétences, ce que vous obtiendrez en travaillant dur à Epitech. »

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La Web@démie et le Samsung Campus obtiennent la reconnaissance de leur formation professionnelle d’Intégrateur – Développeur Web

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La Web@cadémie, formation de deux ans financée par Epitech, des organismes privés et institutionnels ; et le Samsung Campus, intégralement financé par Samsung Electronics France, ont obtenu la reconnaissance du titre d’Intégrateur – Développeur Web au niveau 5, (nomenclature européenne) enregistrée au Répertoire National de Certifications Professionnelles*.

 

 

Qu’est-ce que ça veut dire concrètement ?

Cela signifie que toute personne ayant suivi le cursus de la Web@cadémie, bénéficie d’un titre équivalent à un niveau BAC+2.

La Web@cadémie forme déjà depuis 10 ans toute personne, dès 18 ans, avec ou sans le bac, quel que soit son parcours, au développement web.

Le Samsung Campus, dont le cursus sur le développement web est similaire à celui proposé par la Web@cadémie, gagne de ce fait la reconnaissance du titre obtenue par la Web@cadémie.

Cette reconnaissance garantit également la validité des compétences professionnelles des titrés, ainsi que leur employabilité, et un salaire en conséquence.

Pour en savoir plus sur cette reconnaissance, rendez-vous sur la page du RNCP.

 

Qu’est-ce que cette reconnaissance apporte ?

Un apprenant qui intègre la Web@cadémie ou le Samsung Campus sans avoir obtenu son baccalauréat, décroche à la fin du cursus de 24 mois, un titre équivalent à un niveau BAC+2.

Cette reconnaissance intervient à un moment charnière : la diversification des programmes de l’école de référence en informatique et en innovation, Epitech. Il est donc possible à toute personne titrée de la Web@cadémie ou du Samsung Campus de poursuivre ses études directement au sein du programme historique en cinq ans d’Epitech, soit au sein du cursus MSc Pro.

 

 

Une bonne nouvelle pour tous les anciens et futurs apprenants, car si la reconnaissance n’arrive que maintenant, elle est également rétroactive, et toute personne titrée depuis 2012 bénéficie automatiquement de l’enregistrement de son titre !

Construire son futur à la Web@cadémie et le Samsung Campus

À la Web@cadémie, 96% des certifiés sont en emploi dont 80% en CDI/CDD pour un salaire moyen de 32k / an, tandis que 99% de la totalité des apprenants sont très satisfaits de leur apprentissage.

Au Samsung Campus, plus de 80% des apprenants titrés ont trouvé un emploi en seulement quelques semaines pour un salaire annuel moyen de 35.000 euros. Environ 15% d’entre eux ont fait le choix de poursuivre leurs études, visant une spécialisation ou l’obtention d’un Master.

 

 

Désormais, ce sera encore plus facile pour eux avec un niveau équivalent à BAC+2. (Comme si ils en avaient besoin pour trouver du travail 😉 )

Cette reconnaissance est un véritable sésame pour les titrés de ces deux formations : ils vont désormais pouvoir continuer leurs études, être reconnus par les professionnels du secteur, et voir leurs capacités techniques attestées devant l’État.

 

* Titre d’intégrateur – développeur web, code NSF 326t, certification professionnelle de niveau 5 enregistrée par arrêté du 11/12/2018 publié au J.O le 18/12/2018

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Au MIT Hacking Medicine « Le Grand Hack », les Epitech raflent les premiers prix !

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Le Grand Hack, c’est un hackathon sur un week-end organisé par le MIT Hacking Medicine, Les Cartésiens et l’AMPS. Ils ont choisi le campus d’Epitech Paris pour organiser l’événement pour une première en France. Les participants sont issus de domaines très différents : docteurs, jeunes chercheurs, professionnels de la santé, ingénieurs, designers, business développeurs …

 

 

Les étudiants d’Epitech ont particulièrement performés sur ce hackathon, puisque parmi les 8 prix décernés par le jury, ils ont fait partie de 3 équipes gagnantes. Autrement dit, parmi les 250 participants au hackathon, les Epitech étaient à peine une vingtaine, et 8 d’entre eux ont raflé des prix.

Epitech en tête

Basile Lamarque est étudiant en deuxième année à Epitech Paris, il faisait partie des plus jeunes participants, il a gagné avec son équipe le premier prix en « Santé mentale », et nous raconte l’expérience qu’il a vécue.

Tout a commencé le vendredi 21 juin à 18H30 sur le Campus d’Epitech Paris. Les organisateurs lancent le hackathon avec un amphithéâtre pour présenter tous les intervenants du milieu de la médecine, les porteurs de projets, des grosses entreprises dans le secteur du médical, et des représentants d’incubateurs de startups.

Science, Santé, Société

Ce hackathon, sous les thèmes de la Science, la Santé et la Société, était divisé en trois axes de travail : la cancérologie, les maladies mentales, et la santé publique.

 

 

Les 300 participants, tous experts dans un domaine, ont été divisés de manière aléatoire dans l’une de ces trois thématiques.

« J’aurais pu venir en équipe, avec des gens que je connaissais, mais j’ai décidé d’y aller seul pour rencontrer du monde, travailler avec d’autres corps de métiers, et des experts dans des domaines que je ne connais pas, explique Basile, après tout, la multidisciplinarité c’est le propre d’un hackathon ! »

Le jeune développeur s’est retrouvé classé dans la thématique « Santé publique » et il y a retrouvé deux autres étudiants d’Epitech : Grégoire et Adam.

Le campus d’Epitech Paris en ébullition

Après ça, tout le monde a partagé un grand repas sur la terrasse du campus d’Epitech Paris. « C’était super de rencontrer les participants de cette manière-là, raconte Basile, j’ai même rencontré un mec qui venait d’Hawaii juste pour participer à ce hackathon ! »

250 participants, une quarantaine de groupes, 3 thèmes

Réunis dans trois salles différentes, les trois groupes de 100 personnes se sont dispersés sur le campus d’Epitech Paris. « Ensuite, ceux qui étaient venus avec des idées de projet d’innovation à faire dans la santé, pouvaient se lever et pitcher des idées ». En « Santé mentale », 17 personnes se sont levées avec des idées surtout autours de problématiques de dépression, de stress post traumatique, et du rythme du sommeil.

 

 

Basile, Grégoire et Adam ont été bluffés par le pitch de Déborah, une doctoresse spécialisée en neurologie, qui a suivi un programme d’HEC pendant un an. Elle voulait bosser sur les infirmiers et infirmières qui travaillent la nuit et dont le rythme du sommeil est perturbé.

Des groupes diversifiés

« Elle a tellement bien parlé de son projet qu’on est allé la voir pour lui demander de travailler avec elle », Déborah accepte et le petit groupe est vite rejoint par François-Xavier, étudiant en école de commerce, et Juliette, une autre doctoresse spécialisée dans la neurologie et l’étude du cerveau elle aussi, qui venait de finir une thèse.

« Bref, que des personnes super intéressantes, commente Basile, et pour souder le groupe (et comme c’était la fête de la musique), on leur a proposé d’aller boire un verre dans un bar à côté du campus d’Epitech qu’on connaît bien ».

Mais pas question de traîner, puisque le lendemain à 8h commence la véritable phase de réflexion du hackathon.

Brainstormer : la base du hackathon

« Afin de réfléchir correctement à la manière de traiter le sujet, on a utilisé le système des post-it » explique Basile. Exercice souvent réalisé pendant les hackathons, il s’agit pour les membres d’un groupe d’écrire sur des post-its des idées. Puis, toute l’équipe élimine un à un les sujets soit trop ambitieux, soit non réalisables. Ils sont partis sur une application mobile qui aiderait les infirmiers travaillant de nuit à gérer leur cycle de sommeil.

Une application pour gérer les cycles du sommeil

En se connectant à l’application, l’utilisateur doit répondre à quelques questions sur son poids, sa taille, son âge, le sport qu’il pratique ; et il doit jouer à un jeu de réflexe afin de mesurer ses capacités cognitives. Grâce aux données recensées par l’application et grâce aux connaissances des médecins du groupe, l’application est en mesure de proposer les horaires optimaux de coucher et de lever.

 

 

« C’est là qu’on a vu la différence entre les ingénieurs et les étudiants d’Epitech, raconte Basile. On nous répète que pour travailler sur quelque chose, on a absolument besoin de données. Les autres membres du groupe proposaient de faire des formulaires pour récupérer des informations, et nous on a plutôt proposé de rendre l’application interactive grâce à des questions et des jeux. Et puis, avec la géolocalisation et le système d’information qui fait qu’on peut récupérer des informations internes d’utilisation, ça nous fait déjà de bonnes données ».

Tous compétents et complémentaires

Également, l’expertise technique des étudiants d’Epitech leur a permis de rendre l’application optimale. De l’autre côté, les médecins avaient de grandes connaissances tandis que les commerciaux avaient de superbes idées sur le business plan, le modèle économique etc… Un groupe bien diversifié qui a su jouer des compétences de ses membres. « Nous les tech, on était capables de récupérer les données, et eux de les traiter : on était hyper complémentaires » s’enthousiasme Basile.

À la fin de la première journée, l’équipe était d’accord sur tout et savait sur quoi travailler. « On a commencé à développer l’application et on s’est délibérément orientés vers des technologies qu’on ne connaissait pas, car de notre point de vue, un hackathon c’est fait pour innover et apprendre des choses » raconte Basile.

Miser sur l’expertise technique

Le lendemain, il fallait avoir rendu les slides du projet pour midi, afin de présenter le projet à 13H devant le jury. L’étudiant en deuxième année raconte : « on avait bien réfléchi à ce qu’on voulait transmettre pendant cette présentation : on voulait avoir fini de développer l’application afin que les jurés puissent l’utiliser. On voulait miser sur cette expertise technique que les autres groupes n’avaient pas ».

 

 

Côté pitchs, tout était très réglé : 3 minutes de présentation, 2 minutes de questions, 11 groupes. Beaucoup avaient un POC (Proof of Concept), d’autres avaient fait des captures d’écran, d’autres encore avaient fait un véritable travail scientifique. Lorsque Basile et son équipe présentent le projet, leur application ne bug pas, ils présentent leur plan d’action, expliquent leur raisonnement et leur travail.

Et les grands gagnants sont … !

À 18h de ce dimanche 23 juin, les 250 participants sont réunis dans le grand amphithéâtre du campus d’Epitech Paris. L’incubateur Paris & Co, dont l’un des membres faisait partie du jury, a décerné deux prix à deux groupes, l’un dans la thématique « Santé Mentale », l’autre dans la thématique « Santé Publique ». Ces groupes ont remporté des places dans l’un des incubateurs les plus prisés de France.

Puis, venait le tour des grands prix par axe de travail, et c’est là que les étudiants d’Epitech ont raflé 3 des 6 prix décernés.

Parmi les 6 prix décernés, 8 étudiants à Epitech

Dans la catégorie « Cancérologie », la première place a été remporté par un groupe dont deux étudiants d’Epitech en troisième année faisaient partie. Ils ont gagné 750 euros à se partager, ainsi que 4 mois de formation soit à HEC, soit à Polytechnique.

 

 

Dans la catégorie « Santé Publique », la deuxième place a également été remportée par un groupe dont deux étudiants d’Epitech faisaient partie. Ils ont gagné 500 euros à se partager.

Enfin, dans la catégorie « Santé Mentale », c’est l’équipe de Basile, Grégoire, Adam, Juliette, Déborah et François-Xavier qui a remporté la première place avec leur application Shifters. Tandis que la deuxième place a également été remportée par un groupe de travail dont faisait partie un étudiant d’Epitech en 2ème année.

Une superbe expérience

En gagnant lui aussi la première place, Basile hésite à faire sa formation à HEC ou Polytechnique. Gagner la première place d’un hackathon aussi prestigieux, surtout quand c’est la première fois qu’il participe à un concours dans ce style, n’est pas donné à tout le monde ! Mais Basile garde les pieds sur terre :

« Même si on n’avait rien gagné, on a quand même passé un super moment ».

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Marine Grillot change de vie grâce à Epitech

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Après quatre ans comme freelance dans la production audiovisuelle, Marine Grillot était à la recherche de stabilité professionnelle. S’orienter vers l’informatique puis vers la Web@cadémie d’Epitech était pour elle un choix naturel et raisonné. Portrait de cette jeune trentenaire réfléchie et motivée.

Marine Grillot Web@cadémie Epitech

Après une licence en économie à Assas et une licence professionnelle en production cinématographique aux Gobelins, Marine Grillot travaille pendant quatre ans dans la production audiovisuelle.

Chercher la voie de l’épanouissement

Mais Marine doit se rendre à l’évidence : cette profession ne lui permet pas de s’épanouir… La précarité, l’instabilité professionnelle la stressent et l’angoissent.

« Je travaillais essentiellement en tant que freelance, sur des formats courts, des clips ou des publicités. Un tel projet m’occupait entre une semaine et un mois, mais après, c’était l’incertitude, je ne savais pas ce que j’allais faire. Mon métier m’apportait un stress galvanisant, mais l’incertitude de quoi demain sera fait m’angoissait. Je n’étais pas heureuse, il fallait prendre une décision ».

Malgré une situation financière plutôt confortable, un cursus scolaire exemplaire et quatre d’expérience professionnelle, la jeune femme se rend à l’évidence et décide de changer de direction.

Être pragmatique, et choisir l’informatique

Changer de métier, certainement, mais pour faire quoi ? Là encore, Marine fait preuve de pragmatisme : « j’ai été assez cartésienne, en cherchant la filière où il y avait de l’emploi, des salaires intéressants et où le fait d’être une femme pourrait se transformer en avantage ».

Elle se souvient d’avoir aimé programmer des petits outils pour faciliter son quotidien lors de sa carrière dans la production. C’est ainsi que l’idée se fraie un chemin dans son esprit : et si elle travaillait dans l’informatique ?

« Je n’y connaissais quasiment rien, hormis un semestre à Assas sur le langage C++ et les quelques outils que j’avais programmé en VBA Excel lors de ma période de freelance. Mais autant dire que j’étais assez loin du code ».

Malgré son inexpérience, elle reste convaincue de son choix.

Epitech, le choix naturel

Très vite, alors qu’elle expose son projet de reconversion, sa conseillère Pôle Emploi lui parle de la Web@cadémie, formation pour laquelle Marine Grillot serait toute indiquée.

« J’ai été très bien conseillée. Elle venait de suivre une journée d’information sur la Web@cadémie d’Epitech. La formation semblait parfaite pour moi, jusqu’à la date de début, en septembre ! »

 

 

Le discours de l’ancienne directrice de la Web@cadémie finit de convaincre la jeune trentenaire qu’elle prend la bonne décision.

Eviter l’homogénéité de l’IA

« Elle m’avait fait remarquer que beaucoup de programmes en intelligence artificielle étaient programmés par une grande majorité d’hommes. De fait, les IA tendent à penser comme des hommes, et non pas comme des humains. Cela m’a permis de me rendre compte que je voulais vraiment apprendre à programmer ».

Finalement, la jeune femme est tellement enthousiasmée par la formation proposée par Epitech qu’elle se renseigne à peine sur d’autres écoles.

La Web@cadémie : que des avantages

Plusieurs aspects de la formation ont su séduire la jeune femme. Tout d’abord, la dimension financière.

 

Les apprenants de la Web@cadémie prototypent leurs idées dans le Hub Innovation d'Epitech

 

« J’avais la possibilité de garder mes indemnités chômage pendant la première année de ma formation. La seconde année en contrat professionnel permettait également de continuer à toucher un revenu. De plus, ce contrat professionnel ne présentait pour moi que des avantages : en plus du revenu, il me permettait d’acquérir une expérience professionnelle, gros atout pour s’assurer un emploi par la suite. »

La pédagogie par projets pour apprendre facilement

Outre ces avantages, Marine Grillot a très vite été convaincue par la pédagogie de l’école : « Apprendre en faisant des projets, apprendre par soi-même, et non pas lors de grands cours magistraux. Même avec le recul que j’ai aujourd’hui, je trouve que les projets sont bien adaptés à la formation. L’équipe pédagogique répond toujours présente, elle est là pour nous soutenir. »

 

 

C’est ainsi qu’en septembre 2018, Marine Grillot prend sa place dans la promotion d’Epitech « Web@cadémie Ambition féminine », composée à 80% de filles.

Une formation exigeante

Les premières journées de Piscine sont difficiles et marquent l’esprit de la jeune femme : « Je n’y connaissais presque rien en informatique. Le début a donc été très intense, il faut bien l’avouer ! Surtout les premiers jours. Mais au fur et à mesure des jours, des projets, je me suis rendue compte que c’était de plus en plus facile, que j’avais progressé très rapidement. »

La première année de la Web@cadémie se concentre sur l’apprentissage de langages informatiques communs, mais assez différents, comme par exemple JavaScript. Le but est d’apprendre les bases le plus rapidement possible. En deuxième année, on peut donc se concentrer sur des nouveaux langages spécifiques à des projets. Pour la jeune femme, la pédagogie de l’école a été un facteur déclenchant dans son envie de passer la porte d’Epitech.

 

 

Deux ans plus tard, avec un peu plus de recul, elle reste convaincue de son bien-fondé : « Je rentre dans l’école avec une connaissance plus que basique en code et en programmation. Au bout d’un an, j’arrive en entreprise, je commence un tout nouveau langage que je n’avais pas du tout vu pendant la formation et au final, Epitech m’a donné toutes les bases pour que je puisse m’en sortir et que je puisse apprendre quelque chose de nouveau. »

Être une femme dans un univers masculin

La décision de Marine de tenter une carrière dans l’informatique était aussi lié à sa volonté de faire de son sexe un atout.

Dans cet univers masculin, le simple fait d’être une femme lui permettait de se démarquer, que son CV marque les esprits.

« Je n’ai jamais eu l’impression qu’être une femme ait été un problème. » Pourtant, elle s’est demandée pourquoi les femmes sont si peu nombreuses à passer les murs de l’école.

« Je ne sais pas si cela se vérifie, mais j’ai fait un bac S, et, même si j’avais une idée bien précise de ce que je voulais faire, à aucun moment on ne m’a parlé de faire un métier dans l’informatique. Ensuite, beaucoup de garçons viennent à faire une carrière dans l’informatique grâce aux jeux-vidéos. Cela semble couler plus de source pour eux, ils commencent à faire un peu de programmation comme cela, et c’est moins le cas des femmes. »

Pour autant, au cours de ses différents entretiens, Marine n’a jamais eu l’impression que le fait qu’elle soit une femme soit jugé positivement comme négativement.

« Bien sûr, je ne peux pas vous dire ce qui se serait passé si j’avais été un homme, mais je pense que cela se joue beaucoup au feeling ».

Le dilemme : assurer son futur ou accepter un poste ?

Aujourd’hui en fin de contrat professionnel chez AFILIZA pour valider son « titre d’Intégrateur – développeur web », Marine Grillot s’est vu proposer un poste en CDI dans son entreprise.

 

 

Pour autant, elle était jusqu’à présent convaincue de vouloir poursuivre sa formation en Master, en suivant la formation MSc Pro dispensée par Epitech. Si cette formation est intégrable normalement à la suite d’une remise à niveau, la titre de niveau Bac+2 de la Web@cadémie lui permet de passer directement en première année de master.

« J’avais très envie de continuer en Master, car j’avais peur que, sans ce diplôme, je me retrouve bloquée dans mon ascension professionnelle dans quelques années. Je vois beaucoup d’offres d’emplois demandant un bac +5. Cependant, je me sens tellement bien dans mon entreprise que j’ai choisi de prendre ce risque »

Après deux ans de formation, il semble donc que Marine ait enfin trouvé la stabilité professionnelle qu’elle recherchait.

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Guillaume Prévost, à la recherche de l’excellence  

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Guillaume Prévost est entré à Epitech Toulouse en 2009, à la recherche d’un parcours d’excellence, après quelques années dans une école d’informatique à Pau. Dix ans après ce choix, aucun doute, son parcours a de quoi impressionner : Toulouse, Australie, puis tour du monde de deux ans, le jeune homme de trente-et-un ans avait la bougeotte. Aujourd’hui, il monte avec des amis baroudeurs leur start-up : Friend Theory.

S’élever plus haut que les autres

Après deux ans dans une école de Pau, d’où il est originaire, Guillaume Prévost ainsi que plusieurs amis doivent se rendre à l’évidence : si les cours sont intéressants, ils ne se sentent pas repoussés dans leurs retranchements par l’équipe éducative.

 

 

Ils se mettent donc en quête d’une école qui saura leur en demander toujours davantage, qui les mettra vraiment en difficulté et saura les élever plus haut que les autres. Guillaume est vite séduit par Epitech, et rejoint le campus de Toulouse en septembre 2009. Sur les bancs, il a la surprise de constater qu’il n’a pas été le seul à parvenir à ce constat : « Je suis arrivé dans une toute petite promotion de Tek3 S, nous étions seulement douze. Mais sur ces douze, j’ai reconnu trois ou quatre visages familiers ! »

Une première année intense

L’arrivée au sein d’Epitech est toujours une épreuve pour les nouveaux entrants, et Guillaume Prévost ne saurait faire exception. Cependant, cette situation difficile resserre les liens entre les différents étudiants de la promotion : « Le parallèle est peut-être tiré par les cheveux, mais je comparerais cette situation à celles des forces spéciales : les difficultés sont tellement grandes, que nous n’avons pas d’autres choix que de nous serrer les coudes ».

 

 

La première année du jeune sudiste se complique d’autant plus qu’il décide de partir pour une année d’échange à Melbourne, où les cours commencent début juillet : « J’ai dû accélérer mes projets encore davantage. J’ai fini en France le vendredi pour commencer dès le lundi en Australie ! »

L’Australie, une terre d’opportunités

Malgré cet enchaînement rapide, la formation d’Epitech aide le jeune homme à réussir son arrivée sans encombre : « J’étais très bien préparé. J’avais choisi ce pays pour les cours proposés, très orientés vers l’Intelligence Artificielle, dont on entendait encore peu parler à l’époque. Et puis l’exotisme d’aller à l’autre bout du monde a très certainement joué également » ajoute-t-il en riant.

Retour en France

L’année en Australie achevée, il rentre en France pour y terminer son master. Il partage alors son temps entre les cours à Paris et son part-time à Pau, dans une société de service informatique, où il travaille notamment pour Total.

 

 

Il donne aussi beaucoup d’importance à son EIP, pour lequel il est chef de projet : « Nous travaillions sur la réalité augmentée. L’idée était de recréer des bâtiments ou des modèles 3D, de les placer quelque part dans le plan réel et de les visualiser grâce aux lunettes de réalité virtuelle, afin de pouvoir se déplacer autour. »

Avec des partenaires aux quatre coins du monde, le jeune homme se rend compte de la difficulté de mener le projet à bien. En 2011, ils sont sélectionnés pour participer à l’Imagine Cup, organisée par Microsoft. S’ils ne remportent pas de prix, Guillaume Prevost est réjoui par cette expérience, qui lui a permis de s’améliorer en compétition.

Un début de carrière sous le soleil australien

En octobre 2012, après ses derniers examens à Epitech, Guillaume choisit de repartir en Australie où il trouve un emploi dans l’université qui l’avait accueillie quelques années auparavant, RMIT. Il partage son temps entre des activités de recherche et de gestion de projets. « J’ai principalement travaillé sur des projets concernant le réchauffement climatique, ce qui me tenait beaucoup à cœur, après avoir travaillé pour Total ! » Là-bas, il élargit son horizon, en progressant en informatique, mais aussi en physique, en sciences sociales…

« Avant cette expérience, j’étais très focalisé sur la technologie. Mais m’intéresser au réchauffement climatique m’a permis d’apprendre la physique, ou encore les sciences sociales ! »

Découvrir le monde

Son contrat s’arrête cependant en juin 2014, et le jeune homme choisit de ne pas le reconduire, avec une idée bien précise en tête : voyager. En deux ans de travail, il a économisé suffisamment pour partir pendant au moins six mois : « Je n’avais aucun autre objectif que de découvrir le monde. Je voulais utiliser une partie de mes économies, mais je refusais de prendre un contrat de travail, même à mi-temps. Je comptais partir six mois, je ne suis finalement revenu qu’au bout de deux ans, en ayant visité une vingtaine de pays. »

Une exemplarité certaine

Après autant de voyages, Guillaume ressent à nouveau l’envie de se poser, et retourne dans son pays adoptif. Là-bas, son ancien employeur est ravi de le retrouver et lui offre un poste avec davantage de responsabilités : « Il m’avait dit lors de mon départ qu’il était très satisfait de mon travail et que, par conséquent, je pouvais revenir quand je le souhaitais. »

Voler de ses propres ailes

Finalement, en 2018, le jeune homme se lance un nouveau défi : lancer sa propre entreprise avec deux amis espagnols, rencontrés en Australie.

Le trio est très complémentaire : Guillaume gère l’informatique, quand le deuxième gère le marketing et le dernier le volet finance. Leur objectif est alors de créer une application permettant aux voyageurs de trouver des personnes de confiance autour d’eux. « Au départ, le but était de relier les gens pour qu’ils trouvent plus facilement des logements sur place. »

 

 

Pour tester leur concept, Guillaume part pendant une trentaine de jours dans plusieurs pays, avec un budget sur place équivalent à 0 euros, mais en ayant accès au prototype de leur application. Et il relève le défi avec brio dans des pays tels que le Japon, le Mexique ou encore Hawaï.

Suivre le vent

Cependant, le trio se rend rapidement compte qu’il doit légèrement modifier leur objectif : « Travailler uniquement sur le logement était finalement assez compliqué. Cela demande un haut niveau de confiance que d’ouvrir sa porte à un inconnu.

Nous avons donc décidé de créer un système d’aide plus général, en visant la génération de voyageurs âgée de 18 à 25 ans. Nous voulons donc proposer une alternative aux groupes Facebook, quelque chose de plus fun et de plus direct. Nous nous sommes aussi détachés de l’idée de relier des personnes à leurs amis ou des amis d’amis, et plutôt d’essayer de fonctionner par centres d’intérêt. »

Friend Theory

C’est comme cela que naît Friend Theory en 2018, en prenant la forme d’un site internet, mais aussi d’une application disponible sur iOs ou Android. Aujourd’hui, ils sont neuf autour du monde à prendre part à l’aventure.

 

 

Car ici encore, l’aventure de Guillaume est cosmopolite : après avoir créé leur entreprise en Australie, ils sont repérés par le gouvernement pour être « landing pads », un programme permettant aux entreprises australiennes de déménager pour un certain temps dans des grandes villes mondiales, afin d’y nouer des relations pouvant aider leur développement. C’est ainsi que Friend Theory s’implante pour quelques mois à Tel Aviv.

Retour en Europe

Aujourd’hui, leur but est cependant d’essayer de réunir au maximum leur équipe, pour le moment dispatchée dans le monde entier. « L’endroit idéal semble être Barcelone, nous cherchons donc à nous y établir » explique Guillaume.

Habitué à mener des projets avec des collaborateurs depuis son EIP à Epitech, le jeune homme de trente-et-un ans installé pour le moment à Perpignan est serein.

Epitech, pour un futur serein

Cette sérénité qui transpire de son discours, il la doit selon lui à Epitech. L’école a joué beaucoup de rôles, et il en est convaincu : il n’en serait pas là sans elle.

« La formation m’a permis de prendre confiance en mes compétences, mais m’a aussi offert la capacité d’apprendre par moi-même. Rien que l’an dernier, j’ai appris deux langages informatiques ! »

Ces facultés d’apprentissage sont selon lui développées grâce aux situations dans lesquelles sont plongés les étudiants : « Nous n’avons pas le choix, nous devons trouver les solutions par nous-mêmes et nous aider les uns les autres ».

Epitech, l’employabilité boostée

L’école permet également à Guillaume d’être confiant dans son futur, alors même qu’il se lance dans l’aventure risquée de monter sa propre start-up : « Je sais que, même si cela échoue, je n’aurais aucun problème pour trouver un poste intéressant. Du coup, je profite véritablement de mon aventure… »

 

 

Qui pourrait trouver plus belle conclusion ?

 

(toutes les photos sont de Guillaume Prévost, qui, en plus de ses nombreux talents, est un photographe plutôt doué…)

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La Web@cadémie reçoit la médaille « le Sceau des Nautes » de la Ville de Paris

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Chaque année, la Ville de Paris distingue des associations parisiennes en leur offrant la médaille « Le Sceau des Nautes ». Pour la première fois depuis ses 9 ans d’existence, la formation d’Epitech la Web@cadémie a reçu cette distinction de la part de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, ce mardi 16 juillet 2019.

 

 

« Vous êtes 65 000 associations à Paris a participer à la vie démocratique locale, et nous voulions vous remercier » a déclaré Anne Hidalgo, la Maire de Paris.

Parmi toutes ces associations, seulement quelques unes ont reçu la distinction du Sceau des Nautes. Ce sont celles qui sont engagées, qui sont essentielles pour le lien social, ce sont le organismes qui participent à la vie citoyenne.

Alors c’est tout naturellement que la Web@cadémie reçoit cette médaille.

Cette distinction de la Ville de Paris arrive à un moment charnière

  • La première promotion de la Web@cadémie « Ambition Féminine » a été titrée en octobre 2018.
  • Cette promotion avait été co-financée par Epitech et Paris Code, un dispositif de la Ville de Paris qui promouvoit les formations du numérique de la Ville de Paris.

Mais ce n’est pas tout !

  • La Web@cadémie est également labellisée « Grande École du Numérique » depuis 2016 pour son campus de Paris, et depuis, chaque nouvelle ouverture de campus répond à des appels à projets, qui à chaque fois, obtiennent également la labellisation.
  • Enfin, fin 2018, la Web@cadémie a obtenu la reconnaissance du titre d’Intégrateur – Développeur Web au niveau 5, (nomenclature européenne) enregistrée au Répertoire National de Certifications Professionnelles.

 

 

Tout ces distinctions, reconnaissances, et labellisations sont la démonstration d’une formation en développement web qui a fait ses preuves.

Des résultats probants

À la Web@cadémie, 96% des certifiés sont en emploi dont 80% en CDI/CDD pour un salaire moyen de 32k / an, tandis que 99% de la totalité des apprenants sont très satisfaits de leur apprentissage.

Cette expertise s’appuie sur l’application de la pédagogie d’Epitech aux apprenants de la Web@cadémie. Une pédagogie dont l’efficacité n’est plus à prouver puisque les diplômés d’Epitech sont très recherchés par les grandes entreprises.

« Vous nous rendez fiers de Paris » : c’est de cette manière que la Maire de Paris Anne Hidalgo, a terminé son discours de remerciement, s’adressant aux entreprises distinguées par cette médaille de la Ville de Paris.

Merci à vous madame La Maire et longue vie à la Web@cadémie ! 

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Hackathon de La Redoute, des étudiants d’Epitech Lille primés !

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Le 7 juin 2019 se tenait un hackathon organisé par La Redoute. Les étudiants en troisième année d’Epitech Lille y ont été largement récompensés. Le Prix Business a ainsi été remporté par Sofian Delalay et Corentin Lepetit. Valentin Maeght et Jonathan Lefebvre sont quant à eux repartis avec le Prix Coup de Cœur. Retour sur cet événement.

 

 

Le 7 juin 2019, des étudiants d’Epitech et de l’école de commerce IÉSEG (membre du Groupe IONIS) avaient rendez-vous dans les entrepôts de La Redoute, pour un événement un peu spécial : un hackathon organisé par la célèbre marque de vente de vêtements à distance.

L’objectif de ces hackathons est de favoriser la collaboration inter-écoles et d’acculturer les étudiants d’Epitech à des façons de penser qu’ils ne connaissent pas.

Une journée en deux temps

La journée était divisée en deux temps et commençait par une présentation de l’entreprise, puis une visite du site logistique. L’occasion pour les participants de découvrir les entrepôts de la firme, et le fonctionnement d’un système de livraison.

Une première pour de nombreux étudiants ; à l’image de Valentin Maeght, en troisième année à Epitech. Il raconte : « La visite des entrepôts de La Redoute m’a fortement intéressée, comme c’était la première fois que je découvrais un tel endroit. »

Si cette visite avait pour but d’attiser la curiosité des participants, elle avait également un but pratique : les préparer pour l’épreuve de l’après-midi. « Nous avons pu assister au processus de réception de commande, d’envoi, etc. Cela nous a permis d’avoir une vision plus “réaliste” du système et donc d’apporter des solutions concrètes » analyse Valentin Maeght.

Un avis partagé par son camarade Corentin Lepetit : « La visite des locaux et des entrepôts de La Redoute nous a permis de mieux nous situer et ainsi, de réaliser un projet réaliste. »

Améliorer la relation client

Après la visite et le déjeuner, les étudiants se sont donc mis au travail. L’objectif ? Proposer une solution à une problématique donnée par l’entreprise, à savoir améliorer la relation client.

 

 

Quatre étudiants du campus lillois d’Epitech s’y sont particulièrement illustrés : Valentin Maeght et Jonathan Lefebvre ont remporté le Prix Coup de Cœur, et Corentin Lepetit et Sofian Delalay ont reçu quant à eux le Prix Business.

Suivre son colis, tout le temps !

Valentin Maeght et Jonathan Lefevbre ont développé, en partenariat avec des étudiants de l’IÉSEG, un système de suivi de colis par étape.

« Grâce à la présentation de l’entreprise, nous avons remarqué que le suivi des commandes du point de vue des utilisateurs était très limité, même si les informations étaient conservées dans la base de données. Nous avons donc décidé de régler ce problème en développant un système qui permet au client de suivre à chaque instant sa commande »

expliquent les étudiants en troisième année.

iChoose, une collecte de données intelligente

De leur côté, Corentin Lepetit et Sofian Delalay, récompensé du Prix Business, ont proposé iChoose, un système de collecte de données intelligent.

Ils expliquent :

« Il s’agit d’un système de connexion similaire à Facebook ou encore aux connexions classiques proposées sur les sites. La différence est qu’iChoose stocke des infos personnelles avec le consentement de l’utilisateur, mais seulement des données qui seront utiles. Là où Facebook va conserver et vendre votre date de naissance ou encore vos amis, iChoose va fournir à La Redoute votre taille, couleur préférée ou encore vos goûts, ce qui va permettre à leur permettre ensuite de vous proposer un site ciblé de manière optimale. »

Les raisons du succès

Pour Jonathan, leur projet a été repéré grâce au prototype qu’ils ont présenté : « Selon moi, nous avons bien répondu à la problématique de l’amélioration de l’expérience client, mais ce qui a fait une grande différence est que nous étions l’un des seuls groupes à proposer un prototype. Cela a permis de convaincre le jury que c’est une solution qui est possible à mettre en place et assez rapidement. »

 

 

Pour son coéquipier Valentin, la présence des étudiants en école de commerce leur a aussi été bénéfique : « Le prototype que nous avions conçu a beaucoup joué, mais nous avons aussi été récompensés grâce aux talents d’orateur et aux explications claires de nos camarades de l’IÉSEG ».

Une occasion en or

L’inscription à l’événement était totalement facultative, même si valorisée ; mais pour beaucoup d’étudiants, c’était l’occasion de voir en quoi les compétences acquises au sein de l’école peuvent leur permettre de relever des défis professionnels, comme l’explique Jonathan Lefebvre.

« Avec mon ami Valentin Maeght, nous avons décidé de nous inscrire au Hackathon de La Redoute afin de découvrir les installations de cette entreprise, mais aussi comment nous pouvions appliquer nos connaissances et notre point de vue dans le monde de l’entreprise. »

Collaborer avec d’autres écoles

Le hackathon est aussi souvent l’occasion de travailler avec des étudiants venus d’autres horizons, et donc de découvrir d’autres façons de travailler, afin de se préparer au mieux à la vie professionnelle.

« C’est obligatoire au moins une fois pendant nos études de travailler avec des gens venant d’autres milieux. Cette expérience nous est très utile pour apprendre à travailler ensemble et pas forcément avec les mêmes compétences. » explique Valentin Maeght.

Pour Jonathan aussi, l’expérience a été enrichissante : « Avec cette collaboration, chaque école a pu apporter sa vision des choses. Pour nous, cela nous permettait de travailler avec des personnes hors d’Epitech et de découvrir une autre philosophie. »

Une expérience à renouveler

Pour les quatre étudiants récompensés, cet événement restera longtemps dans leur mémoire. Valentin, de son côté, a davantage pris confiance en ses capacités : « Cette victoire m’a permis d’être plus confiant mais aussi plus motivé pour plus tard, et donner l’envie de peut-être continuer dans l’innovation. »

Corentin recommande de son côté l’expérience aux autres étudiants : « Je conseille à d’autres de participer à ce type d’événements, c’est très enrichissant, et en cas de victoire la récompense est toujours agréable ! »

Un avis partagé par Jonathan : « Je conseillerais à des étudiants de participer à ce genre d’événements. Cela permet de travailler avec des personnes externes à son cursus et avec des entreprises. De plus, cette victoire nous permet de savoir que nos idées plaisent aux entreprises et donnent envie de continuer ! »

De quoi motiver de nouvelles recrues !

 

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Summer School : Epitech rayonne dans le monde entier 

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Du 1er juillet au vendredi 19 juillet, Epitech accueillait une vingtaine d’étudiants venus du monde entier afin de participer à sa Summer School. Pendant trois semaines, ils ont pu découvrir la pédagogie de l’école, mais aussi la ville de Paris.

 

 

Pendant trois semaines, le Hub d’Epitech Paris a pris une dimension internationale. Une vingtaine d’étudiants venus du monde entier s’y était donné rendez-vous pour participer à la Summer School.

Du 1er au 19 juillet, les étudiants, en provenance d’universités partenaires pour la plupart, ont donc pu apprendre et réaliser des projets. Le groupe, où la parité homme/femme était respectée, était divisé en deux : certains travaillaient sur l’IOT (Internet of Things), et d’autres sur l’Intelligence Artificielle et des technologies Blockchain.

Approfondir davantage

Parmi eux, Jaehong Ahn, un étudiant coréen de quatrième année de la Chung Ang University, qui accueille régulièrement des étudiants d’Epitech, est venu en France en apprendre davantage sur la Blockchain.

« J’ai passé une année en France quand j’étais au lycée et j’avais envie de revenir. Je cherchais une façon de me former davantage et d’approfondir mes connaissances sur la blockchain. Je ne connaissais pas Epitech, mais je suis ravi d’y trouver davantage de liberté qu’en Corée. »

Un gain d’autonomie

Sur les vingt étudiants à avoir fait le déplacement, beaucoup viennent justement du pays du matin calme : « J’étais surpris de trouver autant de Coréens ici ! Honnêtement, je pense que beaucoup sont un peu étonnés par la manière d’apprendre ici, car en Corée nous sommes davantage habitués à être très encadrés par nos professeurs. Ils nous donnent des choses à faire, à lire, à apprendre. Ici on est vraiment libres », explique Jaehong Ahn.

 

 

Venue de Russie, Daria Domracheva partage quelque peu cet avis : « En Russie, nous avons davantage de cours théoriques, et nous devons faire la pratique par nous-même. J’ai donc beaucoup aimé avoir justement à mettre en pratique tout le savoir théorique que j’avais appris chez moi. Cela m’a permis de voir où j’en étais. »

La découverte d’une pédagogie

Avant de venir en France, la jeune Russe, étudiante de la Moscow State University, université qui n’est cependant pas partenaire du réseau Epitech, s’était renseignée sur les méthodes pédagogiques dans cette partie de l’Europe. « Des amies étudiantes en Allemagne m’avaient expliqué la différence entre les cours magistraux et les ateliers pratiques, comment leurs professeurs leur enseignaient des choses puis comment elles les mettaient en pratique. Je m’attendais donc à découvrir quelque chose de cet acabit en arrivant à Epitech. Mais bien entendu, cela ne s’est pas passé comme cela ! »

 

Une université un peu différente

De même, Patari Edina Oguoko, étudiante venant Kent University en Angleterre, s’attendait à retrouver le même fonctionnement qu’à l’université : « Je pensais que ça allait être vraiment comme à l’université : aller à des cours magistraux, puis des travaux dirigés. J’ai donc été très surprise par la grande indépendance qui nous est donnée. C’était très nouveau, vraiment différent de ce que j’ai pu connaître. Je pense qu’apprendre par soi-même est quelque chose de très bénéfique, ce qui selon moi, se rapproche davantage du monde du travail. J’ai aimé cette indépendance ».

Des projets qui pèsent lourds dans un CV

La jeune femme ne connaissait pas non plus Epitech avant de tomber sur d’anciens témoignages d’étudiants sur internet : « J’avais appris le Français à l’école, je souhaitais donc trouver une université en France où je pourrais apprendre l’informatique. Je suis tombée sur une liste en répertoriant plusieurs. Les avis d’Epitech et les commentaires d’anciens participants m’ont convaincue que c’était ce que je cherchais. »

 

 

L’approche par projets est d’ailleurs une vraie plus-value pour la jeune Russe : « L’an prochain, je vais devoir trouver un emploi, avoir un bon porte-folio et un bon CV est donc capital pour moi. Faire un projet de A à Z comme on nous le demande pendant ces trois semaines est donc vraiment bénéfique pour moi ».

La découverte de la Piscine

Comme tout étudiant d’Epitech, les participants à la Summer School ont commencé leur immersion par une semaine de Piscine, qui fût intense. Le reste de leur séjour alternait entre découverte de la capitale française et informatique. Les participants du IOT avaient par exemple pour projet de créer une sonnerie intelligente, ou encore un pot de fleur qui vous permet de connaître les besoins de votre plante.

Une façon différente de réfléchir

Basile et Maximilien, étudiants d’Epitech, ont encadré la vingtaine d’étudiants pendant les trois semaines et ont pu se rendre compte de la différence entre ces derniers, et les étudiants d’Epitech.

 

 

« Au début, ils avaient un peu de mal à nous voir comme des encadrants, et beaucoup adoptaient la même attitude avec nous qu’ils le feraient avec des professeurs. En tant qu’encadrants, nous avons en général des relations beaucoup plus proches avec les étudiants. On est passés par les mêmes difficultés qu’eux, donc on comprend leur état d’esprit, explique Basile.

La pratique : la meilleure façon de comprendre

De son côté, Maximilien note des différences dans la manière de réfléchir :

« C’était la première fois que je travaillais avec des étudiants qui ne venaient pas d’Epitech, qui n’avaient pas été façonnés par cette pédagogie. Et cela se ressent dans les manières de réfléchir. Beaucoup me posent des questions et j’essaie de leur montrer qu’ils auraient eu la réponse en deux trois clics sur internet. »

Pour les deux étudiants français, les participants de la Summer School ont aussi des niveaux très disparates, mais n’ont pas été déstabilisés par l’épreuve de la Piscine : « Les étudiants sont d’âge très variés, de 19 à 26 ans. Ils ont des niveaux techniques très différents selon chacun, » analysent les deux encadrants.

Étudiants étrangers, sautez le pas !

Que ce soit Jaehong Ahn, Daria Domracheva ou encore Patari Edina Oguoko, tous recommanderaient Epitech à leurs proches, notamment pour l’autonomie et l’indépendance qu’ils ont tous gagné durant leur séjour parmi nous.

 

 

Au début, un peu déstabilisés par cette nouvelle façon d’apprendre et cette pédagogie active, différente de celles proposées par leurs universités respectives, tous les trois ont finalement trouvé pendant ces trois semaines ce qu’ils étaient venus chercher. Ils ont en plus pu découvrir la ville de Paris, et apprendre des notions de Français, grâce à des cours dans les locaux d’Epitech, mais également grâce à une immersion dans des familles d’accueil.

Que demander de plus ?

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Louison Druelle, le clavier au bout des doigts

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Louison Druelle vient d’être sélectionné par Huawei à la suite du concours Talents Numériques, pour découvrir les locaux et les salariés de la firme chinoise. Le jeune homme, qui vient seulement de rejoindre la formation de la Web@cadémie d’Epitech Lille il y a quelques mois, semble donc s’ouvrir à un futur réjouissant…

Un talent rapidement repéré

Louison Druelle vient seulement de rejoindre les bancs d’Epitech à Lille, grâce à la formation de la Web@cadémie. Cependant, son talent n’aura pas mis longtemps à éclore, comme pour confirmer le bien-fondé de sa reconversion professionnelle. En effet, le jeune Lillois a été récemment sélectionné par la firme de télécommunication chinoise Huawei pour venir visiter ses locaux.

 

 

« Le concours Talents Numériques vise à repérer de potentiels futurs talents. Pour y participer, il faut faire partie d’une école partenaire du programme, comme l’est Epitech. J’ai ensuite envoyé un CV et une lettre de motivation, en anglais, ce qui a sans doute été bénéfique lors de l’évaluation de mon dossier, mais je me suis également donné à 100% lors de la formation », analyse Louison.

L’occasion de découvrir la Chine…

L’apprenant d’Epitech va donc avoir l’occasion prochainement de se rendre pendant deux semaines en Chine, et notamment à Shenzhen, où se trouve le siège de l’entreprise.

Une récompense qui le ravit : « J’ai toujours été attiré par la Chine et je suis curieux de voir un peu comment ça se passe là-bas. J’ai également hâte de voir comment Huawei travaille, de visiter leurs locaux et d’échanger avec les gens là-bas. Je suis vraiment très heureux d’avoir été choisi. »

…Et de se faire des contacts

Outre découvrir le pays, Louison Druelle est sûr que ce voyage lui sera bénéfique à bien d’autres échelles : « J’espère y rencontrer des amis, des contacts, et que ce sera une expérience inoubliable. C’est vraiment une opportunité exceptionnelle qui ne peut être que bénéfique. J’ai déjà plein de questions en tête pour les employés de Huawei qui vont nous recevoir ! »

Une vocation qui s’impose tardivement

Si, à la vue de sa récente victoire, la vocation de Louison pour l’informatique semble évidente, le métier de développeur n’a pas été son premier choix. En effet, après sa classe de seconde, le jeune homme de dix-sept ans choisit de se lancer dans un Bac Pro et de devenir technicien en électroménager.

 

 

Après quatre ans à travailler dans ce domaine, Louison prend la décision d’arrêter : « Cela ne me plaisait pas du tout ! J’ai pris alors le temps de réfléchir, et de me demander ce que j’aimais vraiment faire. Le métier de développeur informatique s’est alors imposé comme une évidence. »

Epitech, sous le conseil de ses proches

Louison n’est pas le seul dans son entourage, à se rediriger vers l’informatique. Et c’est d’ailleurs comme cela qu’il découvre l’existence d’Epitech, école qui a, en plus, l’avantage de proposer un campus à Lille, où il habite.

« L’informatique était vraiment ma passion, et je voulais absolument en faire mon métier. J’ai donc commencé à rechercher des formations dans ce domaine. Très vite, on m’a parlé d’Epitech. Je m’y suis tout d’abord intéressé car l’école était située dans ma ville, et puis je me suis rendu compte qu’elle me correspondait vraiment. Je suis alors tombé sur le programme de la Web@cadémie, qui me semblait être la meilleure opportunité pour moi. »

Une pédagogie séduisante

Louison était également à la recherche d’une école où il ne passerait pas son temps assis sur sa chaise à écouter les professeurs. La pédagogie proposée par Epitech l’a donc logiquement séduit : « Avant de découvrir Epitech, je m’étais beaucoup renseigné sur l’École 42. Je n’étais donc pas étonné ou décontenancé par la pédagogie développée et proposée par l’école, et qui finalement m’a vraiment beaucoup plu. Nous travaillons vraiment beaucoup, et il faut faire les choses à 100%, sinon on galère. Le fait de travailler sur des projets, toutes les semaines, donne un rythme soutenu à la formation. Cependant, j’étais bien renseigné et donc j’étais vraiment préparé à rentrer dans l’arène. »

Et un intérêt confirmé !

Si Louison Druelle avait effectué un beau travail de reconnaissance avant de passer les portes d’Epitech, les attentes du jeune homme n’ont pas été déçues : « Je ne vois pas comment on pourrait apprendre plus vite. Nous passons nos journées à coder. Je ne vois pas comment on pourrait trouver meilleure école, et je suis très sérieux ! Si quelqu’un veut faire ce métier de développeur, je suis convaincu qu’il trouvera ce qu’il cherche ici. »

 

 

Voilà de quoi convaincre quelques indécis !

Être déterminé pour réussir

Après seulement trois mois au sein de l’école, Louison Druelle fait preuve de beaucoup de recul. « Pour réussir dans cette école, il faut être un minimum attiré par le code, mais surtout, il faut être déterminé et motivé. Il faut se donner les moyens. Si l’on ne suit pas la formation à 100%, cela va être très compliqué par la suite. Mais si on s’investit vraiment, il n’y a pas de raison que ce ne soit pas récompensé ! »

Assurer son futur

Louison Druelle se voit bien continuer son petit bonhomme de chemin au sein d’Epitech : « J’aimerais beaucoup continuer mes études, car je trouve ça vraiment intéressant ! Je ne suis qu’en première année, et la deuxième année de la Web@cadémie se fait en contrat de professionnalisation d’alternance donc j’ai hâte de connaître ce mode opératoire ! »

Être fier de son métier

En rejoignant les rangs d’Epitech, Louison a également retrouvé une fierté pour son métier : « Ce n’était pas le cas auparavant. Je n’éprouvais pas de fierté à être technicien en électroménager, voire une certaine honte. J’avais choisi cette voie par défaut, car il fallait bien faire quelque chose. Cependant, je passais déjà mes journées sur mon ordinateur, et puisque je ne suis pas manuel, travailler dans l’informatique semblait donc logique. Aujourd’hui, je suis fier de dire ce que je fais ! »

« Et de le faire avec autant de panache ! », serait-on tenté d’ajouter.

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Anatole Juge, major de la promotion 2021 d’Epitech Paris

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Anatole Juge vient de terminer sa 3e année d’études à Epitech Paris comme major de la promotion. Il nous raconte son parcours et ses projets d’avenir.

 

Remise des diplômes @ Epitech Paris

Anatole intègre Epitech Paris après un Bac série Scientifique à Orléans. « Je voulais changer de pédagogie car celle du lycée ne me convenait pas, et lorsque j’ai entendu parler d’Epitech, j’ai tout de suite été séduit par la méthode de l’école, dont la formation est très particulière » raconte le jeune homme. Il explique également avoir choisi Epitech pour sa réputation, et son encadrement plus concret que dans d’autres écoles d’informatique.

La Piscine : une bonne entrée en matière

Selon lui, être immergé dans la Piscine dès les premières semaines de la première année d’Epitech, est la bonne manière pour apprendre le code. « On n’est pas habitués à cette méthode d’apprentissage. On se retrouve très vite la tête sous l’eau, on va donc devoir s’entraider les uns les autres, et cela va nous pousser à développer des compétences techniques et sociales » analyse Anatole.

Apprendre n’importe quelle technologie

L’intérêt d’Epitech d’après Anatole, ne réside pas que dans l’apprentissage technique. « La force d’Epitech, explique-t-il, est de pouvoir se débrouiller sur n’importe quel langage, et de pouvoir apprendre à apprendre n’importe quelle technologie, et une capacité à emmagasiner abondamment des informations. »

« En réalité, Epitech m’a prouvé que je pouvais devenir et faire ce que je voulais »

Avant d’intégrer Epitech, le jeune homme explique qu’il ne s’était jamais vraiment investi à long terme dans un projet. Et ici, Anatole a trouvé sa passion. « Je me suis rendu compte qu’on a une liberté d’être et de faire, et qu’avec le travail on peut quasiment tout faire ». Au lycée, Anatole n’avait jamais programmé, même s’il avait quand même un petit côté geek, ou plutôt comme il le dit si bien : « j’aimais la logique derrière l’informatique ».

Il avoue même qu’avant il était un peu fainéant « car les choses que je faisais ne m’intéressaient pas, je n’avais pas de passion ». Mais aujourd’hui, Anatole a pris beaucoup de recul et de maturité. Il raconte : « Il faut deux choses pour réussir à Epitech : aimer ce que l’on fait, et travailler. J’ai remarqué que la passion et le travail, dans n’importe quelle activité, ça rapporte énormément. L’un sans l’autre ne fonctionne pas : les gens passionnés qui veulent atteindre un objectif vont travailler énormément pour cela. »

Epitech : une école très sociale et humaine

Et c’est justement pour ces raisons-là qu’Anatole a réussi à être major de sa promotion à Epitech Paris, même si en toute humilité, le jeune homme ne pense pas être le meilleur de sa promotion en code. Pour lui, être major n’est qu’un titre, et il assure qu’il n’aurait pas réussi sans ses camarades. Il ajoute : « quand je suis arrivé à Epitech, j’étais dans l’optique de vouloir me prouver des choses à moi-même ; mais Epitech c’est une école très sociale, très humaine, où il faut savoir travailler en équipe pour mener à bien des projets ».

 

Remise des diplômes des Bachelors à Epitech Paris – Promotion 2021

L’année prochaine, Anatole Juge part en quatrième année à Pékin, dans l’université de Tsunghua, qu’il a choisie parce que c’est une très bonne université internationale, avec laquelle Epitech est partenaire. Quand on lui pose la question de ses projets futurs, il ne sait pas encore répondre mais ne se fait aucun souci. « Avec le profil d’un diplômé d’Epitech, on peut se réorienter très vite et facilement car on est formés à tout faire. Les entreprises savent qu’à Epitech le niveau est très élevé, c’est pour cela qu’on nous recrute souvent même avant la fin de notre scolarité » raconte-t-il.

On souhaite donc bonne chance à cet étudiant dans ses futures aventures !

Découvrez d’autres portraits d’étudiants talentueux :

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Une année après le lancement d’Epitech Bruxelles, que font les étudiants ?

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Les étudiants de la première promo Epitech Bruxelles viennent d’achever leur première année. Et quelle année ce fût ! Dès qu’on les a vus finir la Piscine C sans se noyer, on a su que la suite allait bien se passer. Il y a eu bien sûr des hauts et des bas. Après tout, nous sommes Epitech et ce ne serait pas fun sans obstacles sur la route.

Epitech, ou comment acquérir des compétences en accéléré

Si on choisit de faire ses études à Epitech, c’est parce qu’on s’attend à suivre une formation efficace, basée sur l’acquisition de compétences réelles. C’est ce qu’Epitech promet et délivre. « Après l’expérience de la première année, je peux affirmer que ce qu’on m’a dit avant de rejoindre Epitech est vrai. Donc je ne suis pas du tout déçu de mon choix », nous révèle Joshuel Kuilwijk, étudiant au campus de Bruxelles. Il apprécie de pouvoir travailler en autonomie, ce qui n’était pas du tout le cas quand il était à l’école secondaire. Confrontés à un rythme de travail soutenu, les étudiants apprennent beaucoup sur eux-mêmes et se forgent leur identité professionnelle, et ce à partir du premier jour de rentrée.

Julien Stuckens, un autre étudiant, a vu ses attentes en termes de pédagogies satisfaites. Il raconte : « Epitech est l’école la plus adaptée à ce que je voulais faire, c’est-à-dire obtenir rapidement des connaissances et de la pratique ; mais surtout se concentrer sur l’informatique sans passer par les matières annexes imposées par la plupart des autres écoles. »

 

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Le chemin vers la professionnalisation

Depuis un mois, la première promotion belge est en stage. À Epitech, on se professionnalise très tôt et le large réseau en expansion dont bénéficie l’école assure un éventail de choix de carrière pour tous les goûts.

Joshuel Kuilwijk fait son stage au sein de l’entreprise Northstone, spécialisée dans la création de logiciels en réalité virtuelle, qu’il a découverte lors de la participation d’Epitech au festival d’innovation Hack Belgium.

Julien Stuckens, dont le profil intéresse grâce, entre autres, à ses compétences linguistiques, a été accepté comme stagiaire en Chine où il travaille pour une entreprise belgo-chinoise, Zapptax, en tant que développeur back end et full stack. « Ce stage était tout désigné pour moi et j’ai beaucoup de chance de pouvoir vivre cette expérience », nous dit-il.

Oscar Zumbrunn a saisi l’opportunité de réaliser son tout premier stage dans un laboratoire d’innovation – Raincode Labs – où il y fait de la programmation et de la métaprogrammation en C#, entouré de chercheurs et de professionnels dans ce domaine.

Skydoo, une entreprise belge, accueille trois étudiants d’Epitech Bruxelles. Théo Locati travaille sur la création de sites web et sur des solutions e-commerce. Son camarade Yaacov Levy y fait du développement front end et back end tandis que David Sokhan Sanj participe au développement d’un projet d’intelligence artificielle.

Cette première promotion ne manque donc pas de diversité en ce qui concerne les profils qui se dessinent.

Ils espèrent tous revenir de leur stage avec un bon bagage technique ainsi que de nouvelles méthodes de travail en équipe. Ils attendent surtout que cette expérience les introduise véritablement au monde professionnel.

 

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Le verdict

Le sentiment général après la première année est celui de satisfaction : la satisfaction d’être conforté dans son choix professionnel, de s’être surpassé et d’avoir appris énormément en peu de temps. Nos tous premiers étudiants ont vite assimilé l’éthique de travail qui découle de la philosophie Epitech, au point de citer en grande majorité la Global Game Jam comme leur événement préféré de l’année.

C’est la preuve du fait que travailler intensément en équipe, pendant 48h, pour coder un jeu vidéo est plus intéressant que de simplement en jouer un. Cela en dit long sur la passion de nos étudiants pour les jeux vidéo, mais aussi pour la programmation.

Un peu de sagesse pour les nouveaux venus

La rentrée 2019 approche à grands pas. L’aventure recommence pour une nouvelle promotion. Sans plus tarder, voici les conseils de la première promotion d’Epitech Bruxelles aux futurs étudiants :

 « Si vous prenez la décision de venir à Epitech, vous aurez l’occasion d’apprendre, créer, voyager, découvrir et plein d’autres choses encore. Il n’y a pas de mauvaise façon de vivre l’expérience Epitech. » Julien Stuckens

« Terminez bien les projets puisque souvent les projets qui suivent utilisent des compétences apprises à la fin des projets précédents. » Oscar Zumbrunn

« N’oubliez pas que la programmation est un jeu de logique. Cela rend le contenu des fois plus digeste et donne envie de travailler. » Théo Locati

« Le conseil que je pourrais donner aux futurs étudiants d’Epitech est de ne pas abandonner. La Piscine C est très intense, et plusieurs fois j’ai eu des moments de doute, me disant que c’était trop compliqué pour moi, mais il faut juste tenir et persévérer. » Joshuel Kuilwijk

« Bossez, bossez et bossez ! Bienvenue à Epitech. » Yaacov Levy

« Ne lâchez rien, travaillez continuellement et vos efforts paieront. » Loic Deville

 

Alors on souhaite FORCE ET HONNEUR pour les nouveaux venus !

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Epitech & la Web@cadémie de Lyon au « Forum Avenir Jeunes » de Lyon

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Jeudi 19 septembre 2019, Epitech a participé au « Forum Avenir Jeunes » à la Maison Pour Tous – Salle des Rancy, à Lyon. Sébastien Roth, responsable pédagogique d’Epitech Lyon, a représenté la formation Web@cadémie by Epitech. Cette formation inclusive pour toutes et tous dès 18 ans, vise à former des Intégrateurs – Développeurs Web en 24 mois.  

Quand les organismes de formations rencontrent les étudiants

Cet évènement a regroupé plusieurs acteurs de la réinsertion sociale et scolaire. Plusieurs acteurs des missions locales des différents arrondissement de Lyon étaient présents, ainsi des organismes de formations tels l’EPIDEE2C Rhône Lyon MétropoleAFPA (Agence Nationale pour la Formation Professionnelle des Adultes) et d’autres partenaires comme Unis-Cité qui propose aux jeunes de faire un service civique.  

L’évènement s’est déroulé en deux temps :

  • 13H-15H rencontre entre partenaires et différents organismes ;
  • 15H à 17H rencontre avec les jeunes pour échanger sur leurs projets et envies 

Sébastien Roth s’est exprimé sur le sujet : « La Web@cadémie a vraiment eu le vent en poupe. Parmi tous les stands présents, la Web@c était la seule formation financée, délivrant un diplôme équivalent Bac+2 et offrant une continuité d’études. Nous avons pu discuter et échanger avec 10 personnes lors d’entretiens de 20 à 30 min ». 

 Une occasion de rencontrer des interlocuteurs privilégiés

Le responsable pédagogique d’Epitech raconte comment il a pu échanger avec Alexandre Chirouze, le conseiller au numérique du département dans les missions locales. M. Chirouze est rattaché au département et tout spécifiquement à la ville de Lyon. Il est en contact direct avec des jeunes qui sont intéressés par les offres de formations  telle que la Web@cadémie 

Ce forum est organisé sous le patronage du gouvernement français afin de permettre aux jeunes en situation de déscolarisation de trouver des passerelles à l’emploi. Il aura permis à de nombreuses personnes de trouver une réorientation ou du moins se renseigner sur les possibilités au sein de leur région.

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À Epitech Strasbourg, rencontre avec Luc Soler, CEO de Visible Patient

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Dans le cadre de la Moonshot, les deux semaines dédiées à l’idéation et à la création pour les étudiants de 3ème année d’Epitech, le professeur Luc Soler est venu dans les locaux d’Epitech Strasbourg, mercredi 11 septembre, afin de présenter les innovations e-santé créées par sa société, Visible Patient.

Développée en 2013, Visible Patient est une startup strasbourgeoise dédiée à l’amélioration de la précision et de la sécurité des procédures opératoires grâce à la réalité virtuelle. Elle est née d’un projet construit à l’IRCAD en 1999 (l’IRCAD – l’Institut de formation et de recherche contre les cancers de l’appareil digestif qui est mondialement connu) à Strasbourg.

Celle-ci voit sa croissance atteindre des sommets depuis sa dernière levée de fonds de 11,3 millions d’euros en début d’année 2019 et sa participation au CES de Las Vegas en 2019, pour ne citer que ces deux événements. Ce fut donc un réel honneur et plaisir d’accueillir le créateur et actuel CEO, le professeur Luc Soler, dans les locaux d’Epitech Strasbourg. Les étudiants ont ainsi pu avoir un aperçu concret du service proposé par Visible Patient, ainsi qu’une application directe de leur savoir-faire au service de l’innovation médicale.

Rencontre avec un alsacien passionné de l’innovation médicale

Luc Soler explique : « Epitech est une école que j’apprécie tout particulièrement, car elle forme les étudiants de façon concrète. On a besoin de développeurs qui savent réellement programmer. C’est ce qu’on trouve ici. »

 

Visible Patient travaille avec Epitech depuis un certain nombre d’années et Luc Soler annonce qu’il cherche des stagiaires motivés pour intégrer son entreprise. Il précise même :

« Mon fils qui a 14 ans, fait des stages à Epitech, donc c’est vous dire à quel point j’aime bien l’école ! »

Epitech a profité de sa présence pour lui poser des questions

Epitech : La France est souvent critiquée de l’intérieur comme de l’extérieur par son manque d’initiatives, d’investissement et de prises de risques sur le terrain de l’innovation. Qu’en pensez-vous ?

Luc Soler : « Selon moi, la France est vraiment leader sur le terrain de l’innovation. Les plus grands scientifiques en Intelligence Artificielle viennent de France, principalement car nous avons les meilleures écoles en ingénierie. En effet, nous avons une formation qui est différente de celle dispensée aux États-Unis. On ne va pas uniquement s’attacher à l’aspect technique. En amont de la technique, avec le Bac, et également avec les formations, on a d’autres connaissances qui sont promulguées, comme en histoire, en sciences, en art…

Il y a une culture générale qui est plus importante que dans d’autres pays, notamment qu’aux États-Unis. Cette culture générale permet des ouvertures d’esprit qu’on n’a pas ailleurs. C’est ça notre force.

 

 

Je ne trouve pas qu’on soit dépassé. On n’est pas « has been ». Ce n’est pas parce que les grandes sociétés du numérique sont américaines qu’on ne peut pas faire de grandes choses en France. On peut faire sans eux, ou avec, mais nous sommes capables de faire des choses ici en France et c’est le plus important. De façon indépendante, en créant des startups, ou en travaillant depuis la France en partenariat avec des grands groupes français et étrangers. »

Epitech : Que dire du rôle de l’Alsace dans l’innovation médicale ?

« L’Alsace est une terre d’innovation forte, notamment dans le domaine médical. Nous avons à Strasbourg un énorme boum dans ce domaine depuis plusieurs années. Il y a bientôt le salon Bizz&Buzz qui parle justement du numérique. On a aussi le plus grand Hacking Health Camp au monde.

En plus de cette dynamique très forte, on a un soutien des autorités locales aussi très fort, ce qui permet d’avoir des financements pour créer des boîtes, pour les développer, qu’on n’a pas forcément aussi facilement ailleurs. »

Epitech : En quoi les étudiants d’Epitech vous semblent utiles pour votre startup ?

« Dans le monde médical il y a de fortes connaissances sur la science du vivant, mais au niveau informatique c’est souvent désertique. Il y en a qui aiment bidouiller, mais ça reste de la bidouille. En plus, c’est difficile d’avoir des certifications pour des dispositifs médicaux qui ont été bidouillés. Tout est très régulé et contrôlé. Mais pourtant aujourd’hui, le numérique dans le médical, on ne peut pas s’en passer, donc les étudiants d’Epitech peuvent pallier ce manque-là ».

Epitech : Et concrètement, que peuvent-ils produire ?

« Chaque jour, on produit dans le monde médical de plus en plus de données. Exploitées intelligemment et grâce à l’informatique, ces données nous permettent de voir des choses qu’on ne peut pas voir avec nos propres yeux et notre cerveau. Je pense que dans le secteur du médical, ce sont les capteurs développés de manière informatique qui peuvent aider la recherche.

 

 

Ces capteurs numériques peuvent recevoir et donner des informations beaucoup plus efficacement que notre cerveau et permettre à l’humain de prendre de meilleures décisions. C’est dans cette optique-là qu’il nous faut des experts de la programmation. »

Epitech : De quel type de profils avez-vous besoin ?

« Des informaticiens qui savent programmer, c’est essentiel pour la base, mais il faut aussi des informaticiens qui savent faire des maths, des calculs, de la géométrie, notamment pour faire de la 3D, de l’IA, et de l’analyse de données.

Dans notre équipe on a besoin de plusieurs profils, notamment des purs développeurs, qui sont des ingénieurs, qui ont besoin de savoir comment se structure un programme, mais également des personnes qui savent comment on développe un projet, avec les règles de développement, qui sont obligatoires dans la partie de certification. Tout ça c’est ce qu’on apprend dans une école comme Epitech ».

À la suite de la conférence et des échanges passionnés avec les étudiants, Epitech va continuer cette collaboration. Le professeur Luc Soler reviendra donc prochainement échanger avec nos étudiants. Il animera des conférences, notamment dans le cadre de la deuxième étape du Cycle de l’Innovation « Forward », sur la dynamique entrepreneuriale.

C’est, à coup sûr, le début d’une belle histoire entre la startup strasbourgeoise et nos étudiants.

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Des étudiants d’Epitech récompensés lors du Startupweekend à la Réunion !

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Du 20 au 22 septembre 2019, à l’IUT de Saint-Pierre sur l’île de la Réunion, quelques deux cents participants de tous horizons s’étaient donnés rendez-vous pour participer à la quatorzième édition du Startupweekend. Parmi eux, huit étudiants du campus d’Epitech ont présenté leur projet, Certifaced, et remporté le premier prix et le prix du public…

175 participants pour la 14ème édition du Startupweekend

Ils s’appellent Nick Lam Yee Man, Loïc Pothin, Alexandre Demeester ou Nicolas Ah-Leung et sont tous étudiants en troisième année à Epitech à La Réunion. Ils faisaient partie le week-end dernier de l’équipe victorieuse de la quatorzième édition du Startupweekend. Cet événement, organisé par l’association Webcub à l’IUT de Saint-Pierre a battu cette année un record de fréquentation, puisqu’ils n’étaient pas moins que cent soixante-quinze participants, de tous milieux sociaux et professionnels, à prendre part à la compétition.

Certifaced, un système de reconnaissance faciale

Parmi tous ces participants, une quarantaine était venue avec un projet précis, et avait chacun une minute pour convaincre les autres de se joindre à leur équipe. L’équipe d’Epitech, venue à huit étudiants, était venue présentées Certifaced, un système de reconnaissance faciale adaptable sur plusieurs supports, afin d’aider les personnes éprouvant des difficultés à reconnaître les visages.

 

 

À l’issue de leur première présentation, ils ont réussi à presque doubler leurs effectifs, et ont donc pu commencer la compétition sous les meilleurs auspices : « De huit, nous sommes passés à quatorze ! Cela nous a permis d’avoir accès à différents types de compétences. Mais pour autant, nous n’étions pas du tout sereins ! » explique Nick Lam Yee Man, le porteur du projet gagnant. Pendant cinquante-quatre heures, les différentes équipes ont dû travailler ensemble, afin de proposer le projet le plus innovant répondant à divers problèmes économiques, sociaux et écologiques du territoire.

Tester la validité de leur projet

« Nous avons pris part à la compétition, car nous voulions voir ce que notre projet valait, s’il plaisait à l’extérieur, à des gens qui ne sont pas forcément dans l’informatique », raconte Nick Lam Yee. En effet, les étudiants, tous en troisième année, souhaiteraient vigoureusement continuer leur projet l’an prochain, en tant qu’EIP (Epitech Innovative Project).

« Nous voulons créer des lunettes à réalité augmentée, qui permettraient aux personnes atteintes par exemple d’Alzheimer de reconnaître les gens autour d’elles. »

Pari réussi, pour ces huit étudiants, puisqu’ils repartent non seulement avec le premier prix, mais aussi le Coup de coeur du public, appelé à voter lors de l’événement grâce à un système de vote numérique par QR-Code.

La nécessité de se démarquer

Face à douze autres projets, les étudiants d’Epitech ont dû rivaliser d’ingéniosité pour que Certifaced sorte du lot. Ils sont tous convaincus cependant que le degré de développement de leur projet, bien plus complet que certains de leurs concurrents, mais aussi sa dimension sociale leur a permis de se démarquer : « Nous avions beaucoup avancé en trois semaines, et nous avons même plus présenter une démo au public, ce qui a fait son petit effet », précise Nick Lam Yee Man.

 

 

« Nous avons pu présenter une démo de réalité virtuelle, en Python Open Source, lors de la présentation finale. Cela a dû finir de convaincre le jury et le public. Ensuite, nous devrons bien sûr résoudre de nombreux problèmes l’année prochaine… » explique Nicolas Ah-Leung. Parmi eux, présenter un produit utilisant la technologie de réalité augmentée à un prix abordable, mais aussi le travail de reconnaissance faciale, un Machine Learning qui demande un travail conséquent.

Les pionniers d’Epitech à la Réunion

Ces huit étudiants font partie de la première promotion Epitech sur l’île de la Réunion. Tous reconnaissent avoir trouvé dans l’école une pédagogie leur correspondant totalement : « Nous pouvons travailler sur des projets qui nous plaisent, sur ce que nous avons envie de faire. C’est particulièrement intéressant. Mais la troisième année est encore plus satisfaisante, pour la dimension d’innovation. Nous devons nous servir de nos compétences pour mettre au point une innovation qui tient la route, tant en termes de technique qu’en terme de budget ou d’attractivité. C’est très enrichissant ! », explique Alexandre Demeester.

 

 

Trouver un sujet original et qui a du sens

Forte de sa réussite, l’équipe donne quelques conseils aux étudiants -ou futurs étudiants- d’Epitech, qui souhaiteraient prendre part à ce type de compétition : « Il faut vraiment choisir un projet qui vous passionne, car cela demande beaucoup d’investissement ! Mais aussi, réfléchir à quelque chose d’utile, et à des choses qui ne sont pas forcément évidentes. Dans notre cas, c’est une membre de l’équipe pédagogique qui nous a parlé pour la première fois de cette maladie, la pronopagnosie, qui empêche la reconnaissance des visages. C’est comme cela que nous avons eu l’idée de travailler sur ce projet. En gros, il faut chercher plus loin que le bout de son nez ».

De nombreuses récompenses

Ces deux récompenses offrent de nombreux lots aux vainqueurs, puisque l’équipe Certifaced s’est notamment vue offrir six heures d’expertise comptable avec le cabinet RSM, une formation de trois jours en stratégie digitale avec le centre de formation CREALISE, mais aussi un pack de communication visuelle avec l’agence digitale PIRRAH.

De quoi placer Certifaced sur les bons rails !

 

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Softway Medical s’associe à Epitech Marseille pour trouver ses futurs talents

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Les deux entités ont souhaité s’unir autour d’un partenariat dans le but de favoriser les échanges concrets entre les équipes de Softway Medical et les étudiants d’Epitech Marseille. Grâce à Softway Medical, les étudiants marseillais vont recevoir régulièrement des offres de stage ou d’alternance ainsi qu’une intégration professionnelle dans le domaine de la e-santé.

De manière réciproque, les équipes de Softway Medical vont pouvoir collaborer sur des projets en open innovation avec les étudiants d’Epitech.

Acté début septembre, le partenariat a été relayé par la presse régionale et les posts retweeté de multiples fois. L’alliance est prometteuse puisque depuis la rentrée, Softway Medical est intervenue déjà deux fois au sein d’Epitech.

Des enjeux communs

Epitech Marseille a reçu l’équipe Recrutement de Softway Medical lors d’un speed recruiting organisé par Epitech pour les étudiants de troisième année qui sont en recherche de stage et/ou de part-time.

Six de nos étudiants ont passé un entretien pour intégrer Softway medical et trois d’entre eux ont séduit l’entreprise.

Mardi 24 septembre 2019, l’équipe est revenue dans les locaux d’Epitech Marseille, cette fois, pour une toute autre ambiance : présenter ses projets tech 2019.

 

 

Une équipe d’étudiants de 3ème année s’est d’ores et déjà positionnée autour de la création d’un Chatbot… Affaire à suivre !

Une alliance gagnant-gagnant

Un partenariat pour réaliser des projets ? Epitech dit oui ! Les enjeux identifiés par Softway Medical autour de la E-santé intéressent particulièrement nos étudiants et sont des enjeux forts pour la société en règle générale. On parle beaucoup de #techforgood, mais grâce à ce partenariat, on le fera vraiment. Par ailleurs, la marque employeur de Softway Medical est très séduisante pour les étudiants car cette entreprise fait attention à l’intégration et à l’évolution de ses collaborateurs.

Ce partenariat favorise également Softway Medical car le recrutement de profils d’experts est une haute valeur ajoutée pour cette entreprise.

Les profils d’étudiants Epitech sont extrêmement recherchés sur le marché de l’emploi.

Et pour suivre nos futurs évènements, les deux entités décident de créer une petite série de vidéos, la première sortira fin octobre. A vos marques, prêt, likez !

 

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