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Printemps du Sang 2019 : faites parler le héros qui sommeille en vous !

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Pas besoin de s’appeler Captain Marvel ou Superman pour être un héros. Organisée du 18 au 22 mars 2019 par le Groupe IONIS et l’Établissement Français du Sang (EFS), la 11e édition de la campagne du Printemps du Sang vous permettra justement de le prouver !

Lancé en 2008, le Printemps du Sang est une initiative nationale qui se déroule dans l’ensemble des campus du Groupe IONIS et voit chaque année de nombreux étudiants et membres des écoles faire un acte citoyen permettant de sauver des vies chaque jour : le don du sang. Un geste simple et rapide grâce auquel les professionnels de santé peuvent traiter des maladies du sang, des cancers, mais aussi réaliser des interventions chirurgicales cruciales pour la survie des patients.

 

 

Ainsi, durant cette semaine, plusieurs opérations de sensibilisation au don du sang sont proposées à Epitech comme ailleurs, à travers des opérations de collectes, la présence de stands d’information et la venue d’intervenants externes pour des conférences spécifiques.

Si vous souhaitez également donner votre sang, n’hésitez pas à prendre connaissance de la cartographie des collectes sur le site de l’EFS pour trouver où faire votre don non loin de chez vous !

 

VOICI LES CONDITIONS POUR POUVOIR DONNER SON SANG :

Toute personne peut donner son sang sous certaines conditions liées à la

sécurité des donneurs et des malades. C’est pourquoi avant chaque don, un

entretien confidentiel est assuré par un médecin.

 

VOUS POUVEZ DONNER VOTRE SANG SI :

> Vous avez entre 18 et 70 ans

> Vous pesez au minimum 50 kg

 

DANS CERTAINES SITUATIONS,

VOUS DEVREZ ATTENDRE POUR DONNER VOTRE SANG :

> 1 semaine après des soins dentaires (détartrage, extraction)

et 1 jour après le soin d’une carie

> 1 semaine après la fin d’un traitement antibiotique

> 2 semaines minimum après une infection et /ou fièvre > 38°

> 4 mois après un voyage dans un pays où sévit le paludisme (malaria)

> 4 mois après une intervention chirurgicale

> 4 mois après un piercing ou tatouage

> 4 mois après un rapport sexuel avec un nouveau partenaire

sans usage de préservatif

> 6 mois après un accouchement

 

PAR PRÉCAUTION, VOUS NE POUVEZ PAS DONNER VOTRE SANG SI :

> Vous avez été transfusé(e)

> Vous avez séjourné entre 1980 et 1996, plus d’un an cumulé,

dans les îles britanniques

> Vous utilisez ou avez utilisé de la drogue par voie intraveineuse

 

COMBIEN DE FOIS PAR AN, POUVEZ-VOUS DONNER VOTRE SANG ?

> 4 fois par an pour les femmes

> 6 fois par an pour les hommes

Avec un intervalle minimum de 8 semaines entre chaque don de sang.

 

INFORMATIONS PRATIQUES :

Pour un 1er don, vous munir d’une pièce d’identité.

Surtout ne pas venir à jeun avant de donner son sang.

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Conférence d’Alec Ross : « L’espoir d’un meilleur futur est entre vos mains »

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Ancien conseiller de Barack Obama, professeur d’université et essayiste, Alec Ross nous a fait l’honneur de venir présenter son livre best-seller traduit en plus de 24 langues « The Industries of the Future » sur le campus d’Epitech. Il a livré une conférence en anglais, puis a répondu aux questions des étudiants sur leur rôle en tant que décideurs du futur.

Les premiers mots qu’Alec Ross prononce lors de cette conférence exceptionnelle sont des paroles d’excuses : « Au nom de l’Amérique, je suis désolé que Trump soit au pouvoir ». L’ambiance est installée, les étudiants rigolent.

 

 

Cet ancien diplomate devenu prof d’université n’a pas sa langue dans sa poche. Il se dit féministe, se positionne publiquement en faveur des politiques pro-LGBT, se moque gentiment de la religion, et n’hésite pas à critiquer les gouvernements. Néanmoins, son terrain d’étude principal, c’est l’innovation et les industries du futur, comme le rappelle le livre éponyme, devenu un best-seller aux quatre coins du globe.

Rencontrer les étudiants du Groupe IONIS, ceux qui feront le futur

« Alec Ross a parcouru une quarantaine de pays, pour rencontrer ceux qui transforment le monde et explore les dernières avancées technologiques, économiques, et sociales » raconte la dernière couverture de « Les Industries du futur ». C’est donc tout naturellement au Kremlin-Bicêtre qu’il s’arrête pour ses 24 heures en France, afin de rencontrer les étudiants du Groupe IONIS, qui feront, eux aussi, partis de ceux qui décident du futur.

 

 

Ce pôle technologique « pourrait devenir la Silicon Valley française » rigole Marc Drillech, PDG du Groupe IONIS et qui interview Alec Ross pendant son intervention. Pourtant, le professeur n’hésite pas à défaire les utopies qui courent autour du mythe de la Silicon Valley. « Ne regardez pas la Silicon Valley comme un modèle, mais créez votre propre modèle », conseille Alec Ross, qui a un avis sur tout, et qui le donne de manière bienveillante à tous ceux qui lui posent des questions, exercice qui peut être stressant car cet homme a fréquenté Barack Obama pendant plusieurs années.

« L’innovation viendra de partout »

Alec Ross est américain, a travaillé pour le gouvernement américain, et a l’esprit américain : il prône la méritocratie plusieurs fois pendant sa conférence, enjoint les investisseurs à faire confiance aux jeunes en deçà de leurs origines sociales, et revendique la nécessité de faire de la discrimination positive pour engager les femmes à travailler dans la tech. Des valeurs également prégnantes à la philosophie du Groupe IONIS. Pourtant, Alec Ross n’est pas chauvin. Au contraire même : « dans mon livre, dit-il, j’écris que le futur ne sera pas dominé par les États-Unis, l’innovation viendra de partout ».

Parce qu’il croit au pouvoir de la jeunesse, l’ancien diplomate est devenu professeur. Il précise : « mon espoir, c’est que les élèves comme vous qui imaginent le futur se concentrent à maximiser les promesses d’un meilleur futur ». Alec Ross enjoint même les étudiants qui l’écoutent religieusement, à répondre au grand challenge d’aujourd’hui : l’écologie. « Vous débutez votre carrière, et vous devez vous concentrez sur ce qui compte aujourd’hui grâce à vos talents en ingénierie. Le plus important, c’est de faire en sorte qu’on ait un meilleur futur, et cette ambition est entre vos mains ».

 

 

Mais pour cela, il faut que les investisseurs fassent confiance aux jeunes, selon Alec Ross, qui met en relief les différences entre les politiques américaines et françaises sur ces sujets-là : « Je pense qu’en France, les investisseurs doivent prendre plus au sérieux le talent et l’ambition des jeunes, il faut leur donner des responsabilités car selon mon humble opinion, c’est la plus grande lacune de la France ».

«Un monde où la donnée est le matériau de notre révolution technologique»

Si la terre constituait la matière première de la civilisation agricole, et le fer celle de l’ère industriel, Alec Ross affirme que ce sont les données qui sont celles de notre économie actuelle. D’où la nécessité de former des ingénieurs capables de travailler de manière bienveillante les données. « Il faut donc mettre en place des règles, sinon elles seront mises en place pour nous dans la Silicon Valley, et ce n’est pas son rôle, ni celui des gouvernements en place. La définition de règles sur les données est notre grand challenge d’aujourd’hui » plaide Alec Ross.

 

 

Il insiste même : « Je veux vivre dans un monde où les humains disent aux machines quoi faire, et non pas le contraire ». Pourtant malgré ces avertissements, Alec Ross assène qu’il croit en un meilleur futur. Il termine même son intervention de manière plutôt positive : « J’ai choisi d’être optimiste parce que les pessimistes ne changent pas le monde, ils le critiquent ».

De quoi donner de l’ambition à nos étudiants, et de l’espoir quant à leur rôle prépondérant et nécessaire dans notre société actuelle, et dans les futures industries dont ils seront les créateurs…

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Les étudiants d’Epitech Nancy ont exposé leurs projets au Salon Cité Santé

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Depuis quatre ans, le salon Cité Santé de Nancy dévoile les dernières innovations dans le monde de la santé connectée. Cette année les vendredi et samedi 15 et 16 mars, l’école d’Epitech Nancy était partenaire de l’évènement et des étudiants ont eu l’opportunité d’y présenter leurs projets EIP de troisième année.

Mais l’évènement principal de ce salon, c’est la grande marche connectée mise en place par les étudiants d’Epitech Nancy et Les Parcours du Cœur. Depuis septembre, neuf étudiants ont travaillé sur cette application qui fait office de podomètre. Ce type d’happening est une première, et c’est Axel Kahn, grand scientifique, médecin, essayiste français, et président de ce salon, qui a lancé cette première grande marche connectée.

L’objectif était de collecter, à travers toute l’agglomération nancéenne, un million de pas en une journée, objectif qui a été largement atteint. Le but ? sensibiliser à l’importance de la marche pour rester en forme, et surtout pour les personnes atteintes de maladies cardio-vasculaires.

 

 

Quentin Sanchez fait partie du groupe qui a développé l’application. Il est étudiant en troisième année à Epitech Nancy, et malgré les difficultés qu’ils ont traversées, il explique avoir « tout donné » pour ce projet professionnel. Son collègue sur le projet, Fantin Bibas, également étudiant à Epitech Nancy, s’occupait lui des serveurs lors du salon : « C’était assez stressant car il fallait que les serveurs soient compétents en fonction du nombre de téléchargements de notre application ». À la fin de la journée, plus de 150 personnes l’avaient téléchargé. « Ça nous donne l’occasion d’être dans un vrai milieu de production, c’est très intéressant pour nous, et puis le salon était très content de notre application » s’enthousiasme Fantin Bibas.

Un million de pas pour votre santé

D’ailleurs, Quentin Sanchez précise que l’application pourra peut-être même être réutilisée sur d’autres salons. Les étudiants avaient implémenté des challenges pour que les utilisateurs soient tentés de marcher plus. « On proposait de faire des équipes entre comités d’entreprise, et de pouvoir monter de niveaux en niveaux à force de marcher, explique Quentin Sanchez, chaque pas rapporte des points et de l’expérience, ce qui permet de changer son profil utilisateur. Aussi, pendant le salon, il y avait des tapis de course, et les gens essayaient de marcher le plus vite possible pour gagner des points ». Bref, un beau projet qui a été plutôt bien suivi par les participants.

En plus de ce happening, les visiteurs et les professionnels ont pu tester de nombreux dispositifs d’e-santé, participer à des workshops et des conférences, et également rencontrer une trentaine d’exposants œuvrant dans les milieux de la médecine du futur.

 

 

Parmi ces exposants, trois stands étaient tenus par des étudiants d’Epitech Nancy (Medfinder et Diabetips) et Strasbourg (Alsablue). Le projet Medfinder, créé par 7 étudiants d’Epitech Nancy, a remporté un vif succès au salon Santé Cité. Cette plateforme facilite l’accès aux soins à l’étranger lors d’un voyage ou pendant une expatriation. Le projet a remporté le premier prix aux Epitech Experience des troisièmes années d’Epitech Nancy. L’utilisateur peut consulter une carte des médecins certifiés exerçant à proximité de sa localisation et prendre rendez-vous avec eux facilement. Maxime Picot, le chef de ce projet, explique :

« Nous voulons simplifier au maximum la procédure au moment où l’utilisateur se demande quel problème il pourrait avoir lorsqu’il est à l’étranger ».

Les sept membres de Medfinder voyagent beaucoup et ils se sont rendu compte qu’ils ne sauraient pas quoi faire en cas de problème de santé à l’étranger. Sachant que 70% des personnes seraient ignorantes si un incident arrive, ils ont voulu monter ce projet afin de clarifier au maximum les procédures, donner des conseils, et permettre une mise en contact avec un professionnel de la santé compétent. Pour les trouver, l’équipe Medfinder est passée par les consulats afin de récupérer des listes de professionnels de la santé déjà vérifiés. En plus de cette faculté, l’application dispose d’un annuaire des noms des médicaments génériques, d’un glossaire des symptômes et d’un outil de traduction des mots les plus utilisés en médecine.

 

 

Pour résumer, Medfinder est une plateforme complète qui recense toutes les choses à faire lorsqu’on est malade à l’étranger. L’application est encore sous forme de prototype mais grâce aux retours positifs que les étudiants ont tiré du Salon Santé Cité de Nancy, ils semblent motivés à continuer la recherche et le développement autour de ce projet. Bonne chance à eux !

L’autre projet d’étudiants d’Epitech Nancy présenté lors de ce salon s’appelle Diabetips, c’est une application pour gérer son diabète. Yannick Suc en est le chef de projet, et comme un autre membre du groupe, il est diabétique. Bien qu’il existe des applications de suivi sur le marché, Yannick admet qu’elles ne sont pas pratiques. « Rien ne donne de solution pour savoir exactement quelles quantités d’insuline nous devons ingérer, explique Yannick, donc on a décidé de créer une intelligence artificielle pour qu’elle le fasse pour nous ». L’application s’adapte exactement à l’utilisateur en suivant ses habitudes alimentaires, sa physionomie, tout en suivant son taux de sucre dans le sang.

 

 

Le projet Diabetips a quant à lui gagné le deuxième prix aux Epitech Experience des troisièmes années de Nancy. Lors du salon, le stand a également plu aux visiteurs, raconte Yannick, qui a vu défiler des professionnels de la santé, des simples curieux ou encore des associations. « C’est bien que les gens s’intéressent de plus en plus à la santé connectée car il se fait beaucoup de choses dans ce milieu et ça va ne faire qu’évoluer » conclut Yannick Suc.

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La Web@cadémie présente son programme aux conseillers Pôle Emploi

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Epitech a accueilli 300 conseillers de Pôle-Emploi dans ses locaux le 28 mars 2019 pour une demi-journée d’immersion à la Web@cadémie, une formation gratuite au code informatique créé par Epitech en 2010.

Formation gratuite et diplomante

Puisqu’elle est gratuite et qu’elle propose une formation en deux ans à toute personne ayant plus de 18 ans, la Web@cadémie est une école plébiscitée par Pôle Emploi. La première année, les étudiants abordent toutes les technologies web lors d’une formation intensive, encadrée par des assistants issus d’Epitech. Il est également prévu des séances de coaching individuel en développement personnel.

 

Présentation des témoignages des étudiants de la Web@académie

 

La deuxième année, les étudiants sont en contrat de professionnalisation (trois semaines en entreprise, une semaine à l’école), à l’issue de laquelle ils obtiendront le titre d’intégrateur développeur web de niveau III.

Cette école pionnière a contribué au lancement de La Grande École du Numérique, un label décerné aux formations des métiers du numérique lancé par le Gouvernement. Aujourd’hui, 80 000 emplois seraient non pourvus dans les nouvelles technologies de l’information et de l’électronique faute de profils adaptés (Conseil d’Orientation pour l’Emploi 2017). Former de nouvelles personnes aptes à pourvoir ces postes inoccupés est donc une priorité pour Pôle Emploi.

Les enjeux de la Web@cadémie

C’est dans cette optique que 300 conseillers de toute l’Île-de-France ont assisté à la présentation de cette formation le 28 mars 2019. Germain Ageorges, chargé de mission numérique Pôle Emploi Paris a introduit la journée en présentant la Web@cadémie comme « la meilleure formation au numérique existante ».

 

Les conseillers Pôle Emploi apprennent à coder lors d'un atelier qui suit la méthode pédagogique par projets d'Epitech et de la Web@cadémie
Les conseillers Pôle Emploi apprennent à coder lors d’un atelier qui suit la méthode pédagogique par projets d’Epitech et de la Web@cadémie

 

Emmanuel Carli, Directeur Général d’Epitech a livré une présentation générale sur le code informatique, le numérique et les nouvelles technologies. Le but était de contextualiser les enjeux de la formation de la Web@cadémie et d’introduire les conseillers de Pôle Emploi à ces notions parfois trop peu connues.

Le responsable pédagogique de la Web@cédamie, Guillaume Lefrant, a également rappelé les objectifs du cursus ; après quoi les apprenants de la Web@cadémie ont livré leurs témoignages auprès de l’assemblée de conseillers, qui ont particulièrement apprécié cette étape.

Les étudiants de la Web@cadémie ont tous des profils très différents. Certains avaient déjà appris à coder avant, mais la plupart n’y connaissaient rien avant d’intégrer la formation. Beaucoup n’ont pas le baccalauréat, et n’aimaient pas beaucoup l’école et les méthodes d’enseignement traditionnelles. Ils ont en tous cas tous aimé la formation de la Web@cadémie, qui leur a permis d’ « apprendre à apprendre », comme beaucoup le disent. Malgré les réticences de la plupart des étudiants envers les systèmes éducatifs habituels, ils ont réussi à s’épanouir à la Web@cadémie, et beaucoup sont même déjà en CDI.

 

Emilie Jehenne, major de promo de la WAC
Emilie Jehenne, major de promo de la WAC

 

Le parcours qui a le plus inspiré les conseillers Pôle Emploi est celui de Emilie Jehenne, 24 ans, qui n’a pas le diplôme du Bac, mais qui a passé plusieurs années à travailler comme hôtesse d’accueil en intérim. Elle a fait son alternance de deuxième année chez Critéo, et a signé un CDI à 47K d’euros bruts annuel. Emilie Jehenne, major de promo, est la petite fierté de la Web@cadémie et a été chaudement applaudie par les conseillers venus l’écouter.

Un témoignage d’une conseillère Pôle-Emploi :

« Je tenais à vous remercier pour votre invitation à participer à l’après-midi du codage, pour ma part j’ai pu découvrir de manière plus approfondie à la fois les différents métiers et les différentes possibilités d’accès. J’ai trouvé les témoignages des jeunes étudiants très touchants et cela m’a donné une vision plus complète de ces métiers. Je serai à l’avenir pour ouverte et plus proactive avec les adhérents que j’accompagne vers le retour à l’emploi, sur ce secteur d’activité et les métiers qui s’y rattachent , notamment dans le cadre de réorientation professionnelle ».

Une demi-journée « trop courte » selon les conseillers, mais qui a été un franc succès. Ils ont pu se rendre compte du potentiel du secteur du numérique, et ont eux-mêmes eu des ateliers de code à la fin de la journée pour voir ce qu’il en était réellement. Certains conseillers ont pu revoir des bases apprises à la fac, tandis que d’autres ont totalement découvert un secteur d’activité qu’ils ne connaissaient pas.

Vous pouvez revoir l’intégralité de la journée et des témoignages ici :

 

 

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inOut Rennes : explorer le futur des mobilités

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inOut, c’est l’événement rennais qui explore les nouvelles mobilités. Du 28 au 31 mars 2019, les 15 000 visiteurs ont pu découvrir une flopée d’innovation autour du thème des mobilités. Le campus Epitech Rennes était partenaire de l’événement, ce qui a permis aux étudiants d’exposer leurs projets d’innovation.

Tester des innovations gratuitement

Deux volets composent l’événement : le In pour les professionnels, et le Out pour le grand public. Durant les deux premiers jours du volet In, grands groupes, startups, chercheurs, élus, institutions publiques et associations étaient tous rassemblés pour échanger sur les grands enjeux liés à la révolution des mobilités.

Tandis que le volet Out était plus familial. Un village des mobilités sur l’Esplanade Général de Gaulle a permis à tous de tester des innovations de manière gratuite.

 

inOut Rennes, le futur des mobilités
inOut Rennes, le futur des mobilités, sur l’Esplanade Charles de Gaulle

 

Comment les révolutions des mobilités peuvent impacter notre environnement, nos habitudes et nos comportements ? Quels sont les dernières innovations et les modèles économiques de régulation de ces nouvelles mobilités ?

 

C’est ce genre de questions qui ont été posées lors de cet événement, à travers des conférences, et des débats entre professionnels du secteur.

Bertrand Piccard : parrain de l’événement

Organisé par Rennes Métropole, le festival inOut n’en est qu’à sa deuxième édition. Il inscrit néanmoins déjà la métropole rennaise dans une dynamique ambitieuse en matière de transports publics.

 

Bertrand Piccard, parrain de inOut Rennes. Crédit photo : Yann Launay
Bertrand Piccard, parrain de inOut Rennes. Crédit photo : Yann Launay

 

Un bel événement, central pour les passionnés du secteur, car des personnalités telles que Bertrand Piccard, qui a réalisé un tour du monde en avion solaire, a fait le déplacement et a endossé le titre de parrain de l’événement.

TOD : la solution complète de distribution de colis

Les étudiants d’Epitech Rennes ont pu échanger avec de nombreux professionnels et obtenir des avis et des conseils sur leurs projets. Par exemple, le projet TOD de 8 étudiants en troisième année à Epitech Rennes, a été exposé lors du volet In de l’événement. TOD est une solution d’optimisation permettant d’organiser efficacement et intelligemment la cargaison des livreurs de colis.

 

Le projet TOD d'Epitech à l'événement inOut de Rennes
Le projet TOD d’Epitech à l’événement inOut de Rennes

 

Calcul du volume et du poids du colis, aide au rangement des colis sur la surface du camion, tracé GPS du camion optimisé, alerte du client 30 minutes avant l’arrivée, et tableau de bord avec statistiques…

La solution TOD est réellement complète et permet aux livreurs de gagner du temps dans la distribution de leur colis. Tout cela grâce à un algorithme qui calcule automatiquement les meilleures décisions à prendre.

TravL : bien préparer son voyage

Toujours dans le thème des mobilités, TravL est un projet de 9 étudiants d’Epitech Rennes qui a également été exposé tout le weekend. TravL est un assistant personnel aidant à la préparation des voyages en amont et sur place. Grâce à un chatbot et un site web, les utilisateurs peuvent connaître toutes les prérogatives à savoir avant de partir en voyage.

 

Le projet TravL d'étudiants d'Epitech Rennes à l'événement inOut
Le projet TravL d’étudiants d’Epitech Rennes à l’événement inOut

 

TravelBud, pour éviter l’ennui dans les transports

Les 8 étudiants en troisième année d’Epitech Rennes qui ont imaginé TravelBud ont voulu répondre à une problématique partagée par beaucoup de personnes : l’ennui dans les transports en commun. Afin de remédier à ce problème, les étudiants ont imaginé une plateforme hors ligne de diffusion de contenus multimédias.

 

Le projet TravelBud d'étudiants d'Epitech Rennes à l'événement inOut.
Le projet TravelBud d’étudiants d’Epitech Rennes à l’événement inOut.

 

Dans un avion ou dans un train, il n’est pas rare de ne pas avoir de réseau, mais TravelBud permet la connexion de ces personnes sans réseau. Elles peuvent interagir entre elles et accéder à un vaste contenu multimédia grâce à un réseau wifi offline.

Des ateliers Coding Club

Enfin, lors de cet événement, les Cobras d’Epitech Rennes ainsi que l’association E-mma ont animé ensemble des Coding Club, des ateliers gratuits d’initiation à la programmation informatique. Et le fameux combi Volkswagen de La Route du Coding Club était également présent sur l’esplanade Charles de Gaulle.

 

La route du Coding Club et son Combi Volkswagen
La route du Coding Club et son Combi Volkswagen

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Imaginer Rennes en 2035 ? Le hackathon à Epitech en partenariat avec Sciences Po Rennes et l’ENSCR

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Le week-end du 29 au 31 mars, le campus d’Epitech Rennes a accueilli des étudiants Erasmus de Sciences Po Rennes, des étudiants de l’École Nationale Supérieure de Chimie de Rennes, et les Universités de Rennes 1 et Rennes 2.

Imaginer Rennes en 2035

C’est à l’initiative de Sciences Po Rennes que la première édition de ce hackathon s’est mis en place. Devant le nombre conséquent d’étrangers étudiants à Sciences Po Rennes, l’école s’est mise en tête d’écouter leurs expériences de vie dans la métropole bretonne, et leurs solutions pour imaginer Rennes en 2035.

 

Hackathon Erasmus Epitech Rennes Sciences Po

 

En constante évolution, et reconnue régulièrement comme une ville où la qualité de vie est supérieure à la moyenne nationale, Rennes va encore grandir et se modifier d’ici 16 ans. Sciences Po Rennes a donc décidé de proposer ce hackathon à ses étudiants Erasmus, ainsi qu’à l’École Nationale Supérieure de Chimie de Rennes, à des étudiants des Universités de Rennes 1 et 2, ainsi qu’aux étudiants d’Epitech Rennes.

Un marathon créatif

Pendant trois jours -tel un marathon créatif-, tout ce petit monde s’est rassemblé dans les locaux d’Epitech Rennes pour réfléchir ensemble à des solutions de problématiques urbaines. Le but étant de prototyper des projets destinés à améliorer la ville de Rennes à l’horizon 2035. Les étudiants ont cogité sur les enjeux croisés des politiques sociales, migratoires, urbaines, environnementales, ou encore citoyennes sur la ville de Rennes.

Chaque étudiant apporte sa contribution

La nouveauté de ce hackathon n’est pas seulement le fait que des étudiants issus de milieux universitaires différents se rencontrent, mais surtout que chaque étudiant vient d’un pays différent. Chaque étudiant y apportera en effet sa contribution particulière et unique à travers ses compétences et expériences, enrichissant énormément le débat et donc aussi les solutions.

Un jury de professionnels

Et comme dans tout hackathon, il y a des gagnants. Tous les projets ont été jugés par un jury de professionnels composé de Béatrice HAKNI-ROBIN (Vice-présidente du Conseil Départemental), Marie-Anne CHAPDELAINE (Militante associative et ancienne députée), Giulia BERTOLIN (Chercheuse à l’Institut de Génétique et de Développement de Rennes), Livia CARÉMEL (Chercheuse en technologie laitière/microbiologie alimentaire au Centre d’Expérimentation et de Technologie Alimentaire, Groupe Saint-Exupéry), Khalil HANNA (Enseignant Chercheur à l’ENSCR) et Sébastien GREGOV (Enseignant à Sciences Po Rennes).

Hackathon Erasmus Epitech Rennes Sciences Po

 

Des idées pour cadrer les étudiants

Pour cadrer les étudiants, les encadrants du hackathon ont proposé plusieurs idées sur lesquelles travailler comme par exemple le réaménagement du fleuve de La Vilaine, l’aménagement de parcs, la valorisation des toits, ou encore un nouveau parc d’attractions.

Le groupe gagnant a travaillé sur une régie de transports nautiques intégrée au réseau urbain. Ils ont imaginé des pédalos en libre-service sur La Vilaine. Lucas Portet, en deuxième année d’Epitech Rennes faisait partie de ce projet, intitulé Pedal’eau, et a contribué à développer le site internet.

Des projets innovants

Les critères de sélection des groupes se basaient sur le caractère innovant du projet, sa faisabilité et sa qualité de restitution. L’équipe Pedal’eau s’est particulièrement illustrée par la qualité des rapports et la pertinence des échanges entre ses membres ; ce qui a fait pencher la balance en sa faveur.

 

Le groupe gagnant, Pédal’eau, pitche son projet devant le jury

 

Dans tous les cas, ce hackathon aura permis aux étudiants venant d’univers opposés de s’acculturer entre eux à des modes de pensée différents.

Bravo à tous les participants !

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Héra : le projet d’étudiants a gagné le challenge Agorize d’AWS (Amazon)

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A Epitech, on essaie au maximum d’impliquer les étudiants dans leurs projets à l’intérieur et à l’extérieur de l’école. Dernier exemple en date du 28 mars : le challenge Agorize dans les locaux d’AWS France, lors duquel un groupe EIP de troisième année d’Epitech Paris, Héra, a été présenté.

Innover à travers les problématiques des mobilités

Héra, ce sont 10 camarades en troisième année à Epitech Paris qui ont décidé de travailler ensemble pour leur projet d’EIP (Epitech Innovative Project), autour d’une idée : « faire changer les mentalités pendant les trajets en transport en commun ».

 

 

Selon l’Observatoire National de la délinquance et des réponses pénales, il y a eu environ 267 000 victimes d’agressions sexuelles dans les transports en commun entre 2016 et 2017, dont 85% était des femmes. 44% de ces victimes auraient même subi plusieurs actes de même nature. Une situation que les membres de Héra aimeraient bien changer. Surtout que parmi les 10 membres, deux sont des filles… chose rare à Epitech.

Pallier le problème du manque de 4G

C’est donc en réfléchissant sur différentes problématiques liées à la mobilité lors de la Piscine Moonshot de début de troisième année d’Epitech, que les membres ont eu cette idée. Avoir peur en prenant les transports le soir ou s’être déjà fait agresser est malheureusement une chose commune à toutes les femmes. Les étudiants ont donc décide de réfléchir à comment pallier ce problème tout en trouvant une solution au réseau 4G qui est trop inexistant dans les transports en commun.

 

 

Car même si des numéros d’alerte mis en place par la RATP existent déjà, ils sont trop peu efficaces, d’abord à cause du manque de réseau, mais aussi à cause du temps de réaction trop long. Souvent, les agresseurs sont déjà rentrés chez eux lorsque la RATP reçoit l’information.

Une application qui alerte de manière automatique

« Nous avons travaillé sur une solution simple pour les usagers des transports en commun parisiens. Lorsqu’ils sont témoins d’une agression, l’application Héra leur permet d’alerter immédiatement la RATP », explique Elodie Billiot, cheffe du projet.

 

 

L’application dispose d’une technologie Bluetooth qui permet à tous les détenteurs de téléphones portables d’être localisés et de déclarer très rapidement une agression sans dépendre du réseau mobile, parfois très incertain dans les transports en commun. « La rapidité de déclaration est primordiale pour que les autorités concernées puissent avoir une chance de retrouver les agresseurs », précise Elodie Billiot. »

Héra : Sélectionné par Amazon Web Services

Et ce projet semble plaire même en dehors de l’école, car Hera a été sélectionné parmi 143 groupes pour être présenté dans les locaux d’AWS France lors du challenge Agorize. « Au début, on voulait juste voir ce que ça allait donner en inscrivant notre projet. Pour la première étape, on devait seulement faire une press release de notre projet, puis pour la deuxième étape il fallait le décrire en détail, et finalement on a gagné et on a été choisis pour le pitcher » raconte Elodie Billiot.

Le soutien d’une grande entreprise

Une très belle opportunité pour ces étudiants qui ont pu avoir le soutien d’AWS pour utiliser leur infrastructure et leurs technologies. « Avoir le support d’une grande entreprise, c’est vraiment super, on a beaucoup appris, on a vu de nouvelles choses, et on a développé un nouveau prototype sur leur plateforme » s’enthousiasme l’étudiante d’Epitech.

Un partenariat avec la RATP ?

Actuellement, les 10 étudiants sont en stage dans diverses entreprises, mais ils reprendront leur projet dans quelques mois pour l’améliorer encore plus, et pourquoi pas proposer un partenariat avec la RATP.

Bonne chance à eux !

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Hackathon Digital & Innovation Days… encore des Epitech gagnants !

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Les 4 et 5 avril dernier, l’École de Commerce IÉSEG a organisé un hackathon de deux jours dédiés au digital et à l’innovation.

Les problématiques des grandes entreprises

150 étudiants du Master Digital, Marketing, et Innovation de l’IÉSEG, d’Epitech, de l’école d’ingénieurs ESILV, de 42, et d’autres écoles partenaires ont travaillé ensemble. Le but ? répondre à des problématiques posées par des entreprises partenaires.

 

Digital And Innovation Days Hackathon

 

Parmi les entreprises, on trouvait Oracle, Sony, Kronenbourg, Adobe, Leroy Merlin, AirFrance, L’Oréal, Mars et bien d’autres…

Découvrir une autre façon de travailler

Les 18 étudiants d’Epitech participants ont été encadrés par Alexandra Enneyah-Marie, membre du jury et accompagnatrice pédagogique à Epitech. Elle raconte :

« Ce hackathon a été très enrichissant pour nos étudiants car ils ont pu découvrir une autre façon de travailler en groupe avec des étudiants qui sont issus d’un autre type de formation. Je suis fière de ce qu’ils ont produit »

Et les Epitech ont encore gagné !

Trois étudiants ont d’ailleurs remporté des challenges proposés par des grandes entreprises. Manar Benkraouda, étudiant en 2ème année à Epitech Paris, participait au challenge Leroy Merlin. Il a gagné un atelier dans cette enseigne grâce à un projet innovant mis en place avec des étudiants d’autres écoles partenaires de l’événement.

 

Le lancement du hackathon digital and innovation days avec epitech

 

Madhi Boughlam, autre étudiant d’Epitech en 3ème année, a lui remporté le challenge de l’entreprise Sony. La multinationale japonaise avait proposé aux participants d’utiliser la technologie ToF (Time of Flight) ; pour faire de la surveillance et de la détection en 3D dans les applications mobiles.

Le prix ? Leur poids en nourriture !

Quant à Alvyn Yang, en troisième année également, il a remporté le challenge de MARS, un groupe américain agroalimentaire et agro-industriel. Mars proposait leur poids en nourriture aux participants du groupe gagnant. Le mastodonte américain a soumis une problématique aux étudiants en relation avec la livraison à domicile de produits agroalimentaires et la personnalisation des repas.

Shazamer les plats au restaurant

Alvyn et ses coéquipiers ont proposé de créer une application mobile qui « shazam » les repas mangés aux restaurants, et qui peut guider les consommateurs à préparer ce même repas à la maison. Le tout en respectant les régimes alimentaires, et également en recommandant d’autres recettes proches.

 

Les participants au hackathon digital and innovation days Epitech groupe Sony

 

Alvyn précise : « Nous avons également inclus un réseau social et une gamification de l’application pour inciter l’achat de produits issus de la compagnie Mars ». Ce projet a totalement plu aux dirigeants de cette entreprise qui ont déclaré ce groupe vainqueur.

Bravo également à tous les autres étudiants d’Epitech participants !

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La remise des titres de la promo 2018

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Samedi 13 avril, 632 étudiants d’Epitech et 53 apprenants de la Web@cadémie ont été diplômés dans l’amphithéâtre du Palais des Congrès de la Porte Maillot à Paris. Le groupe IONIS a vu les choses en grand pour cet événement de qualité lors duquel les familles des diplômés ont pu participer.

 

epitech promotion 2018 remise des titres

 

Une cérémonie hors normes

C’est la deuxième fois que la remise des titres a lieu au Palais des Congrès. Avant, l’événement se déroulait à la Maison de la Mutualité à Paris, mais au vu du nombre croissant de diplômés, il a fallu trouver un endroit approprié. C’est donc tout naturellement que les équipes d’Epitech ont choisi le Palais des Congrès, lieu chargé d’histoires et de cérémonies de la plus haute importance. Il faut bien diplômer nos étudiants comme ils le méritent.

étudiants diplômés 2018

Epitech a 20 ans

Comme pour chaque cérémonie de remise des diplômes depuis 20 ans (et oui Epitech a 20 ans, déjà !), les directeurs du Groupe IONIS ont livré des discours inspirants à nos diplômés d’Epitech. Le PDG Marc Sellam a rappelé l’importance et la responsabilité que désormais, les diplômés, doivent prendre en compte. Tandis que Fabrice Bardèche, le Vice-Président Exécutif du Groupe IONIS, a également enjoint les étudiants à être fiers d’eux et de leur travail pendant ces cinq années d’études pour Epitech, et deux ans pour la Web@cadémie.

Dorénavant Experts en Technologies de l’Information, les tek (comme on les appelle chez Epitech) ont entre leurs mains le pouvoir de créer le monde de demain. Les métiers de la tech sont aujourd’hui au cœur de tous les écosystèmes, et les diplômés d’Epitech et de la Web@cadémie sont armés pour le monde du travail. C’est d’ailleurs pour cela qu’il y a 100% d’embauche après leurs études.

 

La promotion 2018 désormais diplômée

Emmanuel Carli, Directeur Général d’Epitech a lui aussi tenu un discours bienveillant envers les diplômés de cette promo 2018. Il a également remercié les parents présents en nombre d’avoir fait confiance à Epitech pour la formation de leurs enfants.

Cette année, c’est la première fois que des étudiants d’Epitech sont parrainés par une marraine et non pas un parrain. Même si à Epitech, comme souvent dans les écoles d’informatique, il y a beaucoup plus d’étudiants que d’étudiantes, pallier ce problème est l’un des principaux défis de l’école, et encore plus celui d’Emmanuel Carli.

 

Une marraine pour la première fois

Sur scène, il a manifesté plusieurs fois sa reconnaissance envers Joséphine Goube, CEO de Techfugees, d’avoir accepté d’être la marraine de cette promotion 2018. Un choix symbolique puisque cette année, Epitech a diplômé Dipty Chander, présidente de l’association E-mma, qui a pour but de promouvoir la mixité au sein des écoles et des métiers du numérique.

 

joséphine goube marraine promo 2018 epitech

 

Joséphine Goube, entrepreneuse de 30 ans

Joséphine Goube quant à elle, a fait un discours valorisant les métiers des développeurs, si utiles aujourd’hui pour résoudre des problématiques sociétales. Cette entrepreneuse de 30 ans a également conseillé aux étudiants de toujours choisir un poste par passion, motivation et détermination, et non pour le montant d’un salaire.

C’était ensuite au tour du major de promo de faire un discours. Originaire du campus de Lyon (comme le major de promo de l’année dernière), Antoine Bolvy a remercié ses camarades (et surtout un certain Quentin !), les encadrants pédagogiques, et ses parents. Il a travaillé énormément en cinq ans pour obtenir le titre de major de promo et est désormais en CDI dans une entreprise qui fait de la 3D à Lyon.

Sans oublier la Web@cadémie

 

antoine bolvy major de promo 2018

 

Les étudiants de la Web@cadémie ont ensuite été eux aussi diplômés, après les mots de Fabrice Bardèche et d’Emmanuel Carli. Et tous ont fait le rituel lancé de chapeau pour proclamer la vie de leur vie d’étudiants.

Une belle journée qui s’est terminée sur un verre de champagne, et des petits fours préparés à l’occasion par les traiteurs du Palais des Congrès.

Bientôt, retrouvez la vidéo de l’événement, ainsi que les photos souvenirs.

A l’année prochaine !

 

cérémonie remise des titres epitech 2018

 

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Au festival Makeme, les étudiants d’Epitech Nantes ont exposé leurs projets

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Le week-end du 6 et 7 avril a eu lieu au Parc des Expositions de la Beaujoire de Nantes un festival dédié au mouvement Maker. Contactés par les organisateurs, le campus d’Epitech Nantes a proposé des projets étudiants à valoriser.

Faire appel à Epitech : c’est naturel !

C’est Jean-Marc Méléard, fondateur de Makeme, une agence événementielle spécialisée dans les usages numériques et le mouvement maker basée à Rennes, qui a fait appel à Epitech. « On avait organisé le festival TechInn Vitré et Epitech Rennes était venu en force avec plein de projets super intéressants, donc on a voulu renouveler l’expérience avec Epitech Nantes. Et on n’est pas déçus ! »

 

MakeMe Fest Nantes Epitech

 

Pour lui, faire appel aux ressources d’Epitech lors de l’organisation d’événement, est quelque chose de « naturel et évident ». Lors de cet événement qui a rassemblé un peu moins de 2000 personnes, un public assez large, familial ou encore connaisseur ; le projet « MotionPerfect » d’étudiants en troisième année a été exposé. Les participants ont également eu la chance de rencontrer l’association E-mma nantaise, qui a proposé un atelier de programmation gratuit.

E-mma : des valeurs de mixité importantes

« On a adoré cet atelier, commente Jean-Marc, car l’association E-mma véhicule des valeurs qui nous semblent très importantes et très actuelles aujourd’hui, à savoir la mixité dans le numérique par exemple ».

 

L'association E-mma d'Epitech Nantes au festival Make Me

 

Mais ce n’est pas tout ! Une trentaine de projets makers ont été présentés lors de ce festival dans beaucoup de domaines différents. Alberic Monestier, étudiant en troisième année à Epitech Nantes, est le chef de projet de MotionPerfect, qui a été présenté au Makeme Fest.

MotionPerfect : pour éviter les accidents du travail

Situé dans l’espace innovation du festival, ce projet constitue en des capteurs disposés sur le corps d’un individu qui détectent et analysent les mouvements dangereux lors d’une activité physique. Sur des chantiers par exemple, lorsque les travailleurs portent une charge lourde, ils peuvent réaliser de mauvais mouvements qui vont, à long terme, avoir des répercussions sur leur santé.

Contacter des experts pour mener à bien le projet

C’est pour éviter ces problèmes que l’équipe d’Alberic (composée de sept étudiants), a décidé de travailler sur ce projet. « Au début, on voulait s’axer sur le sport, on a contacté des experts en médecine, en kinésithérapie, en ingénierie, en mécanique… Et finalement on s’est dit qu’il valait mieux retranscrire le projet dans un domaine plus professionnel ».

Aujourd’hui, le projet est encore à l’état de prototype, mais les étudiants n’excluent pas d’en faire un vrai projet commercialisable d’ici quelques temps. « On a commencé avec un modèle en plâtre, puis en plastique, et finalement on a utilisé l’imprimante 3D pour faire ce qu’on voulait vraiment, c’est en ça que notre projet est un vrai projet maker ».

Des capteurs qui vibrent

Les capteurs disposés sur le corps de l’individu s’exposant à des pratiques de travail dangereuses, vibrent en cas de placement de posture inadéquate.

 

Stand de MotionPerfect Epitech Nantes MakeMe Fest

 

« Ce projet mérite à être connu et il est carrément dans les problématiques qu’on recherche, s’enthousiasme Jean-Marc Méléard, les étudiants sont très pros et participer à cet événement leur permet de confronter leur projet au grand public, c’est un super exercice pour eux ».

Vulgariser un discours pour expliquer le projet

C’est également le point de vue d’Alberic pour qui le Makeme était le premier événement auquel il a participé en tant qu’exposant. « Ça nous oblige à devoir vulgariser notre discours en fonction des personnes qu’on a en face de nous, explique Albéric, et puis ça nous permet d’avoir des retours afin d’améliorer notre projet ».

Les retours qu’ont eu les étudiants sur leur projet MotionPerfect ont été plutôt positifs. « Ça nous rend fiers parce qu’on passe énormément de temps sur ce projet, donc on est content de voir que ça plaît et que le temps qu’on investit n’est pas perdu ».

MotionPerfect a même été invité à participer à un autre festival, mais les étudiants préfèrent attendre d’avoir un nouveau prototype encore plus professionnel à présenter avant de l’exposer à nouveau.

 

Longue vie au projet !

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Geek Touch 2019 à Lyon : entre réalité virtuelle et Coding Clubs

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Les 4 et 5 mai derniers, le parc Eurexpo de Lyon a accueilli la Geek Touch, le festival 100% Geek. Pour cette troisième édition, quatre étudiants d’Epitech Lyon ont participé afin de mettre en avant leurs projets étudiants.

Festival autour des thématiques de la pop culture et des mondes imaginaires, la Geek Touch de Lyon a été le temps d’un week-end le rendez-vous des influenceurs des milieux du jeu-vidéo, de la fantasy, de la science-fiction ou encore du cinéma…

 

 

Epitech Lyon à la Geek Touch

Et le campus d’Epitech Lyon avait évidemment un stand lors de cet événement de taille. Thomas Barrière, Laurene Netzer, Antoine Rieuse et Lucie Philippon, en première et troisième année d’études à Epitech Lyon, ont présenté l’école aux curieux venus découvrir la méthode pédagogique d’Epitech.

Coding Club : apprendre en s’amusant

Les étudiants ont également animé des ateliers Coding Club avec des jeux Blockly auprès d’une trentaine de lycéens et collégiens. Ces ateliers gratuits permettent à toute personne ne connaissant rien au code d’apprendre en s’amusant : c’est là toute la philosophie d’Epitech.

Déguisement de licorne bleue

S’amuser et ne pas se prendre au sérieux, c’est aussi la philosophie de Lorraine Netzer, étudiante à Epitech Lyon en troisième année, et participante à la Geek Touch depuis trois ans. « Je me déguise en licorne bleue et je vais me balader entre les stands pour approcher des gens et leur proposer de venir participer à nos ateliers de code gratuits » raconte-t-elle. Cette « Cobra » (comme on appelle les étudiants qui apprennent aux débutants les prémices du code), adore transmettre sa passion aux plus jeunes.

Transmettre la passion du code

Depuis sa première année d’étude à Epitech, Lorraine Netzer en profite pour participer à tous les salons centrés autour des thématiques du numérique et de l’innovation. « J’ai un bon contact avec les gens, je suis très avenante et même si cette année il y avait moins de public que les autres années à la Geek Touch, beaucoup sont venus visiter le stand d’Epitech » s’enthousiasme l’étudiante, qui a toujours été très investie dans les événements de l’école.

 

Les étudiants d'Epitech Lyon ont participé à la Geek Touch 2019

 

Expérience en réalité virtuelle

Elle attribue la mobilisation du grand public de la Geek Touch sur le stand d’Epitech à la présence d’une expérience en réalité virtuelle imaginée par d’autres étudiants d’Epitech. Elle raconte : « beaucoup d’exposants demandaient une contribution financière pour que le public essaie leurs jeux », mais le stand d’Epitech proposait le test de son expérience en réalité virtuelle de manière gratuite.

Montrer les travaux des étudiants de l’école

Thomas Barrière, également étudiant en troisième année à Epitech Lyon, est la personne qui a imaginé cette expérience en réalité virtuelle. L’utilisateur enfile son casque et ses manettes, et il se retrouve dans un jardin dans lequel il peut jouer à différents petits jeux. Il peut s’entraîner sur un sac de frappe, il peut tester le chamboule tout, il peut se promener dans une grotte où il y a des champignons luminescents… Le but est d’introduire les premiers concepts de la réalité virtuelle à un public novice.

C’est avec Mattieu Eynard-Longuet que Thomas Barrière a imaginé cette interaction. D’abord créée pour intervenir au salon lyonnais, le Mondial des Métiers, cette expérience a été réitérée à la Geek Touch. Les deux camarades sont depuis même avant leurs études à Epitech, des fans et des créateurs d’expériences en réalité virtuelle.

 

Essayer la réalité virtuelle avec Epitech à la Geek Touche de Lyon 2019

 

On attend avec impatience la prochaine édition de la Geek Touch pour voir ce que les étudiants nous auront préparé.

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Des projets étudiants d’Epitech seront présentés à Viva Technology 2019 !

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De retour pour une 4e édition du 16 au 18 mai 2019 à Paris Expo Porte de Versailles (15e), le salon Viva Technology s’est imposé en quelques années comme un rendez-vous international majeur de l’innovation. Principal partenaire de l’événement depuis 2016 dans le secteur de l’enseignement supérieur, IONIS Education Group sera à nouveau présent cette année pour y dévoiler projets et start-ups d’avenir portés par étudiants et Anciens.

AVM : LUTTER CONTRE LA MUCOVISCIDOSE AU QUOTIDIEN

 

Epitech participe à Viva Technologie 2019 au Parc des Expositions à Paris du 16 au 18 mai 2019, avec le projet AVM

 

Porté par Antoine Bertrand, Thomas Bertrand, David Banget–Mossaz et Abdelhalim Chekroun (Epitech promo 2019), AVM propose une appli web et mobile aidant les personnes atteintes de la mucoviscidose dans leur quotidien, en lien avec les soignants. Le projet a été désigné lauréat lors de l’Epitech Experience 2019.

AVM sera présent le jeudi 16 et le samedi 18 mai

BACKING TRACK LIVE : LA MUSIQUE POUR TOUS

 

Epitech participe à Viva Technologie 2019 au Parc des Expositions à Paris du 16 au 18 mai 2019, avec le projet BackingTrackLive

 

Imaginée par Fabien Vogelweith et Jordan Le Pera (Epitech promo 2019), Backing Track Live est une jeune start-up spécialisée dans le développement d’applications ayant pour but d’améliorer le quotidien des musiciens. Elle propose notamment un programme d’accompagnement musical en temps réel.

Backing Track Live sera présent le jeudi 16, le vendredi 17 et le samedi 18 mai

CLEVERDOC : L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE POUR LA SANTÉ

 

Epitech participe à Viva Technologie 2019 au Parc des Expositions à Paris du 16 au 18 mai 2019, avec le projet Cleverdoc

 

Comptant Sébastien Pouilly (Epitech promo 2017) parmi ses cofondateurs et incubée au sein de IONIS 361, CleverDoc met en place un outil d’aide au diagnostic dans le domaine de l’imagerie médicale en utilisant l’intelligence artificielle.

CleverDoc sera présent le jeudi 16 et le vendredi 17 mai

HÉRA : UNE SOLUTION ANTI-AGRESSION

 

Epitech participe à Viva Technologie 2019 au Parc des Expositions à Paris du 16 au 18 mai 2019, avec le projet Héra

 

Développé par 10 étudiants de la promotion 2021 d’Epitech Paris, le projet Héra consiste en une application de signalement d’agression dans les transports en commun qui s’appuie sur la technologie Bluetooth. Il a récemment été désigné vainqueur du challenge Agorize d’Amazon Web Services (AWS).

Héra sera présent le vendredi 17 et le samedi 18 mai

AHIO : UNE MONTRE POUR GAGNER EN AUTONOMIE

 

Epitech participe à Viva Technology au Parc des Expositions à Paris, avec le projet AHIO

 

Assistant connecté et personnalisé à destination des personnes autistes au moment de leur intégration en entreprise ainsi que de les accompagner au cours de moments de la vie quotidienne, Ahio est le projet de Claire Chong, Thomas Bissay, Gwendal Amosse, Esteban Marigonez, Thibault Dolley et Louen Pilet (Epitech promo 2021).

Ahio sera présent le jeudi 16 et le vendredi 17 mai

E-MMA : L’ACTION POUR LA PARITÉ !

 

Epitech participe à Viva Technologie 2019 au Parc des Expositions à Paris du 16 au 18 mai 2019, avec l'association E-mma

 

Si l’objectif de parité semble lointain dans le monde de l’informatique et du numérique, l’association E-mma d’Epitech vise à en faire la promotion et à améliorer la situation et les mentalités, via des ateliers et différentes actions.

E-mma sera présente le samedi 18 mai

BLIND : AU SERVICE DES PLUS FRAGILES

 

Epitech participe à Viva Technologie 2019 au Parc des Expositions à Paris du 16 au 18 mai 2019, avec le projet Blind

 

Porté par Flavian Gontier, Lucas Clerisse, Fabien Labarbe, Nathan Lebon, Yoann Kersulec, Hadrien Mortier, Erwan Bernard et Clément Baumann (Epitech promo 2021), Blind est un dispositif facile à mettre en place et entièrement autonome qui, grâce à la puissance de l’intelligence artificielle, permet de détecter les chutes de personnes à leur domicile.

Blind sera présent le vendredi 17 et le samedi 18 mai

HERDINGCATS : UN COLLIER CHATOYANT !

 

Epitech participe à Viva Technologie 2019 au Parc des Expositions à Paris du 16 au 18 mai 2019, avec le projet Hearding Cats

 

Né de l’association entre Leslie Moinet (e-artsup 2018) et Florian Bacho (Epitech promo 2021), HerdingCats est un collier connecté pour animal de compagnie. Grâce à une intelligence artificielle capable d’apprendre son comportement, il permet de mieux connaître son animal et de prévenir de potentiels situations à risque !

HerdingCats sera présent le samedi 18 mai

Et pour voir tous les projets du Groupe IONIS, c’est par ici !

 

 

Informations pratiques (horaires, accès…) sur la page dédiée

Cliquez ici pour accéder à la billetterie professionnelle ou là pour celle réservée au grand public

Suivez l’événement en direct sur les réseaux sociaux du Groupe IONIS et notamment via Twitter

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Des étudiants d’Epitech Paris remportent 2000 $ lors d’un concours d’Ubisoft à Montréal

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Victor Debray et Théo Penavaire sont étudiants en 4e année à Epitech Paris, et sont actuellement en échange universitaire à l’Université Concordia. Ils ont participé au concours universitaire d’Ubisoft 2019 et sont repartis avec le Prix Spécial du Jury.

Un concours grandiose

Le concours universitaire d’Ubisoft, c’est 168 participants (dont 24% de femmes), 21 équipes, 12 universités canadiennes, 9 prix, et 22 000 $ en bourses. Victor et Théo sont amis depuis leur première année d’études à Epitech Paris et ont déjà travaillé ensemble sur de nombreux projets. « On a chacun notre spécialité, explique Victor, Théo il est très axé sur les jeux vidéo, et moi je suis plutôt dans la programmation back end, les serveurs ».

 

Concours Universitaire d'Ubisoft à Montréal. Epitech gagne !

 

C’est pour cette raison que les deux étudiants ont déjà monté (et gagné !) de nombreux projets ensemble : leurs compétences sont complémentaires.

Concordia : une université avec une pédagogie par projets

Concordia est une université de Montréal qui est très ouverte aux thématiques liées à l’IA et le développement de jeux vidéo. Son approche pédagogique est assez théorique, mais on y trouve également des modules avec une pédagogie par projets, « comme à Epitech, précise Victor, et c’est d’ailleurs pour ça que j’ai choisi de faire un échange dans cette université ».

C’est Théo, véritable passionné de la programmation de jeux vidéo, qui prend connaissance du concours organisé par Ubisoft. « L’idée de travailler pendant 10 semaines sur un projet, en équipe mixte, et avec de vraies récompenses à la fin nous a beaucoup plu, et on a décidé de participer, pour nous challenger » expliquent les deux amis.

Le thème de l’édition 2019 ? le spectacle

La compétition commence mi-janvier. Le thème est dévoilé devant les étudiants de différents domaines, et de différentes universités, par des employés des studios canadiens d’Ubisoft. Ils ont dix semaines pour créer un prototype viable, qui réponde au thème, qui ait un beau design, avec une bonne expérience utilisateur et qui soit créatif.

 

Des étudiants d'Epitech ont remporté le Prix Spécial du Jury au concours universitaire Ubisoft à Montréal

 

« Aujourd’hui, dans les jeux vidéo, comme dans l’e-sport, on regarde de plus en plus les autres jouer. C’est comme un spectacle ! contextualise Victor, de plus en plus de jeux se regardent sur des télé en ligne, comme Twitch par exemple, par des personnes qui ne vont pas jouer du tout ».

Une équipe complémentaire…

C’est dans cette dynamique -créer un jeu vidéo en pensant d’abord à l’audience et non aux joueurs- que les équipes devaient imaginer leurs projets. L’équipe des deux étudiants d’Epitech était composée de huit personnes, toutes de Concordia : 4 artistes, étudiants en arts de la modélisation, et 4 développeurs (dont Théo et Victor).

… qui s’est super bien organisée !

« On s’est extrêmement bien entendus, on était tous intelligents, motivés, complémentaires, aimant travailler en équipe, raconte Victor, et je pense que notre engagement à tous a contribué à la réussite de notre projet. C’est l’entente de l’équipe qui prime devant les compétences individuelles de chacun. Pendant 10 semaines, on a suivi un planning très précis, on se voyait deux fois par semaine pour parler de l’avancement de nos projets, et on avait une réunion avec notre mentor d’Ubisoft une fois toutes les deux semaines. Et puis, on se faisait des soirées pizza tous ensemble. Toutes ces personnes sont devenues des amies pour moi ».

Witchin’ Kitchen : le prix spécial du jury

Les huit camarades ont imaginé un jeu très intéressant, répondant véritablement au thème posé. Ils ont décidé de faire une sorte d’arène dans laquelle une sorcière est en train de préparer des potions (il peut y avoir au maximum 4 joueurs donc 4 sorciers ou sorcières).

 

Witchin’ Kitchen, le jeu prototypé par l'équipe comportant des étudiants d'Epitech au concours universitaire d'Ubisoft à Montréal

 

Les joueurs doivent récupérer les ingrédients qui apparaissent sur la map, et créer des potions en suivant des recettes. Ces potions débloquent des sorts que l’audience (les spectateurs connectés via le serveur du jeu) peut appliquer sur des joueurs. Des sorts positifs, comme des sorts négatifs.

Impliquer l’audience, sans qu’elle soit joueuse

L’audience interagit via une application mobile qui transmet les actions au serveur, auquel le jeu est également connecté. « Ce serveur est l’interface entre les joueurs et les spectateurs » explique Victor, qui s’est occupé de construire toutes ses caractéristiques.

Le spectateur peut faire des choix

Les étudiants ont réellement travaillé sur un jeu qui permettrait d’impliquer l’audience sans pour autant qu’elle devienne joueuse. « Les personnes qui regardent les autres jouer, c’est parce qu’elles pensent qu’elles sont bonnes, ou drôles, mais ça ne veut pas forcément dire qu’elles veulent jouer avec, souligne Victor, alors nous on a imaginé un jeu dans lequel le spectateur n’est pas trop actif, et où il peut choisir d’agir ou pas ».

 

Concours Universitaire Ubisoft Epitech gagne

 

Une bonne idée car le jeu Witchin’ Kitchen a été nominé pour trois prix parmi 21 équipes, et a gagné le Prix Spécial du jury.

« On a imaginé pas mal d’actions originales que les sorts pourraient engendrer, détaille Victor, comme le fait de devenir un sorcier géant, de pouvoir jeter des boules de feu, ou alors qu’une pluie de météorites tombe, que les ingrédients dansent dont qu’il soit difficile de les attraper, ou encore que l’arène devienne lisse donc que les joueurs glissent, ou que l’herbe pousse et qu’on ne voit plus rien »

21 équipes, 10 semaines de travail, 9 prix à gagner

Fin avril, après 10 semaines de prototypage et de travail intensif, les 21 équipes ont présenté leur travail devant les jurés d’Ubisoft, mais également tous les autres participants. Au lieu du conventionnel pitch devant une assemblée, Ubisoft avait imaginé un système de stands où chacun pourrait essayer les jeux, poser des questions, et tester les prototypes.

Les deux étudiants d’Epitech sont assez contents de leur projet. « Je pense qu’on a réussi à faire une intégration assez complète, on n’a pas vu de couac dans notre prototype et parfois, on a trouvé des bugs qui sont devenus des features. C’est le premier projet pour une compétition qu’on a si bien réussi et dont on est fier du résultat puisqu’on l’a publié sur itch.io », s’enthousiasme Victor.

 

The Witchin' Kitchen’s, le jeu qui gagne le prix spécial du jury par les étudiants d'Epitech

 

Les huit étudiants ont remporté 2000 dollars à se partager, et bien évidemment, ils se sont fait des contacts chez Ubisoft, et ont gagné en ouverture d’esprit. Une expérience inoubliable pour ces étudiants qui continueront, on n’en doute pas, à travailler ensemble et à imaginer des produits et des services innovants.

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Stun Game Jam à Epitech Rennes : 48h pour créer un jeu vidéo !

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Les 17, 18, et 19 mai a eu lieu à Rennes le Stun Fest, un festival dédié aux jeux vidéo. En amont, Epitech Rennes a accueilli la Stun Game Jam, grâce à l’organisation de l’association Indie Collective et 3 Hit Combo.

Les participants ont eu 48H pour créer un jeu vidéo dont le thème était « la mire » (une image d’étalonnage pour la télévision). Trois étudiants d’Epitech Rennes ont participé, parmi une trentaine de personnes présentes, étudiants d’autres écoles ou professionnels du métier.

Mener des projets ? Facile pour les étudiants d’Epitech

Guilian Ganster et Ghassane Sebaï, tous les deux étudiants en première année à Epitech Rennes, ont accepté de nous raconter ces deux journées de réalisation d’un jeu vidéo. Ils ont décidé de travailler ensemble et avec un troisième étudiant du campus rennais.

 

Début de la game jam à Epitech pendant le StunFestival

 

Dès l’annonce du sujet, les trois collègues se sont répartis les rôles entre eux, sans perdre de temps. « On a l’habitude de travailler sur des projets chez Epitech, alors contrairement aux autres équipes qui ont mis du temps à trouver un sujet, pour nous, c’est venu très vite », raconte Guillian.

Créer un jeu vidéo en 48h

La mire s’apparentant au domaine de la télévision, la plupart des équipes se sont tournées vers ce thème. Les étudiants d’Epitech ont, au contraire, préféré créer un jeu vidéo sur la publicité dans la télévision.

 

Le jeu vidéo d'Epitech Rennes dans le cadre du festival Stun Fest et la Game Jam

 

« Nous avons imaginé un jeu vidéo de plateau où deux personnes s’affrontent. Ce sont des annonceurs de publicité, et ils doivent réussir à capturer le plus de fréquences ou de chaines de télévision possibles. Les joueurs se volent des chaines, protègent les leurs, et le gagnant est celui qui en a le plus à la fin de la partie », explique Guilian.

Répartition des rôles et efficacité

Les participants ont beaucoup aimé le format de cette Game Jam puisqu’il n’y avait pas de compétition, le thème était assez large, et ils ont pu être très libres dans le scénario du jeu. Ghassane s’est occupé du graphisme, des musiques, et du code du jeu ; tandis que Guilian a codé les ficelles et les comportements du jeu .

Ce dernier raconte : « Quand je code un jeu, j’essaie de créer des parties indépendantes pour après les mettre ensemble, comme pour un jeu de lego ».

 

 

 

Festival Jeu vidéo à Epitech Rennes

 

Quant à Ghassane, également développeur, mais aussi porté sur le graphisme visuel et auditif, a lui aussi adoré travailler sur cette Game Jam : « le thème nous a permis d’imaginer tout ce qu’on voulait, de construire un projet de A à Z sans avoir de rendu spécifique ».

Présentation officielle pendant le StunFest

Avoir seulement deux jours de prototypage peut être une contrainte pour les créateurs de jeux vidéo. Pourtant, les deux amis et collègues ont, au contraire, aimé devoir réfléchir rapidement et produire de manière consciencieuse.

 

Le jeu vidéo créé par les étudiants d'Epitech Rennes lors de la game jam du Stun Fest

 

« Ce qui est vraiment intéressant lors des Game Jam, c’est qu’on peut se rendre compte de tout ce qu’on est capable de créer en seulement un week-end » raconte Ghassane. Et Guilian de renchérir : « Notre jeu a beaucoup plu car nous avons réussi à y insuffler de la compétition, des challenges, et on a vu que les personnes qui y jouaient y ont pris goût ».

Une game jam familiale

D’ailleurs, puisque le prototype de leur jeu vidéo créé en 48H est valide et fonctionne, il a été présenté lors des 3 jours de festival les 18, 19, et 20 mai.

Les deux amis ont adoré l’ambiance de cette game jam. « C’est vraiment familial, tout le monde s’entraide, et puisqu’on avait du matériel pour enregistrer de la musique, on l’a fait pour d’autres équipes », raconte Ghassane.

Des étudiants rigoureux

« On a aussi remarqué qu’on s’appropriait vite le sujet, contrairement à d’autres personnes, très bonnes en théorie, et très compétentes, mais qui avaient plus de mal sur la pratique. Nous, 5 minutes après l’annonce du sujet, on avait déjà commencé à coder », explique Guilian.

 

Fin de la game Jam à Epitech Rennes dans le cadre du Stun festival

 

« C’est vrai qu’on a plus de rigueur sur certains niveaux du code. Et côté organisation, on était aussi avantagés, on a l’habitude de ce type de projets, alors qu’on est seulement en première année à Epitech Rennes » renchérit Ghassane.

Et bien on a hâte de voir ce que ces étudiants deviendront dans quelques années !!

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ICT Spring à Luxembourg : le campus d’Epitech Nancy y était

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Toujours à l’affût des dernières innovations dans le milieu des nouvelles technologies, les équipes d’Epitech n’hésitent pas à se rendre sur les salons spécialisés afin d’aller à la rencontre des acteurs du milieu numérique. Ainsi, une partie de l’équipe d’Epitech Nancy s’est rendue à l’ICT Spring qui se déroulait à Luxembourg les 21 et 22 Mai pour assister aux conférences et rencontrer l’écosystème vivant autour des thématiques fintech, digital et de l’intelligence artificielle.

 

ICT Spring Salon IT au Luxembourg Epitech Nancy

 

Comme les années précédentes, l’ICT Spring était LE rendez-vous à ne pas manquer. Ainsi, ce ne sont pas moins de 5000 visiteurs, 100 conférenciers, 72 pays représentés et 500 entreprises et startups qui se sont retrouvés. Un écosystème riche et varié pour les étudiants d’Epitech Nancy.

Le rendez-vous des experts

Réparties sur trois thématiques (Fintech, Digital et Espace), les conférences se sont succédées sur ces deux jours. De ce fait, l’équipe d’Epitech Nancy a pu assister à plusieurs conférences, toutes animées par des experts dans leur domaine et de grandes personnalités telles que Luc Julia, CTO de Samsung Electronics, Jean Rognetta, directeur de la rédaction de Forbes ou encore Xavier Bettel, Premier Ministre luxembourgeois.

 

Luxembourg ICT Spring Epitech Nancy

 

Dans les allées du salon, les professionnels se rencontrent et échangent. Pour l’édition 2019, 9 startups sud-coréennes ont fait le déplacement pour présenter leur concept au public européen. On y croise également des entreprises allemandes, françaises et même portugaises. Un seul mot d’ordre : l’innovation.

De nouvelles opportunités pour nos étudiants

Marine Potier, chargée de communication explique :

« Il est très important pour nous d’être présents aujourd’hui, afin de représenter Epitech et nos étudiants. Nous connaissons la demande des employeurs luxembourgeois dans le domaine du numérique, et nous savons que nos étudiants peuvent répondre à leurs besoins ».

Lucas Brignon, accompagnateur pédagogique ajoute :

« C’est aussi important de rencontrer des personnes expertes dans leur domaine, que nous pourrions solliciter par la suite pour animer des conférences dans nos locaux et ainsi partager leur savoir faire avec nos étudiants ».

L’équipe essaie également de répondre aux demandes des étudiants en termes de rencontres et d’ateliers.

Un seul mot d’ordre : l’innovation

Intelligence Artificielle, Big Data, Embarqué ou encore Cyber Sécurité, de nombreux domaines étaient représentés. Présents également, les incubateurs de startup, à commencer par the LHoFT, le hub de l’innovation luxembourgeoise dédié à la Fintech, ou encore Hub@Luxembourg, en partenariat avec le Crédit Agricole.

 

 

En conclusion, cette année encore, le salon ICT Spring a tenu toutes ses promesses en réunissant la communauté IT et en encourageant les partenariats de demain.

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Epitech à Viva Technology 2019 : qu’en ont pensé les visiteurs ?

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Comme depuis quatre ans, Epitech et le Groupe IONIS étaient présents à la grande messe française de l’innovation : Viva Technology. De nombreux projets étudiants ont été mis en avant, et certains étudiants ont également eu l’opportunité de pitcher leur projet devant des professionnels du métier et de participer à des conférences de qualité.

Les projets issus d’Epitech exposés :

AVM : l’Assistant de Vie pour la Mucoviscidose

BackingTrackLive : le programme d’accompagnement musical en temps réel

CleverDoc : l’Intelligence Artificielle pour la santé

Héra : la solution anti-agression dans les transports en commun

AHIO : un assistant personnalisé pour les personnes autistes en entreprise

Emma : l’association pour la mixité dans le numérique

WitickApp : l’application qui simplifie l’usage des transports en commun à Bordeaux

Qu’en ont pensé les visiteurs ?

Vivatech, c’est quatre jours plutôt éreintant pour les exposants. Il faut sans cesse faire des démos, répéter un pitch en boucle, répondre aux mêmes questions.. Un exercice de communication ardu, que nos étudiants ont parfaitement réussi. La preuve avec les retours des visiteurs qui se sont aventurés sur le stand du Groupe IONIS :

 

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Epitech a accueilli le premier tournoi français professionnel de Beat Saber

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Mercredi 15 mai, le campus d’Epitech a accueilli le premier tournoi français professionnel de Beat Saber. Six du top 15 des joueurs se sont affrontés à ce jeu en réalité virtuelle qui cartonne en ce moment.

Le Beat Saber, qu’est-ce que c’est ?

 

La réalité virtuelle, on en entend parler depuis des années, et surtout dans les jeux vidéos. Mais peu d’applications concrètes ont permis à cette technologie de réellement faire ses preuves.

Enfin, ça c’était avant !

Cela ne fait pas plus d’un an que le studio indépendant tchèque Beat Games a créé Beat Saber, et déjà, ce jeu rythmique de danse est devenu le premier jeu à succès utilisant la réalité virtuelle.

Immersion à 360°, univers virtuel, et rythmique musicale… Beat Saber s’est déjà vendu à plus d’un million d’exemplaires. Après avoir enfilé son casque de réalité virtuelle, le joueur se retrouve dans un univers où il tient un sabre laser dans chaque main.

Le but ? Découper des cubes qui lui arrivent en pleine face, tout en tenant compte du rythme de la musique. Le joueur accomplit en fait une véritable chorégraphie où chaque geste est très important.

Les meilleurs joueurs de France se sont enfin rencontrés !

En quelques mois, Beat Saber a totalement conquis la planète, si bien qu’il existe même déjà des classements mondiaux et nationaux entre joueurs. Pourtant, s’ils peuvent s’affronter en ligne, les joueurs n’avaient jamais eu l’occasion de se rencontrer.

Ainsi, l’Association Francophone de Beat Saber et Epitech Paris ont décidé de créer ensemble le premier tournoi professionnel de Beat Saber de France, un projet également porté par l’association étudiante en jeux vidéo d’Epitech, Cycom.

 

Des guests stars

Six des joueurs de Beat Saber du Top 15 francophone étaient présents lors de cet événement, afin de partager leurs connaissances, mais aussi et surtout afin de se mesurer entre eux le temps de 4 rounds de 15 matchs… Les plus novices ont également pu participer puisque les bases de ce jeu leur ont été présentées par les membres de l’Association Francophone de Beat Saber lors de la matinée.

Les résultats :

 

tournoi-beat-saber-epitech

 

Après maintes et maintes manches entre les meilleurs joueurs, c’est (sans surprise ?) le premier au classement français qui est arrivé premier au tournoi Beat Saber d’Epitech. Alexandre a 21 ans, il joue depuis un an et fait également partie du top 100 mondial des joueurs de Beat Saber : « Il n’y a pas vraiment de secret pour bien jouer, moi personnellement, je pratique à raison d’une heure par jour minimum. Je pense que le plus important c’est de garder un rythme régulier ».

Et les avis :

Alexandre fait lui aussi partie de l’association CFBS qui a mis en place l’événement avec Epitech : « C’était la première fois qu’on se voyait et je pense qu’on a bien géré sur l’organisation. Le but, c’était de faire tester le jeu à ceux qui ne le connaissaient pas, et bien sûr, de s’amuser ! »

Le troisième au classement français a lui remporté la deuxième place ! Florentin a aussi 21 ans, vient de Strasbourg, est étudiant dans une école de jeux vidéo, et fait aussi partie de la CFBS. A terme, il voudrait pouvoir mettre en place d’autres événements afin de continuer à populariser ce jeu et rassembler la communauté francophone.

Il raconte : « Je suis étonné qu’autant de personnes soient venues. En plus, les gens ont l’air contents de jouer, de se rencontrer, et de partager. C’est un vrai succès, à refaire ! »

 

epitech beat saber day
Alexandre, le premier au classement français, n’hésite pas à se contorsionner pour garder sa première place.

 

La passion du Beat Saber peut aussi commencer très tôt. C’est le cas de Anthonin par exemple, 15 ans et classé numéro 12 français, qui a terminé sur la dernière marche du podium à la compétition d’Epitech. Il dit avoir adoré l’ambiance du campus, et voudrait faire ses études dans l’informatique plus tard.

Pourquoi pas à Epitech ? 😉

Dans tous les cas, bravo à tous les participants et on espère qu’un nouvel événement sera bientôt organisé !

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Table ronde à Epitech Lille : « On a besoin que les femmes entrent dans les métiers de la data »

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Le 14 mai dernier, Epitech Lille a accueilli une table ronde autours des questions des opportunités professionnelles des femmes dans le domaine de la data.

Organisée par Social Builder, une startup qui promeut la mixité homme-femme dans le numérique, cette table ronde « Femmes du numérique » a rassemblé pas moins de 70 visiteurs ; entre étudiants d’Epitech et d’ailleurs, professionnels du secteur de l’IT.

Des experts et des talks

L’accent fut mis sur les opportunités professionnelles dans le secteur, avec un focus sur les métiers de la data, ainsi que sur les opportunités business. Comment capitaliser sur les données pour développer son activité business ? Comment avoir une démarche data centric ? sont les types de questions qui ont été abordées par les quatre experts choisis par Social Builder pour intervenir.

  • Samir Amellal, Chief data officer – La Redoute
  • Annabelle Blangero, Consultante senior en data science – OCTO Technology
  • Frédéric Bruneau, CEO & Founder Foxy Nerds
  • Julia Ferhat, Data & Analytics Director – Accenture Interactive

C’est Marlène Denis, Directrice du Développement Régional d’Epitech Strasbourg, qui a ouvert le débat en présentant l’école et l’antenne lilloise de l’association E-mma, œuvrant elle aussi autour des questions de mixité dans le numérique.

Choisir Epitech Lille, une évidence

Social Builder a choisi Epitech Lille comme lieu pour organiser cette table ronde, après avoir fait une édition parisienne à l’Ecole 42. D’après Amandine Le Moan, cheffe de ce projet, Epitech Lille a été sélectionné tout naturellement lorsque la startup a voulu organiser une table ronde dans le nord de la France. La présence d’une antenne lilloise de l’association E-mma By Epitech a également encouragé cette envie.

En effet, le but de ce genre d’événement est de « sensibiliser les étudiants et montrer la fracture sociale qui se créé en termes de pouvoir entre les hommes et les femmes » selon Amandine Lemoan.

 

table ronde femmes numérique epitech lille

 

Sensibiliser les étudiant.e.s

Pauline Szymkowiak, étudiante en première année à Epitech Lille, raconte :

« Je suis contente d’avoir participé à cette table ronde qui m’a permis de me rendre compte à quel point les nouvelles technologies offrent de nouvelles voies pour l’expression de la parité ».

Après la table ronde, un cocktail a permis à tous les étudiants de poser leurs questions au sujet du domaine de la data aux entreprises présentes : Datacadabra par exemple, ou encore Foxy Nerds, OCTO Technology et La Redoute.

Amandine Le Moan a trouvé que les étudiants d’Epitech et de la Web@cadémie étaient très intéressés puisqu’ils ont posé beaucoup de questions « pertinentes et pratiques, explique Amandine, certains posaient mêmes des questions très concrètes sur les données au sujet de leurs projets EIP. C’est important pour eux de se poser ces questions car les données sont partout aujourd’hui et ça peut ouvrir des portes sur des thématiques pour lesquelles on ne se serait pas posé de questions ».

Le point à retenir de cette journée ? Amandine Le Moan le résume très bien :

« On a besoin que les femmes entrent dans les métiers de la data, car elles ont une autre façon de penser qui est nécessaire à prendre en compte si l’on ne veut pas que toutes les données soient uniformisées par le strict travail des hommes ».

On attend la prochaine édition avec impatience !

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La Coding Academy ouvre ses portes dans 11 campus d’Epitech

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La Coding Academy, formation intensive de 22 semaines pour acquérir les compétences essentielles de l’informatique, ouvre ses portes sur tous les campus Epitech de France d’ici octobre 2019.

Formation intensive basée sur la pédagogie d’Epitech

Depuis 2015 à Paris, et 2017 à Lyon, la Coding Academy propose des formations intensives au code informatique, avec un excellent rapport qualité prix en faisant bénéficier ses apprenants, en mode immersion, de la célèbre méthode d’apprentissage par projet ; désormais accessible à tous, aussi bien pour les personnes en reconversion professionnelle que cherchant à donner un tout nouveau souffle à leur carrière, sans pré-requis en informatique.

11 nouveaux campus

On le sait, les métiers du numérique recrutent énormément, et les entreprises sont sans cesse à la recherche de développeurs. C’est pourquoi 11 nouveaux campus vont ouvrir : en juin à Saint-André de La Réunion, et d’ici octobre prochain à Bordeaux, Lille, Marseille, Montpellier, Nancy, Nantes, Nice, Rennes, Strasbourg et Toulouse ; et en juin à Saint-André de La Réunion.

 

 

Désormais, les 17 campus d’Epitech pourront accueillir cette formation intensive Coding Academy, puisque les quatre campus internationaux (Barcelone, Bruxelles, Berlin et Tirana) accueillent la Coding depuis déjà un an.

La sélection d’entrée est exigeante puisque seulement une personne sur cinq peut bénéficier des enseignements prestigieux de la Coding Academy. Se basant sur la même pédagogie qu’Epitech, la méthode par projets, la Coding a largement fait ses preuves depuis son existence, puisque 94% des qualifiés trouvent un travail ou deviennent entrepreneurs, dont 80% en CDI.

Qu’est-ce que la Coding Academy ?

  • Une formation labellisée « Grande École du Numérique », « Paris Code » et « Hors les Murs du Campus Région du Numérique ».
  • Un organisme reconnu et certifié par Pôle Emploi, et Datadock.
  • Un programme court qui garantit le retour à l’emploi dans les 12 mois.
  • Un booster de carrière.

 

 

Qu’est-ce qu’on y apprend exactement ?

  • La formation dure 22 semaines (18 semaines à l’école et 4 semaines minimum de stage pouvant s’étendre jusqu’à 6 mois) et délivre une qualification de « Concepteur(rice) développeur(euse) web et mobile » si l’on suit le programme « Code & Go ».
  • Ce programme s’adresse à des personnes qui souhaitent devenir des développeurs(euses) full stack : c’est-à-dire un informaticien capable de coder toutes les étapes d’une application ou d’un site web, de la base de données à la plateforme visuelle.
  • Vous commencerez par y apprendre le fonctionnement intrinsèque (gestion mémoire, thread, …) des ordinateurs au travers de la programmation impérative et du langage C, vous découvrirez l’administration d’un système d’exploitation (Linux) et de ses différents composants (serveur web, base de données …).
  • Une fois ces compétences acquises, vous ferez l’apprentissage des frameworks de développement notamment web (MERN). Vous apprendrez à développer et à construire des solutions web tout en mettant en œuvre des méthodes agiles.

Qui peut intégrer la Coding Academy ?

  • Les jeunes diplômés
  • Les demandeurs d’emploi
  • Les personnes en reconversion professionnelle
  • Tout employé, cadre, entrepreneur qui souhaite ajouter le développement web à ses compétences

 

Quelles sont les conditions ?

  • Être titulaire d’un Bac+2 (toute filière) ou avoir plus de 5 ans d’expérience professionnelle
  • Être âgé de 20 à 55 ans
  • Connaître les rudiments de l’informatique
  • Être motivé et prêt à travailler de nombreuses heures
  • Réussir les tests d’admissions (entretien de motivation, tests de logique et d’anglais)

Alors bonne chance à celles et ceux qui veulent tenter l’admission à la Coding Academy des 18 plus grosses villes de France et d’Europe. Pour proposer votre candidature, c’est sur le site de la Coding Academy : www.coding-academy.fr

Et pour tout autre renseignement, vous pouvez envoyer un mail à contact@coding-academy.frTrois sessions de recrutement auront lieu chaque année sur tous les campus, en février, en juin et en octobre. Attention, les inscriptions seront closes 15 jours avant la rentrée.

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La semaine spéciale Combi Volkswagen en Bretagne

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Après Toulouse et Montpellier, le Combi Volkswagen estampillé Coding Club est arrivé en Bretagne et a parcouru les routes de l’Ille-et-Vilaine.

 

 

À son bord, des étudiants d’Epitech Rennes qui souhaitent transmettre leur passion du code à des collégien(ne)s, lycéen(ne)s, particuliers mais aussi entreprises et institutions publiques.

Des déplacements en Ille-et-Vilaine avec Gaël LE BOHEC

Après plusieurs étapes dans des maisons de quartier ou encore sur l’événement InOut2019 de Rennes, les étudiants ont pu accompagner le député de la 4ème circonscription d’Ille-et-Vilaine, Gaël LE BOHEC, sur plusieurs de ses déplacements.

Membre de la commission des affaires culturelles et de l’éducation, il partage la même ambition : démocratiser l’apprentissage du code informatique.

De Redon à Bain-de-Bretagne en passant par Guichen et Guipry-Messac

Du 20 au 24 mai 2019, différents publics ont pu découvrir le code à proximité de chez eux dans une ambiance conviviale. La semaine a démarré à la mission locale de Redon, où le groupe Garantie Jeunes ainsi que le groupement d’employeurs GEOSE, ont pu s’initier à la programmation informatique.

« Une expérience appréciée par tous, devant le bâtiment de Redon Agglomération. La mission locale de Redon et GEOSE étaient ravies d’accueillir l’événement »

dixit la Mission Locale de Redon

 

 

Le lendemain, les collégien(ne)s du collège Noël du Fail à Guichen ont pu échanger avec nos étudiants. Le combi Coding Club a par la suite fait étape à la Zone d’Activités de Château-Gaillard de Bain-de-Bretagne, pour une initiation gratuite, ouverte à tous sur le parking du Leclerc.

Une semaine spéciale Combi Coding Club

Après un passage à la mission locale de Guipry-Messac en fin de semaine, les étudiants sont retournés à Guichen pour rencontrer la prépa Avenir Jeunes. Cette semaine spéciale Combi Coding Club s’est terminée au lycée Marcel Callo de Redon, où 36 lycéens et lycéennes ont pu apprendre à créer un jeu du morpion en langage C. En équipe de deux, ils ont pu s’affronter une fois le jeu réalisé.

« Une intervention très appréciée, un grand merci à vous »

dixit Olivier CLÉRO, le CPE au Lycée Marcel Callo de Redon

La programmation informatique, une ambition territoriale portée par tous les acteurs locaux

 

 

Le député Gaël LE BOHEC a d’ailleurs rejoint les étudiants sur cet après-midi et a pu discuter numérique avec les enseignants et les lycéen(ne)s. Il a également remercié les étudiants formateurs qui ont mené les ateliers sur la semaine.

« Au vu de l’intérêt suscité par les ateliers et les retours positifs que nous avons reçus, la familiarisation avec le code et la programmation informatique répond aux attentes des étudiants ainsi qu’à une ambition territoriale portée par tous les acteurs locaux et que je partage pleinement. »

Gaël LE BOHEC, député de la 4ème circonscription d’Ille-et-Vilaine

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