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Covid-19 : les étudiants d’Epitech et d’e-artsup Montpellier se mobilisent !

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Epitech Montpellier et e-artsup ont répondu à un appel à projet de la part du gouvernement pour lutter contre la crise du Covid-19. Du 30 mars au 3 avril, les deux écoles du Groupe IONIS ont travaillé ensemble à imaginer un prototype dans le cadre du programme IONIS Finisher.

Le Campus de IONIS à Montpellier, qui comprend les écoles Epitech et e-artsup

À Epitech, le mois de Mars est synonyme de IONIS Finisher, une semaine de prototypage entre les étudiants en première année d’Epitech et d’e-artsup. Ce temps fort, qui a lieu dans tous les campus IONIS, est la continuité de IONIS Startup, période pendant laquelle ces mêmes étudiants doivent réfléchir à des solutions innovantes. C’était sans compter sur l’arrivée du Covid-19, qui a rendu impossible l’organisation d’un tel événement. Le campus IONIS de Montpellier n’a toutefois pas souhaité en rester là…

Un projet à ambition citoyenne

« Prototyper les idées imaginées lors de IONIS Startup n’était pas envisageable », explique Edouard Laurent, le directeur du campus d’Epitech Montpellier, « nous avons donc trouvé une alternative, celle de répondre à un appel à projets du gouvernement pour lutter contre le coronavirus. »

Désormais vide, le dernier étape du bâtiment est consacré aux étudiants d’Epitech

Les contraintes imposées par le gouvernement ? Les projets devaient avoir une maturité technologique suffisante pour être employables pendant la pandémie, et qu’ils soient de préférence en lien avec l’amélioration du travail à distance et/ou l’amélioration de la vie en isolement à domicile. Cela a donc permis aux étudiants de pouvoir tout de même s’exercer sur le prototypage, tout en menant une belle initiative citoyenne. Au total, ce ne sont pas moins de 50 étudiants d’Epitech et 10 étudiants d’e-artsup qui ont participé à l’événement !

Un aperçu de la réalité en entreprise

IONIS Finisher, c’est avant tout un bel exemple de la diversité des compétences que l’on peut trouver dans certains projets en entreprise. Ainsi, chaque groupe d’étudiants est constitué de 10 élèves d’Epitech, qui gèrent la partie code et développement web, et de 2 élèves d’e-artsup, responsables des parties design et marketing/business.

Le projet COV’IZZ a été remarqué par les équipes pédagogiques

Pendant une semaine, les étudiants ont travaillé en groupe sur leur projet, qu’ils ont par la suite présenté en live devant toute leur promotion et devant les équipes pédagogiques d’Epitech Montpellier, sur la plateforme Twitch.

Grâce à ce projet, les étudiants, pourtant seulement en première année d’étude, ont pu porter un projet concret en autonomie, depuis sa réflexion, jusqu’à sa présentation : une réelle préparation au monde de l’entreprise.

Mener la vie dure aux fake news

L’un des projets s’est démarqué. Il s’agit de COV’IZZ: une application de quizz dont le but est d’instruire de façon ludique sur la crise du coronavirus. L’idée ? Lutter contre les fake news.

« On choisit d’abord le thème, comme les gestes qui sauvent ou encore les règles du confinement, il y a 5 questions par quizz et les gens peuvent se challenger entre amis. » explique Léo Sarochar, le chef de groupe, étudiant en première année à Epitech.

Pour chaque projet, les étudiants ont dû réaliser une publicité vidéo. Celle de COV’IZZ montre avec humour une personne qui réussit à convaincre son ami par sms que l’on peut guérir du virus en mangeant des écorces de séquoias géants…

Un double défi

À la difficulté du projet, s’ajoute celle de devoir travailler en confinement.

« Cela a été difficile de respecter le délai imparti, qui était assez court, et de se coordonner tous ensemble », souligne Léo Sarochar.

Les étudiants ont eu seulement une semaine pour apprendre à manier de nouvelles technologies. Un vrai défi ! Léo Sarochar et son équipe de COV’IZZ ont par exemple utilisé Reactnative, un outil qui permet de développer des applications mobiles. L’utilisation de Discord pour communiquer, ainsi que de l’outil Trello pour se répartir les tâches les a grandement aidés. Par ailleurs, les développeurs du projet réussissaient à travailler chacun de leur côté grâce à Git, un logiciel qui enregistre toutes les versions du code source d’un programme.

Le futur des projets

Si répondre à l’appel à projets du gouvernement n’est, en réalité, qu’un exercice pédagogique proposé par les équipes d’Epitech et d’e-artsup de Montpellier, certains projets pourraient pourtant voir le jour.

Édouard Laurent, Directeur d’Epitech Montpellier suggère : « Bien qu’il s’agisse d’un prototype de première année, le projet COV’IZZ pourrait être un moyen de sortir progressivement du confinement. En fonction de leur pourcentage de réussite sur les quizz, les gens pourraient avoir le droit de sortir ou non ».

Un autre projet issu de ce challenge pourrait également inspirer le gouvernement. Il s’agit du projet Stay, qui récompense les citoyens qui restent chez eux pendant le confinement. Gagner des réductions sur Netflix, bénéficier de comptes premium de plateformes de jeux-vidéos… tout est bon pour rester chez soi !

Alors, si l’appel à projets était destiné à n’importe quelle personne pouvant avoir des solutions, partout en France, il a également stimulé la créativité des étudiants du Groupe IONIS. Peut-être même que certains projets vont inspirer les preneurs de décisions !

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Rayane Puzenat, Alumni d’Epitech Paris, fondateur de Amber Gaming

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Rayane Puzenat, Alumni d’Epitech Paris promotion 2018, est à la tête de l’entreprise Amber Gaming, créée pendant ses études à Epitech.

Avant Epitech, la seule approche que Rayane Puzenat a de l’informatique, c’est les parties de jeux vidéos en LAN organisées avec ses copains. Il s’occupe de câbler et relier les ordinateurs en réseau afin qu’ils puissent jouer tous ensemble.

Rayane aime les jeux vidéos pour leur dimension sociale : il joue à des parties en ligne après l’école avec son frère ou pour rester en contact avec ses amis. C’est d’ailleurs de cette passion qu’il tirera l’idée de son entreprise.

La découverte de la gestion de projet

Le choix des études dans l’informatique n’est pas une évidence pour Rayane. Il a cependant conscience du potentiel de ce domaine, surtout qu’il aime créer des choses de A à Z. Ses parents le poussent à faire une école d’ingénieur, c’était sans compter la découverte d’Epitech et sa pédagogie différente.

« Je ne suis pas très scolaire, donc un circuit prépa, je ne pense pas que j’aurais tenu le coup »

Pourtant, Epitech n’est pas de tout repos : les débuts sont très intenses pour quelqu’un qui n’a jamais codé de sa vie ; des découvertes constantes et des travaux techniques très difficiles. Rayane s’accroche et c’est finalement en troisième année qu’il trouvera en la gestion de projet son salut. En effet, la Piscine Moonshot ou encore la Project Week, avec la Poste, permettent de prendre de la hauteur sur les projets.

« On ne fait plus du code pour faire du code, on crée des projets intéressants qui peuvent servir la société. Quand on peut répondre à un besoin grâce à l’informatique, moi qui suis un passionné d’optimisation et d’automatisation, je trouve cela magique ! »

La création de la première version de son entreprise

Fort de cette envie naissante, il travaille cette année-là sur la première version de ce qui deviendra plus tard son entreprise. Il fonde avec d’autres étudiants CS-Go deals : un système qui permet à d’autres joueurs de Counter-Strike : Global Offensive la possibilité de gagner gratuitement des skins, ces textures que l’on peut appliquer à certains objets du jeu afin de se différencier des autres joueurs.

Le campus du Kremlin-Bicêtre

C’est rapidement un succès, Rayane et ses acolytes réussissent à obtenir pas moins de 35 000 utilisateurs en 5 mois. Le principe : les utilisateurs regardent des publicités en stream et gagne un ticket à chaque visionnage. Tickets qu’ils peuvent ensuite parier dans l’espoir de gagner un skin. À l’époque, ils contournent un peu la réglementation pour utiliser la régie publicitaire à leur avantage et ils seront amener à interrompre le projet.

Captain Drop, le projet gagnant de fin d’année EIP 2018

Ils profitent de cette pause et de leur quatrième année à l’étranger pour revoir l’infrastructure et le fonctionnement de la plateforme. Pour leur projet de fin d’année, les Epitech Innovative Projects, ils lancent alors Captain Drop, reprenant toujours un principe de « skin gambling ». Rayane et son équipe remporte l’EIP, ce qui lui permet de faire son dernier stage et un séjour dans un incubateur pour porter le projet.

Cette fois, pour gagner des crédits qu’ils peuvent parier ensuite, les utilisateurs doivent regarder une web TV sur Twitch. Malheureusement, après plusieurs mois d’absence, leur ancienne communauté, adolescente et volatile, n’est plus au rendez-vous. Le système se repose aussi sur la notoriété des joueurs streamés sur la chaîne, or, il est difficile d’en attirer des connus sans les rémunérer. Le projet s’arrête.

Vers une double compétence business

Rayane Puzenat n’a cependant pas dit son dernier mot, il a pris goût à l’entrepreneuriat.

« Ma mentalité a changé depuis que j’ai rejoint Epitech. Avant, je me posais une question, j’attendais qu’on m’apporte la réponse. Aujourd’hui, je n’ai pas peur, je sais comment chercher la réponse, même si je dois être submergé par plein d’autres connaissances avant de comprendre. Epitech m’a amené cette méthodologie mais aussi la ténacité : l’habitude de se prendre des portes, de rester assis 10 heures d’affilées jusqu’à ce que le programme fonctionne. »

Rayane Puzenat décide alors de se perfectionner dans ce qui lui a fait défaut dans les deux premières itérations de son projet : le manque de marketing, de communication et d’entretien de la communauté. Il complète sa formation afin d’avoir une double casquette avec une vision business et technique en intégrant le MSc X-HEC Entrepreneurs.

Lors de ses 3 mois à l’étranger à Berkeley obligatoire dans le cursus, il rencontre un passionné aussi ambitieux que lui : il devient son nouvel associé et Amber Gaming naît ! Ils sont en train de pivoter sur un nouveau fonctionnement incluant des challenges à relever et des lots à gagner. Ils cherchent en ce moment des investisseurs.

Rayane Puzenat rêve d’être aux commandes d’une entreprise que les gens adorent et que ses produits soient utilisés par le plus grand nombre, nul doute qu’il réussira au vue de sa persévérance.

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Retour sur le « remot’hacktion » d’Epitech Lille

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Du 8 au 11 mai 2020, les étudiants d’Epitech Lille ont organisé un hackathon ayant pour thème le travail à distance, appelé « Remot’hacktion ».

Face à la situation inédite que nous vivons actuellement, l’expansion du télétravail et l’organisation nouvelle mise en place par les entreprises, un groupe d’étudiants de 2ème année s’est posé le défi d’organiser un hackathon totalement en remote sur le travail à distance et la communication entre collaborateurs.

Selon l’un des organisateurs ; Mohamed Amin Chara, également membre du Bureau Des Elèves :

« il était important de maintenir le lien entre camarades et d’organiser des évènements nous permettant de nous retrouver autour d’une problématique commune. »

Comment, pallier la distance et le manque d’interactions entre les personnes au sein des groupes de collaborateurs ?

C’est la question à laquelle les étudiants ont tenté de répondre, après deux journées complètes de réflexion, suivies d’une keynote de présentation de quelques minutes.

Des idées telles que la création d’un Bot Discord permettant de créer des réunions et des sessions de travail, des logiciels permettant de renforcer les liens entre collègues au sein d’une entreprise en proposant des activités collaboratives ou des points réguliers.

Pour Valentin Sène ; étudiant en première année participant à cette initiative :

« Ce hackathon est vraiment pertinent avec ce que nous vivons en ce moment, il nous a permis de nous remettre en question sur notre productivité en télétravail et de réfléchir à comment nous améliorer. »

Pour les étudiants organisateurs (Baptiste Fortier, Mathias Top et Mohamed Chara) ce fut une première ! Selon Baptiste Fortier :

« Organiser un hackathon totalement à distance était pour nous un défi, que nous avons su relever, et nous sommes heureux d’avoir obtenu de belles idées et des participants motivés et investis, comme quoi tout est possible en télétravail ! »

Merci aux trois groupes ayant participé :

  • Helios Wan, Chrysalde Caron, Margotte Martins, Valentin Anot, Quentin De Nascimento
  • Valentin Sene, Lucas Decrock
  • Alfred Deschildre, Ismaël Moussaoui

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Le site solidaire Covexid réalisé avec l’aide d’un Alumni d’Epitech Paris

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Aljosha Armitano

Aljosha Armitano, Alumni d’Epitech Paris promotion 2018, a participé à l’élaboration de Covexid, un site mettant en relation des professionnels exposés dans le cadre de la pandémie Covid-19 ayant besoin de visières ou de masques et des personnes volontaires pour leur en fabriquer.

La génèse du projet Covexid

Aljosha Armitano est directeur du service de Recherche et Développement du groupe ADVANCED Schema, une entreprise de services numériques spécialisée dans le big data.

L’initiative est partie du directeur de la filiale Connexin, spécialisée dans les données de santé, et du groupe ADVANCED Schema : ils ont fait l’acquisition d’imprimantes 3D afin de fabriquer des visières et les mettre à disposition du centre hospitalier de Dreux qui manquait de matériel.

L’idée d’élargir ce concept est née et s’est traduite par Covexid. Pour le réaliser, une équipe de volontaires au sein du groupe s’est constituée et le site a été mis en ligne fin avril.

Très facile d’utilisation, les professionnels peuvent déclarer leurs besoins et accepter les propositions faites par les « makers », qui renseignent de leur côté leur temps de production. La transmission des coordonnées se fait à la fin afin que les visières ou les masques soient distribuées en mains propres.

Passionné depuis toujours par l’informatique et l’innovation, c’est donc tout naturellement que Aljosha Armitano a participé au projet pour aider la cause.

La scolarité de Aljosha Armitano à Epitech

Petit, Aljosha aimait démonter les ordinateurs afin de comprendre leur fonctionnement électronique. C’est grâce à cette curiosité qu’une connaissance lui a recommandé d’intégrer Epitech car cela correspondait à l’état d’esprit de l’école.

« Je n’avais jamais fait de code avant Epitech. Après la piscine, je n’avais plus aucun doute sur le fait que c’était la bonne école pour moi. C’était difficile mais très enrichissant, techniquement et humainement, puisque les personnes que j’ai rencontré à ce moment-là ont été celles avec qui j’ai travaillé pendant mes 5 ans d’études. »

Comme Epitech exige un bon niveau d’anglais, Aljosha profite de son premier stage pour l’améliorer en passant 5 mois à Londres.

« Aujourd’hui, cela me sert au quotidien. ADVANCED Schema est un groupe français mais on communique dans les deux langues. Toute la rédaction du contenu est en anglais pour faciliter la communication avec nos collaborateurs étrangers. Je passe aussi beaucoup de temps à faire de la veille technologique et c’est exclusivement en anglais. »

Il se souvient également de son investissement pour l’organisation des Coding Club lors de sa troisième année. Ces ateliers ont pour vocation de faire découvrir la programmation informatique à des lycéens. Pour les mettre en place et les animer, il recrute une équipe de Tek1, des étudiants de premières années, en collaboration avec l’équipe d’Epitech, pour réfléchir aux exercices et thématiques proposées (initiation à la cybersécurité, réaliser une calculette…) puis accueillir et faire progresser les lycéens le jour J.

« C’était très enrichissant de faire découvrir ma passion et partager mes connaissances à d’autres personnes. »

Son année à l’étranger, Aljosha la passe à Laval au Canada où la scolarité est très différente du cursus Epitech sans cours magistraux. Il en profite alors pour étudier des matières complémentaires à l’informatique : le marketing, la gestion de projet… C’est lors de cette année là, qu’il commence à travailler sur son projet de fin d’études AntMine,qui permet de substituer la publicité par un mineur de crypto-monnaie. Cette alternative à la publicité est un vrai besoin car les bloqueurs de publicité sont de plus en plus nombreux et les propriétaires de site web gagnent moins d’argent, un véritable problème pour leur financement. Le projet est aujourd’hui Open Source et des entreprises peuvent l’utiliser si elles le souhaitent.

L’évolution de carrière de Aljosha Armitano au sein d’ADVANCED Schema

A l’exception du premier, Aljosha a fait tous ses stages dans le groupe dans lequel il travaille aujourd’hui. Il a intégré en 3ème année la filiale Nodata en tant que développeur full stack puis il a été embauché et est devenu lead dev en encadrant une équipe de 6 développeurs. En ce début d’année, il a eu l’opportunité de remonter un service de R&D. Alijosha se plaît au sein de ce groupe par la grande diversité des technologies et des secteurs, il a aussi pu évoluer rapidement.

« Aujourd’hui, mon but dans la R&D est d’innover : trouver des nouvelles choses qui ne se font pas encore, faire des essais et arriver à quelque chose d’intéressant. C’est Epitech qui m’a apporté cette façon de penser : qu’est ce que je veux faire et comment je le fais, être autonome sur la façon de chercher la solution. »

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Un Hackathon Anti-Pandémie organisé à Epitech Lyon

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« Comment le numérique peut avoir un impact positif sur les différents stades des pandémies ? ». C’est la question à laquelle ont répondu les étudiants d’Epitech Lyon lors d’un Hackathon « anti-pandémie » organisé du 11 au 20 mai 2020.

Le campus d’Epitech Lyon

30 participants répartis en 7 équipes ont eu une semaine pour imaginer et prototyper des solutions technologiques sur 3 phases :

  • Pendant la pandémie, en apportant leur aide au personnel de santé ;
  • Après la pandémie, lors de la phase de reconstruction économique ;
  • Et comment anticiper ou prévenir une prochaine pandémie ;

Confinement oblige, les étudiants se sont organisés via la plateforme Discord pour échanger et travailler ensemble, à distance. Parmi les 7 équipes à proposer une solution, 3 ont su répondre précisément à la problématique. Viken Kojakian, Responsable Pédagogique et coordinateur de l’événement, témoigne :

Nous sommes très heureux de la mobilisation de nos étudiants pendant cette période compliquée. Ils ont su adapter leurs pratiques et proposer des solutions innovantes à des problèmes concrets !

Numéro 1 : Mediscan, une application pour aider à l’automédication. L’utilisateur télécharge l’application, qui grâce à une base de données, lui indique la compatibilité des différents médicaments, pour éviter les potentiels effets secondaires. Une intelligence artificielle analyse la pertinence du médicament en fonction des symptômes, pour éviter toute erreur. Mediscan est très mature sur le ciblage des utilisateurs et sur les données à utiliser pour alimenter l’application. Le service proposé est très facile à mettre en œuvre et l’utilisation qu’il propose est intuitive. Le processus est simple : on scanne le médicament dans l’application, elle précise en fonction des médicaments déjà pris s’il y a une incompatibilité et prend également en compte les pathologies existantes pour déconseiller la prise du dît médicament. Parfait pour des populations éloignées de la technologie.

Numéro 2 : LiveBed Manager, une solution à destination du personnel de santé, permettant d’avoir une vue en temps réel des occupations des chambres dans un établissement de santé. L’idée est de permettre de facilité le transfert de patients et leur prise en charge. LiveBed Manager a travaillé en partenariat avec du personnel soignant pour coller au mieux aux besoins exprimés. Leur solution a été validée par leurs contacts. Cette application est déployable facilement au sein d’un hôpital et répond à un besoin d’organisation des bien connu.

Numéro 3 : Walkin’ Safe : « le Waze pour piéton ». L’idée est de permettre à tous, d’éviter de contaminer au maximum les passants, en empruntant les chemins les moins usités. Les données sont accessibles facilement (cartes, positions des utilisateurs), l’utilisation est très naturelle, un vrai travail d’ergonomie a été réalisé et l’application peut s’enrichir de fonctionnalités très facilement en fonction de l’évolution de la pandémie et des besoins liés à celle-ci.

Epitech Lyon a la volonté de faire se poursuivre ces projets via le HUB Innovation (lieu d’innovation disponible pour tous les étudiants, que ce soit pour développer un projet personnel ou dans le cadre de l’école). Le but des hackathon est de faire émerger des projets de qualité et d’accompagner les étudiants de manière à ce qu’ils aillent au bout de leur projet.

 

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Julien Legay : parcours d’un étudiant en MSc Pro d’Epitech

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Julien Legay, apprenant du programme MSc Pro d’Epitech a décidé d’effectuer son alternance dans sa propre société WHITE AGENT, spécialisée dans le pentesting, le test d’intrusion et l’audit de sécurité.

Quel est ton parcours et pourquoi as-tu rejoint des études d’informatique ?

À la base, rien ne me destinait à faire de l’informatique, à part la passion. J’ai eu un Bac ES et j’ai poursuivi mes études en DCG (Diplôme de Comptabilité Général). Je me suis vite rendu compte que je ne voyais pas faire ma vie professionnelle en comptabilité. J’ai alors décidé de me réorienter en informatique. J’ai donc rejoint le Bac+5 spécialisant d’Epitech, MSc Pro. J’ai commencé par Pré MSc, une année de mise à niveau pour rattraper le retard que j’avais sur la théorie. Je n’ai pas eu de problème d’un point de vue technique car j’ai toujours codé de mon côté, pour des projets personnels et pour le plaisir.

Aujourd’hui je suis en fin de 1ère année du programme MSc Pro en alternance dans ma propre société. Après un stage en Pré MSc chez zonebourse.com, j’ai eu la chance d’avoir l’opportunité de me lancer en auto-entrepreneur. Mon ancien patron de stage m’a d’ailleurs accompagné tout au long du lancement, en septembre 2019. 

Pourquoi avoir rejoint Epitech ?

C’est un très bon ami à moi qui m’a parlé d’Epitech, cela faisait 2 ans qu’il avait rejoint le Programme Grande École. En plus, c’est la seule école qui m’a laissé ma chance par rapport à mon parcours. Même si je n’avais pas de base théorique ou de diplôme en informatique, j’ai appris en autodidacte le développement informatique. C’est sur ce point qu’Epitech a su me faire confiance. En un an, j’ai appris énormément de choses, notamment grâce aux Piscines. Le travail d’équipe, omniprésent dans l’école, m’a appris énormément et fait partie intégrante de l’apprentissage à Epitech . De plus, l’autonomie supervisée, base de la pédagogie de l’école collait parfaitement avec mon projet.

Au final on travaille à la passion et il n’y a pas meilleure façon de faire et de réussir !

Tu as donc décidé d’effectuer ton alternance dans ta propre entreprise ?

Oui, j’ai fait un gros pari en septembre 2019, celui de monter ma boite de cybersécurité : WHITE AGENT et donc d’effectuer mes 2 années de MSc dans ma propre structure. Le cœur de métier est le pentesting, il s’agit de réaliser des tests d’intrusion, de l’audit de sécurité et également du conseil.

Le principe du pentesting est tout simplement de pirater l’application ou le site d’un client avant que quelqu’un de malintentionné le fasse, de manière à détecter et prévenir tout risque au niveau de la sécurité.

Le marché de la cybersécurité reste assez fermé, il faut d’abord faire ses preuves pour se faire une place. C’est pourquoi j’ai décidé, à court terme, de me diversifier sur la maintenance et le développement d’application web et mobile.

A mon grand plaisir, je me suis très vite retrouvé débordé. J’ai donc dû recruter un stagiaire. C’est pourquoi j’ai choisi un apprenant de la Coding Academy, formation d’Epitech, proposant une reconversion professionnelle en 18 semaines dans le développement web & mobile. Il était primordial pour moi d’avoir un stagiaire en qui je puisse avoir confiance : autonome, compétent et qui ait de réelles compétences techniques. C’est pourquoi choisir un étudiant d’Epitech s’est fait naturellement. Connaissant la qualité de l’enseignement et les profils présents, je suis bien plus tranquille.

Comment vois-tu l’avenir ?

Ma plus grosse mission à moyen-long therme est de décentraliser WHITE AGENT de ma personnalité ; réussir à me développer, créer un staff autonome et me concentrer sur la prospection de nouveaux clients. J’ai de bonnes raisons de maintenir l’ambition de mes objectifs, car après moins d’un an d’existence, je commence déjà à avoir une charge de travail conséquente et un nombre de clients qui s’accroit de jour en jour. Je reste donc assez serein sur l’avenir.

Tu as bientôt terminé ta première année MSc Pro, que t’as apporté cette formation ?

Ce qui est intéressant dans le programme MSc Pro c’est de pouvoir se spécialiser. Pour ma part, j’ai décidé de m’orienter dans le Dev Ops, pour donner une plus-value à la partie audit de ma société. J’ai également choisi des modules dans la sécurité pour pousser au maximum mes compétences. L’autre point qui m’a beaucoup plu c’est la pédagogie que propose Epitech : l’autonomie et la quantité importante de pratique tout au long du cursus.

Plus largement, Epitech m’a aidé par son réseau interne, qui m’a permis de me développer beaucoup plus vite grâce entre autres à mon responsable de programme Sébastien ROTH.

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Alumni – Romain Dayan : gravir les échelons avec force et diversité

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Romain Dayan fait partie des premières promotions d’Epitech, il a été diplômé en 2007, et il évoque ces années avec nostalgie et enthousiasme.

Romain a toujours été passionné par l’informatique, mais il a d’abord débuté par un cursus universitaire pendant quelques mois. N’y ayant pas trouvé ses marques, c’est finalement vers Epitech qu’il se tourne. Il occupe aujourd’hui un poste clé chez Edenred où il est directeur IT pour l’Europe du Sud et l’Afrique. Il nous explique comment Epitech l’a mis sur les rails et en quoi sa vie professionnelle constitue pour lui un plaisir de chaque instant !

Ses débuts à Epitech

C’est lorsqu’un ami lui parle d’Epitech que Romain décide de se rendre aux JPO (Journées Portes Ouvertes). Ce qui lui plaît immédiatement, c’est l’orientation pratique par l’usage et l’expérience. Il nous raconte que la méthode par projets était à l’époque très novatrice, et cette manière d’apprendre l’a non seulement interpellé, mais a aussi fait ses preuves sur le long terme. Romain est convaincu et ne regrettera pas son choix : il nous confirme avoir passé à Epitech les « cinq plus belles années ».

À Epitech Paris, ces étudiants en deuxième année suivent les tracent de Romain Dayan

Comparativement à ses amis en école d’ingénieur, il nous confie avoir apprécié le travail concret, la méthodologie dynamique, mais aussi les amitiés sincères qu’il a pu nouer lors de ses années Epitech. Il souligne d’ailleurs à plusieurs reprises le « sentiment d’appartenance très fort » et le « label Epitech », gage de qualité qui assure également une certaine solidarité dans le monde de travail.

« Ce que j’ai aimé c’est ce côté tout de suite opérationnel, tout de suite dans de l’informatique de pointe, avec des gens passionnés. »

Son entrée dans la vie professionnelle  

Nous l’avons compris, Romain est un homme de terrain ! C’est donc tout naturellement dès sa 3e année qu’il se met à travailler, d’abord dans une start-up puis chez Orange.

Nicolas Sadirac, l’ancien directeur d’Epitech, le met ensuite en relation avec le directeur de la sécurité du groupe Accor, et il y débute à mi-temps en tant qu’ingénieur de la sécurité. Ce stage confirme l’intuition de Romain : ce qui lui plaît le plus sont ces aspects sécuritaires. Par chance, exactement à la même période, ces sujets sont en train de devenir primordiaux pour les entreprises. Romain est embauché directement à la fin de son stage, toujours tant qu’ingénieur sécurité. Il nous raconte avoir adoré travailler jour et nuit et se déplacer aux quatre coins du Monde afin de faire appliquer la politique de sécurité du groupe. Ce sont les tous premiers pas de sa prometteuse vie professionnelle !

En 2010, le groupe Accor se scinde en deux, et Edenred, entité du groupe qui s’occupe des tickets restaurants, devient une entreprise indépendante. Romain est en poste depuis trois ans, et il aura l’opportunité de se lancer dans cette nouvelle aventure. Ils sont seulement quelques-uns a faire le choix, audacieux, de « quitter une entreprise de 200 000 personnes pour en rejoindre une autre de 5 000 personnes ». Mais Romain est jeune et il a soif de changement, celui-ci s’opérant tout de même dans la continuité.

Gravir les échelons

La digitalisation prend de l’ampleur, elle n’est plus seulement une fonction support mais devient un core business, en même temps que Romain continue d’avancer professionnellement.

Après 2 ans chez Edenred en France, il est envoyé au Brésil pour y devenir manager sécurité et réseaux de la zone Amérique, où il gère 9 pays. Cela sera son premier poste à responsabilités et il y restera 3 années, lors desquelles il nous confirme avoir acquis énormément d’expérience.

Si toi aussi tu veux savoir si tu as l’âme d’un responsable en cybersécurité, fais le test d’Epitech : https://profiler.epitech.eu/

Suite à un changement de DSI, celui-ci lui propose de rentrer en Europe pour prendre les rennes de la sécurité du groupe. Il devient ainsi CISO (Chief Information Security Officer) du groupe Edenred en 2014, à l’âge de 32 ans. En parallèle l’entreprise continue de se développer, et Romain s’attache à adapter l’approche sécurité à ces évolutions.

Aimer son entreprise et son ADN

Un nouveau changement de DSI permet à Romain de confier à celui-ci une idée mûrement réfléchie : être plus au cœur de l’activité quotidienne d’Edenred et devenir CIO. En effet, s’il a toujours mis en œuvre « une approche de la sécurité pour le business », Romain sait que c’est aussi parce qu’il apprécie le secteur d’activité d’Edenred.

« Je conseille aux jeunes qui arrivent sur le marché du travail de bien choisir leur entreprise et d’adhérer d’abord et avant tout à son business et à son ADN. On ne sélectionne pas une entreprise pour son système d’information ou pour son réseau. On y va car on aime le secteur d’activité et parce que l’on partage ses valeurs. »

Il souhaite alors opérer ce virage, logique dans sa carrière professionnelle et en lien avec ses attentes. Il est maintenant depuis un an à Milan, en tant que DSI de la zone Europe du sud et Afrique, où il s’occupe de 7 pays. La sécurité ne constitue que l’une de ses verticales. Romain est également chargé de répondre par de l’innovation et de la mutualisation aux demandes du business sur des nouveaux produits. Il travaille également à l’optimisation des coûts, à trouver les bonnes personnes en fonction des pays aux différents besoins métiers… Son travail est extrêmement diversifié.

Travailler, mais aussi s’amuser !

On le sent, Romain est passionné par ce qu’il fait, et il a jusqu’à présent apprécié tous ses différents postes. Mais ne vous y trompez pas, Romain est encore jeune, et il garde cette dynamique qui l’a toujours poussé. Il nous confie « beaucoup trop s’amuser » dans son poste actuel pour pouvoir penser à la suite pour l’instant, même s’il est convaincu que d’autres opportunités se profileront à l’horizon, qu’elles soient géographiques ou impliquent un changement de secteur d’activité ou de type de postes.

À Epitech on travaille beaucoup.. mais on s’amuse aussi !

Nous espérons que le parcours de Romain, depuis ses débuts à Epitech, jusqu’à un poste à responsabilités d’un grand groupe français, en passant par des années à l’étranger, vous inspirera et vous donnera envie de poursuivre assidument le chemin qui vous mènera jusqu’au poste de vos rêves !

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Rencontrez les deux responsables pédagogique d’Epitech Lyon

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Henric Pécoul

Henric Pécoul, Alumni d’Epitech et responsable pédagogique des première et deuxième année & Viken Kojakian, responsable pédagogique des troisième année et Responsable du Hub Innovation ont rejoint le staff pédagogique d’Epitech Lyon depuis septembre 2019. Retour sur leurs deux parcours.

Les débuts en études supérieures

Henric Pécoul découvre la programmation par le biais d’un DUT Génie Electronique et Informatique Industriel en 2008 à Annecy. Voulant continuer dans cette branche, il décide de rejoindre Epitech en 2009 en intégrant directement la 3ème année à Lyon. De son côté, Viken Kojakian passe également par un DUT en Réseau et Télécom à Valence : « Je me suis totalement épanoui et j’ai eu de très bons résultats contrairement au lycée. On m’a même encouragé à rejoindre une école d’ingénieur ».

Entre 2008 et 2011 Viken rejoint donc l’INSA pour développer ses compétences entrepreneuriales. « Mon projet innovant de fin d’année était centré sur la transmission d’énergie sans fil. J’ai réalisé un prototype qui permettait d’alimenter une lampe à 30 cm de la source d’énergie. J’ai basé ce projet sur les travaux de recherche du MIT en 2010. Et c’est cette expérience qui m’a donné envie de continuer dans l’entrepreneuriat ».

Parallèlement, Henric, toujours à Epitech, décide de prendre une année de césure pour approfondir ses compétences linguistiques. C’est le Directeur de Lyon, Mathieu Champely, qui lui conseille de voyager. Il part ainsi 2 mois en Angleterre et 2 mois aux USA. Après ces voyages, Henric décide d’effectuer sa 4ème année d’Epitech à l’université de Kent à Canterbury spécialisée dans l’Intelligence Artificielle. 

En 2012, il effectue sa 5ème année à Paris et son part-time à Lyon chez Elissar, une société d’éditeur de logiciels dans l’action sociale. « J’ai réalisé un progiciel pour une CCAS pendant 3 mois. Initialement en tant que stagiaire, puis mes missions ont muté. J’étais chargé de transposer leur outil d’un client lourd à un client léger ». Au bout de deux ans, Henric est référencé en tant que chef de projet et d’équipe. « J’ai rapporté le plus gros contrat à la boîte : il s’agissait d’une diversification des métiers pour des communes adaptées pour les demandeurs d’asiles ». 

Un passage par l’entrepreneuriat

Toujours à l’INSA, Viken choisi de s’orienter en 5ème année dans la filière Ingénieur Entreprendre (FEE Lyon Tech) : « J’ai rencontré mon associé à l’INSA et on a monté en 2012 SIMPLAUTO, le premier comparateur de prix pour les contrôles techniques automobiles. On s’est rendu compte que le marché était favorable et qu’il n’y avait personne de positionné dessus. Cette expérience m’a permis de maîtriser sur le bout des doigts la technique ». Après cette expérience, Viken décide de revenir aux fondamentaux de ce qui lui plaît, à savoir : faire de la recherche et transmettre ses connaissances. Depuis 2013, le jeune homme anime un module d’introduction à l’entrepreneuriat dans son IUT.

Viken Kojakian

Henric de son côté, s’est lui aussi lancé dans l’aventure de l’entrepreneuriat avec un associé en créant un jeu. « Initialement je m’étais positionné en tant que créateur indépendant. Je me suis auto-formé en game design. Après le prototypage, on s’est finalement rendu compte que le choix du format jeu de cartes était bien plus adapté. Nous sommes actuellement toujours en face de test pour trouver le bon équilibrage. J’ai espoir de publier le jeu à travers une maison d’édition ». En 2018, Henric rejoint la société de service Hardis Group, en tant que développeur et termine son expérience chez eux en tant que Scrum Master, il fait principalement de la gestion de projet en mode AGILE / SCRUM.

Epitech comme lieu de rencontre

Après son expérience en entreprise, Henric rejoint Epitech en septembre 2019, mais cette fois-ci non pas en tant qu’étudiant mais en tant que responsable pédagogique des Tek 1 & 2 (première et deuxième année, dans le jargon local). 

« J’ai une réelle passion pour la transmission. J’ai toujours aimé m’impliquer dans la formation et l’accompagnement des différents stagiaires que j’ai pu avoir avec moi. J’ai toujours gardé en tête l’idée de travailler dans le milieu de la formation. Si on ajoute à cela l’opportunité de mettre en pratique mes expériences dans l’environnement Epitech, je ne pouvais que saisir cette opportunité. Epitech m’a en effet beaucoup plu dans son format et dans son contenu, ça me paraissait donc évident d’y revenir ».

Pour Henric, son rôle de Responsable Pédagogique est d’une part le suivi des promotions dans leurs globalités mais également le suivi de chaque étudiant individuellement. « En tant que référent principal des étudiants, je dois pouvoir être disponible pour eux. Mettre des choses en place pour permettre aux étudiants de s’épanouir professionnellement et personnellement. Par la suite, j’aimerais bien développer des projets incluant les différentes écoles du Groupe IONIS pour permettre à tous ces profils d’étudiants de travailler ensemble et de développer des compétences complémentaires, cela permettrait aux étudiants de mieux comprendre les autres domaines ».

La passion de la transmission des connaissances

Viken raconte les raisons de son arrivée au poste de Responsable pédagogique d’Epitech Lyon : « Je ne cherchais pas forcément un rôle à responsabilités, mais après une longue discussion avec le Directeur de Lyon qui cherchait un profil axé innovation avec une expérience dans l’entrepreneuriat, j’ai été convaincu de rejoindre Epitech. L’école a une forte notoriété : quand tu penses école d’informatique, tu penses Epitech. Comme j’ai été CTO, je savais que ma valeur serait technique et entrepreneuriale, et ce sont des valeurs importantes chez Epitech. J’ai beaucoup aimé le côté jeune, dynamique, la mentalité fait presque penser à une start-up ! Tu n’as pas la sensation d’avoir les mains liées : ça m’a beaucoup plu ».

Dans le Hub Innovation d’Epitech Lyon, les étudiants créent, inventent, testent…

Viken est également responsable du Hub Innovation de l’école. « Il faut que cet endroit soit un vivier d’innovation. Il doit être un bon terreau pour les idéations, un lieu de créativité où les étudiants se sentent bien, peuvent tester des choses avec une finalité réelle, qui peut très vite muter en vrai projet. On a voulu faire cela avec Enactus, une société spécialisée dans l’entrepreneuriat social. Dans le futur, je souhaite mettre en place une connexion entre le Hub et l’incubateur IONIS 361 : le Hub sera un terrain de jeu pour les étudiants et les idées les plus pertinentes finiront dans IONIS 361. »

Viken et Henric représentent à eux deux tout à fait l’essence d’Epitech : la pluralité des profils, l’envie de tester des choses, et de monter de vrais projets utiles.

Bienvenue à tous les deux dans l’univers Epitech !

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Portrait de Dorian Testa, étudiant en Pré-MSc à Epitech Marseille

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Dorian Testa est originaire de Marseille. À 21 ans, il a décidé de s’orienter vers un MSc à Epitech Marseille, après avoir obtenu un DUT en génie électrique et en informatique industrielle. Il nous raconte son expérience au sein d’Epitech.

Comment t’es venu ta passion pour l’informatique ?

La passion de l’informatique m’est réellement venue durant ma première année d’IUT GEII en génie électrique et informatique industrielle. Je me souviens très bien du moment où j’ai lancé mon premier programme sur un terminal, un programme plus qu’élémentaire qui plus est ! Je me sentais tellement fort alors que je n’avais rien fait, mais le fait de me dire que je peux créer un programme qui fasse exactement ce que je veux, je me suis tout de suite senti à l’aise avec l’informatique et j’ai compris qu’il y avait une infinité de choses à réaliser.

L’informatique industrielle reste néanmoins très différente de l’informatique « grand public » : on s’intéresse beaucoup moins à l’esthétique qu’au fonctionnel et il y a très peu d’évolution dans les technologies utilisées. Et c’est justement ce qui me plaît le plus dans l’informatique grand public  : créer des sites web, créer des applications, créer des programmes pour des objets connectés.

Pourquoi as-tu décidé de rejoindre le programme MSc Pro proposé par Epitech ?

Après l’obtention de mon DUT, je me suis rendu compte que je voulais faire de l’informatique mon métier. Lors de mon DUT, j’ai commencé à coder seul chez moi et je me suis renseigné pour intégrer Epitech. La pédagogie de l’école correspondait complètement à mes envies. Les étudiants proviennent de formations et d’horizons différents et c’est probablement l’un des aspects de la philosophie d’Epitech qui m’a le plus plu. J’ai pu intégrer l’école assez facilement grâce à mon dossier scolaire et ma motivation.

« Je suis fier d’avoir choisi Epitech plutôt qu’une autre école »

Comment as-tu vécu l’expérience MSc Pro ?

Fini la théorie de l’IUT et place à la pratique. En développant des projets en autonomie, notre capacité d’adaptation croît sans cesse. Grâce aux efforts que j’ai fourni tout au long de l’année et l’accompagnement d’Epitech, j’ai pu réaliser mon alternance en sécurité et réseau dans une entreprise partenaire d’Epitech qui gère les flottes automobiles et avec laquelle je poursuis mon alternance : Fatec.

« J’ai pu réaliser mon alternance en sécurité et réseau dans une entreprise partenaire d’Epitech »

Quel est ton rôle dans l’entreprise ?

J’améliore le réseau et la sécurité grâce à la mise en place d’outils collaboratifs tel que Microsoft Teams par exemple. C’est une entreprise qui monte en puissance (environ 2 embauches par mois) et le matériel tend à migrer vers plus de digitalisation. Il faut savoir que je suis plus spécifiquement attiré par du développement applicatif, néanmoins j’ai tout de même souhaité rester dans le domaine du DevOps chez Fatec.

Qu’est-ce que tu aimerais faire après Epitech ?

Tout d’abord, je suis fier d’avoir choisi Epitech plutôt qu’une autre école . La pédagogie de l’école est libre et ferme à la fois, ça m’a permis de gagner en maturité et de choisir ma future voie professionnelle. Ainsi, je souhaite développer mes compétences dans la partie technique et en création même si j’ai une préférence pour la partie dév … j’aimerai trouver une entreprise qui me permettra de me spécialiser en architecture logicielle.

« La pédagogie de l’école est libre et ferme à la fois »

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Teeneo, pour apprendre à gérer son argent de poche !

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Depuis un an et demi, deux étudiants d’Epitech Marseille travaillent sur Teeneo, une application bancaire permettant aux enfants à apprendre à gérer leur argent de poche. En décembre, le projet étudiant a pris une nouvelle dimension, en accédant au programme French Tech Tremplin

En mai 2019, lors d’un Start-up Week-end, Tarik Sliman et Zacharie Azoulai-Minassian présentent un projet original : créer une application bancaire à caractère éducatif. L’idée est toute simple et s’inspire de la carte Ticket Restaurant : « Il s’agit d’apprendre aux jeunes à gérer leur budget. Les parents peuvent facilement créer un plafond de dépenses journalier. », explique Zacharie. Et nul doute, la proposition, appelée Teeneo, a emballé le jury de la compétition, qui les déclarent vainqueurs du concours !

Des étudiants sur tous les fronts

Sous l’impulsion de Fabien Reynaud, directeur du développement régional de l’école marseillaise, ce duo d’amis choisit de continuer à développer ce projet, en parallèle de leurs études. Ils décident pour cela de recruter Paul Fuentes-Roudil, Théo Olivieri et Valentin Delcroix, tous les trois Assistants Epitech Région (AER) comme Zacharie. Et, pas de doute, ils n’aiment pas se faciliter la vie !

« C’est vrai que tout cela nous prend énormément de temps, mais nous voulions vraiment conserver ce projet en parallèle pour continuer à développer notre fibre entrepreneuriale. C’est pourquoi nous allons réaliser notre stage de fin d’année directement à Teeneo », précise Paul.

Une version Bêta en préparation

Pour mettre en place leur application, ce club des cinq a choisi d’utiliser Flutter, et Swift, les technologies de Google et Apple permettant de créer des applications mobiles plus facilement : « Nous avons également trouvé notre prestataire bancaire afin d’émettre facilement une carte de retrait, et transférer de l’argent. Nous espérons lancer la version Bêta en octobre », projette Théo.

Une nouvelle reconnaissance

De plus, depuis décembre, une nouvelle impulsion a été donnée à Teeneo. En effet, toujours sur conseil de leur directeur, le petit groupe choisit de s’inscrire au French Tech Tremplin, en décembre 2020. Et bien leur en fit ! Ils sont une nouvelle fois repérés par le jury, qui les récompense, notamment, d’une subvention de 20 000 euros et les sélectionnent parmi les 120 start-ups qui seront parrainées par la French Tech, un gage de qualité ! De quoi poursuivre dans leur voie tranquillement !

La pédagogie Epitech, source de leur réussite

Les cinq étudiants sont tout de même lucides. Leur succès, s’ils le doivent à leur travail et leurs idées, a également été rendu possible grâce à leur école, et sa pédagogie particulière : « Nous sommes très soudés entre nous, et possédons tous de très bonnes compétences techniques, ce qui nous a permis de récolter ces prix. Ces deux facteurs étaient facilités par Epitech, qui nous encourage à travailler en groupe. » En effet, la pédagogie par projets, prônée par l’école, impose aux étudiants de passer beaucoup de temps ensemble, et est donc propice à la création d’émulsion entre les différents individus.

De plus, cela permet aux étudiants « d’apprendre à apprendre », comme ils l’expliquent eux-mêmes :

« Tout au long de notre vie, il nous faudra continuer à nous former, il est donc primordial pour nous de savoir nous former seuls. Et c’est cela qu’Epitech nous apprend, à gagner en indépendance. »

Aujourd’hui, les cinq jeunes hommes comptent bien continuer à développer Teeneo, et à faire connaître l’application au grand public. Mais aucun doute, ils ne s’arrêteront pas là et poursuivront à créer de nouveaux projets…

Epitech, pour qui ?

Les cinq comparses se plaisent donc énormément dans le campus de la cité phocéenne, et souhaitent faire connaître leur école à un maximum d’élèves : « Évidemment, ce n’est pas pour tout le monde ! » précise Tarik Slimani. « Il faut aimer l’informatique, tout d’abord. Mais il faut aussi démontrer d’une certaine autonomie, et aimer apprendre à faire les choses par soi-même ».

Des étudiants à Epitech Marseille

À Epitech, ils sont particulièrement ravis du rythme, très différent du cadre scolaire, mais également la cohésion de groupe : « On travaille ensemble, on avance ensemble, on met en pratique ensemble. C’est vraiment une ambiance très particulière ! »

Enfin, ils conseillent tous d’aller au bout de ses idées, ce qu’ils comptent bien continuer à faire : « Quand on a une idée, il faut oser ! On se rend vite compte qu’on n’a rien à perdre… »

Une belle conclusion, pleine de sagesse !

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Comment Epitech a aidé des TPE-PME pendant le confinement

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Face à la crise du Coronavirus, l’école d’informatique Epitech a mobilisé ses étudiants, pour aider gratuitement les entreprises à mettre en place le télétravail, en premier rang desquelles les TPE-PME pour qui le travail à distance n’est pas habituel. L’opération a été déployée dans les 13 villes françaises où l’école est implantée.

Les étudiants des 13 campus d’Epitech se sont ainsi rendus disponibles pour les accompagner et les conseiller à distance sur les approches et les outils à mettre en œuvre, afin que les entreprises et leurs salariés puissent continuer leurs activités quotidiennes.

L’entraide légendaire entre les étudiants d’Epitech

Pendant le confinement, Epitech a aidé une quarantaine d’entreprises, de collectivités, d’associations, mais aussi des personnes qui se posaient des questions. La plupart des demandes concernaient la prise en main d’outils liés au télétravail, ou la résolution de problèmes techniques. Magali Lallauret, de la société Deligel, Bruno Musquère, Directeur Technique à Midiscom, et Christelle Duclaud, co-dirigeante d’ICÉDAP, ont accepté de livrer leurs témoignages.

Comprendre le problème : la philosophie d’Epitech

Magali Lallauret est enseignante en élémentaire dans une ville du Centre de la Bretagne. Elle travaille avec son mari qui a une entreprise de surgelés appelée Deligel. Pendant le confinement, ils ont fait face à un problème : l’application qu’ils utilisent pour les cartes GPS de livraison avait un fichier KML corrompu, et la carte ne pouvait plus se générer. Le couple a alors entendu sur la Radio Breizh Izel qu’une école d’informatique proposait des services bénévoles de la part de ses étudiants pour résoudre les problèmes informatiques des petites ou moyennes entreprises.

« On connaissait déjà bien Epitech puisque notre fils est féru d’informatique, et qu’il participe très souvent aux Coding Club d’Epitech Rennes. »

Alors, la famille a contacté l’école directement sur son site internet et ils ont été mis en contact très rapidement avec Gabriel TRYJEFACZKA, étudiant en 3ème année.

« On a échangé 2-3 mails avec cet étudiant pour qu’il nous aide à résoudre ce problème. Il nous a fait comprendre qu’en réalité, le problème n’était pas là où on le pensait, on s’était trompés ! Alors, au lieu de me faire lui-même les corrections, il m’a expliqué comment résoudre moi-même le soucis ».

« Une superbe initiative ! »

Cette démarche va tout à fait dans le sens de la pédagogie d’Epitech : comprendre le problème et ne pas seulement le faire résoudre par quelqu’un qui s’y connaît. Magali Lallauret précise : « J’ai fait beaucoup d’auto-formation en informatique, et j’ai trouvé que l’étudiant était très qualifié car il a compris en un mail le problème, il m’a proposé d’y réfléchir lors d’un second mail, pour enfin que je puisse le résoudre avec un 3ème mail ! C’était vraiment une superbe initiative, merci beaucoup ! ».

Quand un Directeur Technique veut tester les étudiants d’Epitech…

Bruno Musquère est Directeur Technique à Midiscom, une entreprise située dans la région de Toulouse, qui fait du marketing sensoriel. Avant l’annonce du confinement, Bruno voulait déjà permettre à tous ses collaborateurs de travailler de manière sécurisée depuis chez eux. « J’ai voulu mettre en place ex nihilo un VPN, j’avais l’intuition depuis le début de l’année qu’il fallait le faire sans tarder. »

Excellence, Solidarité, Courage : les valeurs d’Epitech

C’est alors que le Directeur Technique échange sur ce projet avec un collègue ingénieur qui l’informe qu’une école d’informatique propose d’aider les PME à résoudre des problèmes informatiques.

Bruno Musquère raconte :

« Je connaissais Epitech alors j’ai écrit un mail pour expliquer ce que je cherchais, et j’ai été agréablement surpris par la réactivité d’un étudiant : Mathieu Sanchez. Il a compris rapidement ce que je voulais, j’ai trouvé qu’il était très investi, professionnel, et nos conversations m’ont permis de m’orienter vers une solution adaptée, et immédiatement opérationnelle ».

 « C’est super que les écoles d’informatique soient conscientes que les PME sont au cœur de notre pays »

Bruno Musquère a apprécié l’initiative d’Epitech de venir en aide aux entreprises : « J’ai trouvé ça formidable, c’est super de se dire que dans notre pays, les PME sont au cœur de notre pays et que les écoles en sont conscientes ».

Pour finir, le Directeur Technique affirme que discuter avec Mathieu Sanchez lui a fait gagner du temps : « Je n’y croyais pas en envoyant un premier mail, mais on m’a répondu rapidement, nos échanges ont été qualitatifs, sérieux, rapides ».

Découvrir une nouvelle solution

À Angers, c’est Christelle Duclaud, co-dirigeante d’une entreprise nommée ICÉDAP, spécialisée dans l’édition et le digital learning, qui a bénéficié de l’aide d’un étudiant d’Epitech. Elle raconte :

« Lors du confinement, il nous manquait une plateforme de gestion de projet pour compléter Slack afin de pouvoir visualiser l’avancement de nos projets. On voulait que ce soit une solution hébergée en France. »

La Directrice éditoriale d’ICÉDAP venait de lire un article dans Ouest-France, comme quoi une école d’informatique proposait les services de ses étudiants pour aider les petites et moyennes entreprises. Elle a directement contacté Epitech par mail et elle a reçu rapidement un appel d’Antoine Viala, qui lui a demandé de lui expliquer le problème.

« Il m’a immédiatement conseillé Atolia, une plateforme made in France que je ne connaissais pas. Nous sommes en phase de test et comparons cette solution à une autre également développée et hébergée en France. »

« Learning by doing » : en travaillant sur des projets pour lesquels ils n’ont pas nécessairement de notions au préalable, les étudiants expérimentent, raturent, avancent, reculent.

Même si Antoine n’a pas pu agrémenter la plateforme à distance, Christelle Duclaud affirme que l’aide qu’il a apporté a permis à l’équipe projet d’ICÉDAP de tester une autre plateforme. Elle souligne : « Surtout, ça nous a fait découvrir une autre plateforme avec des fonctionnalités autres ».

Aujourd’hui, les besoins à couvrir sont bien identifiés grâce aux différents tests qui ont pu être menés, il n’y a plus qu’à mettre en place la solution Atolia !

« Un grand merci aux étudiants ! »

Comme Magali et Bruno, Christelle est satisfaite de cette initiative de la part d’une école d’informatique : « Je trouve que c’est vraiment une bonne idée, autant pour les étudiants qui sont en situation réelle, que pour les petites et moyennes entreprises. Je suis sûre que cela a permis à d’autres de gagner du temps et j’espère que d’autres PME ont pu être aidées, ça fait du bien de voir qu’on parle de nous ! »

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Epitech la Réunion fête le baccalauréat 2020

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L’école d’informatique Epitech à La Réunion organise un jeu concours pour faire gagner à un bachelier 2020 un kit Raspberry PI4. Ce concours sera lancé sur le compte instagram du campus. Les participants devront répondre à un quiz et taguer un ami pour le défier. Le gagnant sera tiré au sort parmi les bonnes réponses du quiz.

Le Raspberry Pi est un nano-ordinateur populaire au sein de la communauté des « makers ». Il permet notamment l’exécution de différents systèmes d’exploitation. Cette puissance alliée à sa versatilité en fait un outil idéal pour expérimenter la programmation informatique et inventer des outils uniques en leur genre. L’heureux gagnant de ce Raspberry Pi pourra profiter de ses vacances bien méritées en explorant un univers technologique à la créativité infinie.

Jeu concours du mardi 7 juillet 2020 au jeudi 9 juillet 2020 sur le compte Instagram d’Epitech la Réunion (@epitech.reunion). Tirage au sort le vendredi 10 juillet pour une annonce des résultats au plus tard le lundi 13 juillet 2020.

Téléchargez le règlement du concours au format PDF

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Sébastien Choubrac, major de sa promo de la Coding Academy de Lyon

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Sébstien Choubrac est major de sa promotion 2020 de la Coding Academy d’Epitech Lyon. Il nous raconte son parcours, ses futurs projets et il nous explique pourquoi il a choisi de s’orienter vers ce type de parcours.

Comment as-tu connu Epitech ?

Epitech je connaissais seulement de nom, l’élément déclencheur a été d’échanger avec Adrien Remy, expert technique à Epitech Lyon. J’étais à une période de ma vie où je cherchais une reconversion professionnelle et la Coding Academy correspondait totalement à mes attentes. J’ai toujours baigné dans l’informatique, mon père est développeur et j’ai toujours codé de mon côté pour des projets personnels.

Comment as-tu vécu les premiers jours à la Coding Academy ?

Les premiers jours étaient assez intimidants, mais au bout de quelques jours on est vite dans le bain. J’ai adoré la Piscine de C et de PHP. Ce qui me plaît le plus c’est le fait de ne pas avoir de cours théoriques, et d’être toujours dans le concret. Je suis incapable de rester plusieurs heures devant un professeur à suivre un cours, c’est d’ailleurs pour ça que j’avais quitté la fac à l’époque. À Epitech il y a toujours quelque chose de tangible.

Comment se passent tes projets à Epitech ?

Les projets c’est globalement le même schéma : les premiers jours on est complètement paumé mais à la fin on y arrive toujours. C’est hyper gratifiant de présenter quelque chose de terminé, d’avoir un rendu visuellement présentable. Le fait de travailler en groupe, sans se voir en physique c’était un peu un frein au niveau de la communication. S’expliquer des lignes de code à distance ce n’est pas la même chose que d’être les uns avec les autres. J’ai trois enfants en bas âge donc ça n’est pas forcément évident tous les jours, mais avec de l’organisation on y arrive ! Finalement on a réussi à finir tous les projets. Pour le dernier projet en date, nous réalisons une application qui permet de mettre en relation des joueurs de jeux de société. Ce qui me plaît, c’est la liberté dans le choix du sujet.

Tu es depuis quelques semaines en stage, raconte-nous comment ça se passe ?

Sebastien Roth, notre responsable de promotion m’a mis en contact avec Julien Legay, étudiant en MSc Pro, qui a créé son entreprise de pentesting et qui cherchait un stagiaire. Voilà 3 semaines que j’ai rejoint White Agent et tout se passe très bien avec Julien. Je découvre de nouvelles technologies tous les jours, je touche à tout. Ce qui est agréable c’est de ne pas être cantonné à une seule mission.

Dans le cadre de mon stage, nous travaillons pour un caviste qui stocke une grande quantité de bouteilles de vin pour une multitude de particuliers. Nous devons développer un site web permettant de collecter et transmettre des données liées au stockage du vin. J’utilise le framework symfony en php, que j’ai appréhendé dans le cadre de mes études à la Coding Academy. La partie front (visible) du site internet est assez simple, mais le back (clé de voûte de l’application web) est beaucoup plus complexe. Techniquement, nous devons gérer une grosse base de données : quantités, stocks, clients… pour permettre aux clients de gérer entièrement leurs caves et de pouvoir se faire livrer leurs bouteilles à tout moment. Il faut également que les administrateurs de la cave puissent avoir un suivi complet des mouvements de bouteilles, ce qui implique un envoi automatique de mails, de factures et de conversion des stocks.

Que penses-tu de la formation de la Coding Academy ?

J’ai vraiment adoré rejoindre la Coding Academy. Ce qui me plait c’est la pédagogie, le fait d’être toujours dans l’action, toujours actif. Chercher par soi-même tout le temps. Parfois ça peut être frustrant mais si on a la volonté de se battre c’est hyper gratifiant.

Dans l’ensemble, les modules qu’on a eu sont très pertinents, on passe quelque fois un peu vite sur certains projets mais en 18 semaines on ne peut pas tout faire… Et puis avec l’habitude donné par Epitech d’apprendre à apprendre, lorsqu’on a besoin d’utiliser un langage ou une technologie qu’on ne maîtrise pas, on a le réflexe de s’auto-former.

Je me rends bien compte que cette pédagogie n’est pas forcément faite pour tous. Pour réussir, il faut je pense : de l’énergie et de la volonté.

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Portrait de Valentin Soyer, étudiant promo 2021 à Epitech Toulouse

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Valentin Soyer qui rentre tout juste de de Taïwan où il a fait sa quatrième année, va bientôt rejoindre l’équipe pédagogique d’Epitech Toulouse en tant qu’AER (Assistant Epitech Régional) pour son part-time. Retour sur son parcours à Epitech.

Pourquoi avoir choisi Epitech ?

À partir de la 3ème au collège, je sentais bien que rester assis sur les bancs de l’école et écouter un professeur toute la journée ne me correspondait pas, je décrochais souvent. Je me suis finalement accroché jusqu’au bac et j’ai voulu essayer une pédagogie autre. L’informatique m’a toujours intéressé, je faisais mes « trucs » de mon côté, un peu de dev par-ci par-là, mais j’ai eu envie d’aller plus loin dans ce domaine et avec un cadre. Je savais que la pédagogie d’Epitech me correspondrait davantage et ça été le cas, ça m’a vraiment tiré vers le haut.

Ma première année à Epitech n’a pas été hyper facile pour moi, j’avais pas mal de difficultés et c’est grâce à des supers AER qui m’ont accompagnés toute l’année que j’ai réussi à m’accrocher et à acquérir le niveau et valider mon année. C’est la rencontre avec ces AER justement qui m’a donné envie de faire partie de l’équipe pédagogique à mon tour. Donc en deuxième et troisième année j’ai été AER et j’ai beaucoup aimé cette expérience. Alors quand on m’a proposé un part-time dans l’équipe pédagogique à Toulouse pour ma cinquième année, je n’ai pas hésité longtemps avant d’accepter !

Pourquoi avoir choisi d’être AER pour ton part-time ?

J’ai vraiment envie d’aider les étudiants à s’épanouir à Epitech comme je m’épanoui ici. J’ai notamment choisi des modules de première année pour accompagner les nouveaux, et comme je suis à l’aise avec le C et le fonctionnel je suis davantage sûr de moi pour les accompagner au mieux. J’adhère totalement à la pédagogie Epitech et je veux vraiment les aider comme je peux et grâce à cette pédagogie à trouver par eux-mêmes les solutions à leurs problèmes.

J’ai envie de faire bouger les choses, donner de ma personne pour que les étudiants soient satisfaits d’Epitech.

Je suis aussi super content de m’orienter vers la gestion de projet grâce à cette expérience même si j’adore le développement, je suis content de faire autre chose et m’essayer sur d’autres compétences.

Tu reviens de Taïwan où tu as fait ta quatrième année, peux-tu nous parler un peu de cette année à l’international ?

J’ai beaucoup trop de choses à dire sur cette année qui tiendrait dans un article ! C’était une expérience incroyable et extrêmement enrichissante. Entre les paysages, la culture, les cours, les façons différentes de vivre, les mentalités etc, ça m’a vraiment ouvert l’esprit. Moi au départ j’étais parti pour aller en Irlande et puis finalement un camarade de classe m’a parlé de l’Asie et de cette Université à Taïwan et j’ai dit ok on y va ! Je suis vraiment content de mon choix car moi qui ne connaissais pas du tout l’Asie j’ai pu découvrir une nouvelle culture et ça m’a donné envie de voyager dans les prochaines années.

Qu’attends-tu de cette dernière année à Epitech ?

Cette dernière année c’est la sacralisation de mon EIP (Epitech Innovative Project) : TYR et la validation de mon diplôme. J’espère pouvoir accompagner au mieux les étudiants dans mon rôle d’AER et j’aimerais trouver mon stage de fin d’études en Irlande et dans l’idéal trouver des missions de gestion de projet et gestion d’équipe. Je ne me projette jamais trop loin, je préfère vivre au jour le jour !

Un conseil pour les curieux qui s’intéresseraient à Epitech ?

Restez curieux et lancez-vous !

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Mickaël Duprat – étudiant en MSc Pro à Epitech Bordeaux

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Mickaël Duprat est étudiant à Epitech Bordeaux en parcours MSc Pro. Son parcours diversifié et très complémentaire est un vrai exemple pour un bon nombre d’étudiants. Il raconte pourquoi il a choisi de finir son cursus chez Epitech avec le parcours MSc Pro.

Quel est ton parcours et pourquoi as-tu rejoint des études d’informatique ?

J’ai personnellement eu un parcours assez atypique après avoir été mal orienté vers un bac technologique STi2D avec une importante partie théorique. J’ai très vite ressenti le besoin d’être créatif et de pouvoir exprimer cette créativité à partir de choses concrètes.

C’est à ce moment que j’ai pris la décision de m’orienter vers l’informatique car déjà bidouilleur et passionné à l’époque, j’étais curieux d’en apprendre davantage sur ce secteur. A l’époque je pratiquais la programmation en lien avec un jeu vidéo auquel je jouais durant mon adolescence mais je ne pensais pas spécialement en faire ma vocation.

C’est pourquoi après ma seconde, je me suis très vite réorienté vers un bac professionnel SEN (Systèmes Electroniques et Numériques). Ce qui m’a directement plu c’est l’importante partie pratique avec des Travaux Professionnels, des projets et aussi le fait d’avoir un premier pas dans le monde du travail avec les 4 mois de stage que j’ai pu faire durant ce cursus.

Après le bac je n’avais plus qu’une envie, c’était de continuer certes mais seulement par le biais de l’alternance. Je voulais à la fois continuer d’avoir une partie théorique essentielle pour évoluer mais aussi garder un pied dans le monde professionnel tout en ayant aussi et il faut le dire, une première indépendance financière.

C’est à ce moment-là que par le biais de recherches j’ai découvert les Titres professionnels. Ceux-ci m’ont permis de valider des acquis de compétences (du concret !) et de m’éloigner du système de notation classique qui ne me convenait pas vraiment.

Je me suis, dans un premier temps, orienté vers un Titre professionnel GMSI (Gestionnaire en maintenance et sécurité informatique) qui se trouvait être la continuité directe de mon bac spécialisé dans la télécommunication et les réseaux informatiques (faisant référence aux métiers admin sys & réseau). Suite à la non obtention de mon diplôme, une période de chômage de 5 mois ayant suivie et ma passion pour la programmation s’étant développée avec le temps, j’ai décidé de me réorienter vers ce pans de l’informatique.

Puis j’ai passé avec succès les Titres professionnels suivants :

  • Titre professionnel – Développeur Intégrateur Web & Mobile (niveau III – équivalent BTS)
  • Titre professionnel – Concepteur développeur informatique (niveau II – équivalent licence)

Désormais il ne me reste plus que celui en cours à Epitech :

  • Titre professionnel – Architecte logiciel-développeur / développeuse d’applications (niveau I – équivalent master)

Pourquoi avoir choisi Epitech ?

J’ai principalement choisi Epitech pour sa pédagogie par projets et pour sa renommée dans le secteur. Je l’ai également choisi d’après des retours que j’ai pu avoir de deux anciens étudiants.

Tu as bientôt terminé ta première année MSc Pro, que t’a apporté cette formation ?

Ce fût une année rythmée, eh oui parce-que malgré tout, nous n’avons pas chômé. Les projets se sont très vite enchaînés et même superposés si je peux utiliser cette métaphore. Nous étions continuellement sur 2 à 3 projets en simultané et avec des équipes différentes à chaque fois (quasiment). Les deadlines sont courtes mais c’est aussi ce qui est challengeant. La diversité des projets et des technologies utilisées sont vraiment un plus, ce qui m’a poussé à m’auto former en permanence pour apprendre à produire rapidement des choses nouvelles pour moi. Je dirai donc que cette année m’a apporté beaucoup d’autonomie, de rigueur sur les deadlines et la qualité des rendus mais elle m’a aussi permis de développer ma communication au sein de plusieurs équipes (parfois en distanciel lors de projets inter-villes).

Quels conseils donnerais-tu à un étudiant qui souhaiterait intégrer cette formation ?

Je pense qu’il faut avant tout être passionné, curieux, rigoureux et ouvert d’esprit car c’est une formation qui se vit en collectivité, où la critique doit être constructive et la fierté parfois mise de côté. Un autre conseil serait de surtout te mettre en place une veille technologique en parallèle pour ne rien manquer de l’actualité et aussi d’aider tes futurs camarades mais également de ne pas hésiter t’appuyer sur eux pour développer tes compétences personnelles.

Quel poste occupes-tu et dans quelle entreprise ? Raconte-nous une journée type !

A l’entreprise, j’occupe le poste de développeur JavaEE chez CGI (une ESN Canadienne) présente à Le Haillan. Quand j’arrive le matin, je commence par faire un petit coucou à tout le plateau (parce-que oui je n’aime pas le café..). Je vais tranquillement m’installer à mon poste, petit check des mails pour directement cibler les urgences s’il y en a et puis pull du GIT pour mettre à jour les modifications apportées par les collègues.

Ensuite, on se réunit avec les collègues de mon projet pour faire un daily meeting pour s’assurer que personne ne soit bloqué et pour s’entre-aider si jamais c’est le cas.

Dans mon équipe on est 6 devs est on travaille sur un CMS JavaEE appelé Liferay. Notre principal objectif est de développer des plugins ou des surcharges spécifiques à ce CMS pour répondre aux besoins de notre client le « Crédit Agricole ». Je peux donc être amené à faire du frontend comme du backend en fonction du scope de ma tâche.

Enfin, le reste de la journée, je dev (y’a pas de mystère), je check notre kamban sur Jira (logiciel de suivi projet) et je fais évoluer ma/mes tâches en fonction de leurs avancées au cours de la journée. Pour terminer la journée je push mes modifications sur le serveur GIT et rentre chez moi pour travailler sur les projets Epitech et jouer aussi J. Rythmé donc !

Renseignez-vous sur le parcours MSc Pro d’Epitech par ici.

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Benjamin Netter, Alumni Epitech Paris, fondateur d’entreprises prometteuses

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Benjamin Netter, Alumni d’Epitech Paris promotion 2012, est le co-fondateur de October, classée dans le Next 40 des 40 start-up françaises les plus prometteuses et Riot, récemment incubé au très sélectif Y Combinator près de San Francisco.

L’informatique : une évidence

Les parents de Benjamin achètent un ordinateur très tôt et il se passionne pour Internet dès ses 9 ans et code ses premiers sites en php. Il ne s’est jamais arrêté ensuite.

« Ce qui m’a toujours plu dans le web et la programmation, c’est de pouvoir créer quelque chose en un week-end qui sera potentiellement utilisé par des centaines de milliers de personnes une semaine plus tard. Cela m’est arrivé lorsque j’étais en première année d’Epitech. J’ai crée en 3 jours une application Facebook « Questions réponses entre amis » qui a généré 500 000 utilisateurs au quotidien. Malheureusement, Facebook m’a banni ensuite car j’utilisais trop la fonction notification. »

Sa scolarité à Epitech

Attiré par un enseignement par la pratique, Benjamin rejoint Epitech. Même s’il a passé 8 ans à coder en dehors de l’école, il s’aperçoit très vite, suite à la Piscine, qu’il est loin de savoir programmer de manière professionnelle. Epitech lui apportera la rigueur et l’assurance de pouvoir faire n’importe quoi techniquement.

En effet, en première année, il doit faire un Ray Tracer, bien au dessus de son niveau, avec une grande liberté pour implémenter le projet et aucune idée de comment le réaliser. Pourtant, un mois plus tard, le résultat est là.

Le challenge est aussi présent avec le jeu Wolf 3D :

« Dans l’énoncé, on nous demandait une version basique à programmer : le personnage devait seulement se déplacer dans un labyrinthe. Une compétition amicale s’est alors mise en place : j’avais envie de faire le meilleur de la promo, celui qui se rapproche le plus possible du jeu vidéo. »

Benjamin garde également un bon souvenir de sa quatrième année où il est parti étudier l’Intelligence Artificielle à Montréal.

« C’était culturellement intéressant de sortir du cocon d’Epitech. Les universités là-bas sont démentielles : ce sont de vrais campus. Cela sort de ce qu’on a l’habitude de vivre et l’enseignement était très théorique. »

Son premier poste en start-up

Il reste 3 ans chez Ykone : d’abord en stage de 3ème année puis à mi-temps et signe un CDI avant la fin de sa cinquième année.

Ykone est une start-up qui déploie d’abord un pure-player sur la mode avant de pivoter et devenir l’un des pionniers du marketing d’influence pour les blogueurs.

Benjamin travaille avec une équipe de 4 développeurs, d’abord sur le site web puis sur la plateforme qui permet de mettre en place la publicité sur les blogs. Ensuite, il a l’initiative de développer un répertoire des influenceurs pour les mettre en relation avec les marques.

Les débuts dans l’entrepreuneuriat

Pendant Ykone, Benjamin participe à un hackathon mondial du réseau social qui permet à l’époque de se géolocaliser : Foursquare. Les développeurs participants au concours doivent proposer un outil autour de leur application.

Benjamin créé un site « Plan Your Next Trip  »  qui permet de calculer l’itinéraire automatisé dans une ville pour un week-end : où petit déjeuner, quoi visiter, la boutique sympa où aller… Il gagne le hackathon et est invité à NYC rencontrer les équipes.

Benjamin interprète cela comme un signal pour se lancer et réinventer le guide du voyage papier en numérique. Il quitte son travail chez Ykone et s’y consacre pendant deux ans.

« Je passais mes journées à coder, j’étais jeune et seul : c’est compliqué d’entreprendre seul. »

En parallèle, sur la même thématique, il crée Somewhere : un site qui envoie aléatoirement dans un des plus beaux endroits du monde avec les photos les plus récentes d’Instagram. Ce projet lui vaut pas mal de presse et il rencontre Olivier Goy, qui recherche un associé technique pour créer October : l’aventure commence.

Le succès d’October

Olivier Goy avait déjà un background financier avec son entreprise 123 Investment Managers où il gérait les fonds de plus de 60 000 particuliers. S’inspirant du modèle américain et voyant la loi du financement participatif arriver en France en 2014, Olivier et Benjamin créent October, qui permet de prêter de l’argent aux entreprises qui veulent investir, les fonds venant de particulier.

Benjamin se retrouve alors à monter une équipe de 15 développeurs pour gérer tout l’aspect technique de l’entreprise qui connaît une forte progression en 6 ans : déployé dans 5 pays, 110 salariés, 7 millions d’euro levé la première année puis 32 millions la quatrième…

Benjamin n’hésite alors pas à faire appel à des développeurs Epitech :

« Les développeurs d’Epitech sont une valeur sûre : ils ont beaucoup de rigueur et c’est ce que je demandais à mon équipe : quand on gère des centaines de millions d’euros par an, on a pas le droit à l’erreur ! »

Riot : son nouveau projet

Une part de son travail chez October est de protéger la société contre les cyber-attaques, il se passionne pour le sujet et a l’idée de son nouveau projet Riot

« J’envoyais aux équipes en interne des fausses attaques par mail afin de savoir qui avait le plus besoin d’entraînement. Je me suis rendu compte que cela était très utile et qu’on pouvait améliorer le niveau de compétences des employés sur ce risque difficile à prévoir. Il faut savoir que le phishing est la cause numéro un de brèche de données. Quand on est une société, on n’a pas envie que les données confidentielles de nos clients soient divulguées. »

Benjamin envoie alors un dossier à Y Combinator, l’incubateur qui a hébergé des sociétés comme Airbnb et Dropbox. Il quitte alors October pour saisir sa chance car seulement 1% des start-up sont admises dans cet incubateur où il restera trois mois à Mountain View, près de San Francisco. A la fin de cette période, il lève 2 millions d’euros, revient en France et commence à constituer son équipe. Riot est la possibilité pour les entreprises d’entraîner leurs employés afin qu’ils deviennent leur meilleur atout sécurité.

Toujours plus loin

Parallèlement à ça, Benjamin investit temps et argent dans les start-up Pampa et Leeto. Il est aussi mentor pour conseiller et accompagner des start-up incubées.

« C’est plus facile de donner des conseils quand ce n’est pas ta propre boîte : tu as des idées évidentes que tu n’as pas quand tu as la tête dans le guidon. On trouve alors des solutions plus facilement. »

Nul doute que Riot n’est qu’au début d’une belle aventure et que Benjamin qui aime associer la technologie à plusieurs domaines aura encore beaucoup d’idées de projets à créer dans le futur.

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Des futures étudiantes d’Epitech reçoivent une bourse importante pour financer leurs études

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L’EPITA et Epitech se sont associées à Article1 (une association agissant pour l’égalité des chances dans l’insertion professionnelle) afin de lancer une bourse spéciale pour les futures bachelières tout au long de leurs études.

Les candidates à cette bourses ont eu jusqu’au 10 mai dernier pour remplir leurs dossiers. Il y a quelques jours, les noms des 30 boursières ont été dévoilés ! Elles pourront recevoir jusqu’à 7 500 € par an pour suivre des études d’informatique à Epitech ou à L’EPITA. Nous avons voulu en rencontrer quelques unes pour connaître leurs réactions.

En plus de cet accompagnement financier, ces 30 étudiantes seront suivies pendant tout leur cursus au travers d’un mentorat individuel et d’un réseau d’entraide.

À Nice, c’est Lisa Peschl qui a eu l’honneur de recevoir cette bourse si attendue

Lisa Peschl raconte : « J’ai toujours été intéressée par l’écologie et le développement durable. Avec l’informatique, je retrouve ce sujet. Je peux développer de nouvelles choses et faire avancer ce secteur. »

Bachelière depuis peu de la filière ES, Lisa ne se destinait pas à l’informatique. Cependant,  il y a quelques mois, elle accompagnait un ami sur le campus d’Epitech Nice et découvrait nos formations ainsi que notre pédagogie. Après s’être prise au jeu d’un Coding Club, elle pose sa candidature et intègre rapidement la promotion 2025 avec une idée professionnelle en tête, intégrer le milieu de la GreenTech. Et pourquoi pas commencer par un stage à Ecosia ! C’est le grand projet de notre jeune et pétillante étudiante niçoise qui compte bien s’inspirer des initiatives éco-responsables de la Tech.

« J’ai envie de continuer professionnellement dans ce milieu, de pouvoir donner un sens responsable à ce que je développerai dans ma carrière »

Contactée par nos équipes au sujet de Article1, Lisa saisit l’opportunité et candidate pour la bourse. Après un entretien de motivation, elle reçoit l’appel de l’administration qui lui annonce la bonne nouvelle. Des larmes de joie, elle ne s’y attendait pas ! « Je tremblais, je pleurais, je n’y croyais pas et ensuite j’ai appelé toute ma famille pour annoncer la bonne nouvelle. Il n’y a pas de mot, c’est énorme, c’est génial de donner cette chance aux jeunes. »

Si le facteur financier permet à notre jeune niçoise d’entreprendre ces études avec plus de sérénité, c’est avant tout le programme de mentoring qui l’a motivée à candidater.

« Je suis très intéressée par le mentorat et par toutes les opportunités que nous apporte cette bourse, en plus de l’aspect financier. Pouvoir être accompagnée, encouragée, soutenue par une personne d’expérience tout au long de mes études, c’est un atout majeur pour moi.»

Lisa ne compte pas chômer pendant ses cinq prochaines années, elle souhaite profiter de chaque instant avec son mentor pour découvrir la Tech, les initiatives éco-responsables, pour développer son réseau et monter des projets liés au développement durable. Son objectif professionnel, à long terme, est de pouvoir aider les entreprises et les conseiller à développer une démarche responsable : « Même si l’aspect business est important aujourd’hui, il ne faut pas oublier de s’engager pour notre planète. » 

À Paris, c’est Lidya Hadjadj, 17 ans (presque 18 !), la lauréate de la bourse

Lidya habite à Nanterre, et vient de passer son baccalauréat scientifique. Elle a découvert Epitech pendant les journées Parcoursup de son lycée : « Il y avait un stand de l’école que j’ai été voir. Comme ça m’intéressait, j’ai cherché plus d’infos sur internet et j’ai découvert la pédagogie d’Epitech, ça m’a vraiment beaucoup plu. »

Tout de suite, Lidya accroche énormément à Epitech, et décide de passer les entretiens d’admission. Elle est admise ! Elle commence alors à se renseigner pour faire un prêt étudiant, malheureusement, un problème de dernière minute l’empêche d’obtenir ce prêt… Finalement, la directrice du développement d’Epitech Paris, Ludivine Fabri, lui parle de cette bourse… : « Une personne venait de se désister, du coup il y avait peut-être une bourse pour moi. Elle m’a aidée à monter tout le dossier, et j’ai finalement pu m’inscrire ! »

Lidya est très heureuse d’avoir obtenu la bourse et de réaliser son rêve d’apprendre l’informatique dans l’une des meilleures écoles de France.

« C’est vraiment la pédagogie qui me plaît, l’idée d’être indépendante. On n’apprend pas à coder en classe, on n’a pas de leçon avec des profs, on est autonome. C’est le plus important, même pour plus tard quand on sera en entreprise. »

Lorsqu’on demande à Lidya ses projets pour l’avenir, elle répond qu’elle aimerait faire du développement dans le domaine de la santé, comme par exemple : « participer à créer des engins qui permettent aux personnes handicapées de pouvoir s’exprimer ».

Elle qui a grandi entourée de garçons, elle n’est pas dérangée par le manque de filles dans le secteur de l’informatique et dans les écoles. Lidya est tout de même très contente que ce genre de bourse existe pour inciter les filles à se lancer dans des cursus plus scientifiques : « Il faudrait que cette bourse soit plus connue. Je n’en avais jamais entendu parler avant que Ludivine Fabri me la propose, et il y a peut-être d’autres filles qui en auraient besoin ».

À Montpellier, c’est Jade Bouchiki, 23 ans, qui a reçu la bourse

 

 

Jade Bouchiki a 23 ans, elle est originaire du sud de la France, et après un parcours assez diversifié, elle rentrera en septembre prochain au campus d’Epitech Montpellier.

Jade obtient son Bac en 2016, puis elle réalise une année en faculté de psychologie à Aix-en-Provence. Elle ne trouve pas sa voie dans ce cursus, alors elle décide de rentrer à Avignon dans sa ville natale pour faire deux années de droit. Encore une fois, c’est la désillusion car Jade sens que ce n’est pas non plus là où elle doit être.

Finalement, Jade décide de tenter les épreuves d’Epitech, et les réussies. Pourquoi Epitech et pas une autre école ? Elle raconte :

« J’ai choisi Epitech, car déjà au lycée, j’entendais parler de cette école, et j’ai toujours voulu travailler dans l’informatique depuis toute petite. J’aime énormément ce qui touche aux nouvelles technologies, mon professeur de math de l’époque me conseillait fortement de m’inscrire à Epitech, mais je n’avais pas suffisamment confiance en moi pour entreprendre ça. »

Mais aujourd’hui, la jeune femme est confiante, et se voit bien travailler dans le domaine de la cybersécurité plus tard. Lorsqu’elle a appris qu’elle avait obtenu la bourse, elle s’est sentie très soulagée et chanceuse d’avoir un boost pour pouvoir faire ce qu’elle veut sans forcément avoir beaucoup de moyens.

À Epitech, Jade a envie de montrer que même si les filles ne sont pas nombreuses, « on en a dans le crâne ! »

« Je sais que ce milieu n’est pas très féminin, mais ça ne me fait pas peur, bien au contraire, je considère ça comme un challenge »

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Étudiant en MSc Pro, Maël Allé s’est spécialisé en IA et Big Data

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Maël Allé est originaire de Polynésie française, il est arrivé en France métropolitaine il y a trois ans et aujourd’hui,  il est étudiant en MSc Pro à Epitech Lyon. Nous lui avons demandé comment il vit sa première année dans ce programme d’Epitech.  

À 21 ans, Maël Allé est employé depuis deux ans dans une start-up lyonnaise nommée Wikit, spécialisée dans le support informatique via chatbot. Maël est développeur bot / back au sein d’une équipe d’une dizaine de personnes. Ses missions sont variées : elles vont de la conception à la réalisation de fonctionnalités.  

C’est dans le cadre du MSC Pro spécialité IA & Big Data que Maël est en alternance au sein de Wikit. Au rythme de deux jours par semaine à Epitech, et trois jours en entreprise, Maël est un étudiant studieux.

Parle nous du projet en intelligence artificielle que tu devais réaliser pour Epitech :

 

« J’ai réalisé un projet de groupe basé sur l’intelligence artificielle et le machine learning.  Nous étions cinq dans le projet : Sarah Diff, Vincent Linet, Martin Levêque et Dylan Ben Gueddache. Concrètement, nous disposons de deux bases d’images de radios de poumons. L’une contient des poumons sains et l’autre rassemble des poumons atteints de pneumonie. Le but est, via un algorithme, d’entraîner un modèle pour le rendre intelligent afin quil puisse répondre à la question : est-ce que cette radio comporte des traces de pneumonie ou est-il sain ? »

Ce projet proposé au sein du cursus MSc Pro d’Epitech à Lyon, est tout à fait le genre de travail que les étudiants sont habitués à réaliser. C’est à travers des cas concrets comme celui-ci que les étudiants apprennent à se servir des technologies. Maël et ses collègues ont réalisé ce projet en deux mois pendant le confinement. Ils ont adoré réaliser ce projet car il était basé sur plusieurs types de machine learning, ce qui leur a permis d’avoir une vision panoramique de ces technologies. Maël continue son explication :

Le but est de pouvoir entrer une radio extérieure à la base de données initiale pour que le modèle nous donne l’état du poumon. Nous avons réussi à obtenir des taux intéressants, avec plus de 90% de réussite. Comparativement, les entreprises spécialisées dans le domaine obtiennent environ 99,99% de réussite. 

Comment vis-tu le travail à distance en ce moment ?

Alors que l’année scolaire et universitaire est terminée et que les étudiants n’ont toujours pas pu retourner dans leurs campus pour fêter la fin de l’année, nous avons voulu savoir comment Maël s’est organisé pour travailler sereinement et finir ses projets. Il répond :

« Travailler ensemble et à distance ne nous a pas vraiment posé de problème. On aurait peut-être pu être plus efficace en physique, mais finalement ça s’est plutôt bien passé. Personnellement, ça se passe super bien, je suis même plus performant pour certaines tâches. J’aime bien être dans ma petite bulle, le fait d’être tout seul se passe plutôt bien j’arrive à m’organiser ; du moment que je suis lancé dans un projet qui me plaît, j’y vais à fond. »

Peux-tu nous parler de ton projet de fin de cursus ?

Le dernier projet de fin d’année que Maël a dû réaliser pour Epitech était plutôt complet. Le principe était de proposer des cartes électroniques aux bars de Lyon. Les clients disposent d’un QR Code sur les tables qui leur donnent accès à la carte des consommations et qui leur offre la possibilité de commander directement via leur téléphone. Maël a beaucoup apprécié ce projet : « je trouve que pour un premier projet de spécialisation c’est très intéressant et pertinentIl est à la fois accessible mais il nous challenge beaucoup également »

Maël Allé a hâte de commencer sa deuxième année de MSc Pro en septembre prochain est de réaliser de nouveaux projets dans sa spécialisation en IA et en Big Data. En attendant.. bonnes vacances !

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Deux étudiants d’Epitech Nice en stage dans l’écurie de Formula-E Venturi Racing à Monaco

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Billel Bouricha & Martin Vantalon (Promotion 2022 – Epitech Nice), ne sont pas deux étudiants ordinaires. Passionnés par le milieu automobile, ils ont intégré en mars dernier la célèbre écurie automobile de FIA Formula-E, ROKit Venturi Racing à Monaco. Dans le cadre de leur stage de troisième année, ils ont développé une application web permettant de rattacher l’ensemble de la base de données au simulateur.

 

C’est en décembre 2019 que nos deux étudiants azuréens rencontrent les équipes ROKit Venturi Racing, lors d’un « Talk », dans le cadre du Hub Innovation niçois. Très intéressés par ce milieu, nos deux jeunes se sont très rapidement rapprochés de Jean François Levere, Directeur Technique de l’écurie, pour travailler avec l’équipe technique et mettre à disposition leurs compétences informatiques.

 On nous a vraiment bien accueilli et accompagné techniquement. Nous nous sommes rapidement sentis intégré à cette équipe jeune (25-35 ans) et hyper dynamique

Intégrer le milieu de l’automobile : un vrai défi

L’équipe a été très accueillante et très pédagogue avec les deux étudiants d’Epitech : « On n’a jamais été traité comme des stagiaires, même par les pilotes, on a été intégré directement dans l’équipe en tant que Développeurs Juniors et dans les projets également » complète Billel Bouricha.

 

 

L’intégration dans le milieu automobile sportif n’a cependant pas été si facile pour nos deux élèves, avec le confinement. « On ne connaissait pas vraiment les termes techniques et nous n’avions jamais travaillé sur un simulateur, il a donc fallu les apprendre rapidement pour anticiper les demandes », nous remonte Billel Bouricha. Un défi technique que nos étudiants ont su relever pour aider les pilotes à performer.

Un outil qui sera très utile également durant le championnat

« Quand on nous a montré le projet, il n’y avait pas vraiment de spécificités techniques. On ne nous a pas non plus imposé un langage, donc on s’est rapidement dirigé vers quelque chose qu’on aimait faire et on s’est fait plaisir à monter un projet durant ces cinq mois de stage », raconte Martin Vantalon.

Cette interface graphique web, montée par nos deux jeunes azuréens, permet à l’écurie ROKit Venturi Racing de pouvoir centraliser toutes les données. Elle permet aux équipes comme aux pilotes d’améliorer leur temps, leur trajectoire sur une course et d’appréhender mieux les véhicules monoplaces, sur les circuits.

 

 

Le « crashtest » d’utilisation de l’application web a été réalisé le 3 août 2020, durant le championnat du Grand Prix Formula-E de Berlin. A cette occasion, nos deux étudiants ont dû assurer la mise en place de l’outil, à distance et en direct, ainsi que la récupération puis l’analyse des données sur circuit. A quelques jours des premières utilisations sur l’infrastructure automobile, le stress commence à monter dans l’écurie. « On sentait l’excitation du « rush » dû au championnat et toutes les équipes travaillaient dans les locaux, sans compter ses heures , nous remonte Billel Bouricha. « C’était un peu stressant mais globalement on était prêt et on a su apprécier ce moment inoubliable » ajoute Martin Vantalon.

On a été invité par toute l’équipe pour voir nos pilotes courir en session de tests. C’était une expérience exceptionnelle où l’on a pu voir toute l’organisation d’une écurie en situation pendant une séance de circuit. Cette ambiance équipe, plus course, c’était magique ! raconte Billel Bouricha

Nos étudiants niçois garderont un merveilleux souvenir de cette expérience. Invités par les équipes, ils ont pu vivre, de l’intérieur, une simulation de course lors des essais au Circuit d’Ales à Saint-Martin-de-Valgalgues. Tous deux espèrent pouvoir continuer à évoluer dans ce secteur et pourquoi pas intégrer, à nouveau, les équipes de ROKit Venturi Racing .

 

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Portrait de Lily-Alice Ward, accompagnatrice pédagogique à Epitech Toulouse

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Lily-Alice a terminé son cursus PGE (Programme Grande École) en 2020 à Epitech Toulouse, et a intégré en mars dernier l’équipe pédagogique en tant qu’accompagnatrice pédagogique. Elle nous raconte son parcours à Epitech, sa passion pour l’informatique, et son désir de « rendre à l’école ce qu’elle lui a donné ».

Pourquoi as-tu décidé de faire de l’informatique ?

Je voulais intégrer un secteur en pleine expansion et qui touche beaucoup de domaines. Je viens d’un bac littéraire, donc la tech n’était pas forcément sur mon parcours de base mais je savais que je voulais faire de l’informatique. Mon objectif était d’avoir des bases techniques pour ensuite développer mes compétences dans de la gestion de projet et surtout dans le secteur de l’innovation. J’avais vraiment envie de travailler au-delà de la tech mais avoir les bases solides pour maîtriser mon sujet. 

Pourquoi as-tu choisi Epitech ?

C’est l’école qui me plaisait le plus lors des salons ou des Journées Portes Ouvertes que j’avais fait au lycée. J’avais vraiment eu toutes les réponses à mes questions à chaque fois et la notoriété de l’école me rassurait aussi beaucoup. Le cursus en 5 ans qu’Epitech propose m’attirait énormément.

Le fait de me plonger littéralement dans la tech pure et dure, dans le code notamment dès la première année, et puis ensuite d’aller plus vers de l’idéation de projet, de la création et découvrir le côté gestion et entrepreneuriat était vraiment ce que je recherchais : des bases solides et apprendre la gestion de projet.

Je me suis rendu compte de la capacité que nous avons, grâce à cette pédagogie, de nous adapter et d’apprendre rapidement

La quatrième année était aussi un argument fort pour moi. Je suis allée à Budapest où j’ai vécu l’expérience de ma vie ! Cette année était fun et tellement enrichissante ! J’ai découvert 12 pays différents de l’Europe de l’Est, les cours étaient hyper intéressants et le rythme me permettait de voyager. J’étais entourée de camarades du monde entier, j’ai fait de très belles rencontres et ça m’a permis de prendre vraiment confiance en moi tant du côté tech que du côté personnel. Je me suis rendu compte de tout ce que j’avais appris ces trois dernières années à Epitech et surtout la capacité que nous avons, grâce à cette pédagogie, de nous adapter et d’apprendre rapidement.

Enfin en cinquième année, je suis restée à Toulouse, j’ai développé mes compétences en Game design grâce à la finalisation de notre EIP Mind Depths et j’ai pu faire mon part-time chez Umlaut en tant que Project Management Officer où je me suis vraiment épanouie dans la gestion de projet. 

Pourquoi as-tu décidé d’être Accompagnatrice pédagogique à Epitech ?

J’ai voulu tenter une nouvelle expérience car je n’avais jamais été AER, je n’avais jamais encadré des étudiants et j’avais aussi envie de rendre à l’école ce qu’elle m’a appris durant ces cinq années.

J’ai envie de transmettre mes connaissances aux étudiants, les accompagner dans leur cursus et les ouvrir un maximum au monde !

Je veux aussi et notamment à travers le Hub Innovation, mettre en place des projets innovants et je compte bien faire vivre encore plus fort le Hub à Epitech Toulouse ! C’est pour moi le cœur de l’école, qui permet d’aller au-delà du cursus initial. Il permet de découvrir, d’affiner ses choix et ses sensibilités tech. En troisième année j’étais très investie dans le Hub, à travers notamment le Focus Groupe Mobile et également l’association E-mma où j’ai pu promouvoir la mixité dans le domaine de l’informatique qui pour moi était très important.

En parlant de mixité, est-ce difficile en tant que femme de réussir dans la Tech ?

Grâce à mes stages tout au long de mon cursus, j’ai pu m’affirmer et prendre confiance en moi et notamment en tant que femme dans la tech. En aucun cas le genre, le sexe ne définit le domaine de compétences et c’est important de le dire ! Lors de mon investissement pour l’association E-mma, je me suis sentie moins seule, ensemble nous avons pu promouvoir la mixité, tenter d’ouvrir ce monde-là aux jeunes filles. De plus en plus de femmes font de l’informatique dans le monde entier mais nous avons encore un gros travail et un long chemin à faire en France pour que les femmes aillent dans la tech et se sentent libres de le faire.

Un conseil pour les curieux et curieuses ?

Se lancer sans hésiter ! Et les filles : plus on sera, mieux ce sera !

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