Dans la nuit du 21 mars s'est tenue la deuxième édition du Steria Hacking Challenge, le concours de hacking éthique. C'est l'équipe Epitech, « Crêpes au jambon », composée de Lucas Philippe, Marc-Etienne Barrut (tous deux promo 2016 à Epitech Lyon), Victor Olivieri (promo 2017 à Lyon), Charles Alexis Vangysel et Antoine Kepeklian (tous deux promo 2016 à Epitech Paris), qui s'est brillamment illustrée devant 33 autres équipes représentant 16 écoles.

D'autres étudiants, qui n'ont pas démérité, étaient dans d'autres équipes. D'Epitech Rennes, Alexis Bertholom (promo 2018), Manon Hubert, Marc Le Labourier et Julien Thébaut (tous les trois promo 2017), Thomas Fontaine, Joran Hervé et Kévin Platel (tous trois promo 2016) ont fait le déplacement. De Toulouse sont venus Daniel Mercier, Kévin Soules, tous deux promo 2017, ainsi que Quentin Roland-Gosselin de la promo 2016.

Un concours inter-écoles réservé aux étudiants spécialisés en sécurité informatique

Le principe de ce challenge est le suivant : durant toute une nuit, des équipes d'étudiants, composées des futurs cracks de la sécurité IT, concourent lors d'un Capture The Flag (CTF) pour résoudre les épreuves en lien avec les grands domaines de la cyber-sécurité - cryptographie, cracking, forensic, stéganographie et web (*).

L'objectif est d'exploiter toutes leurs connaissances et compétences autour des enjeux de la cyber-sécurité et de la cyber-défense pour déjouer les systèmes, décrypter les indices cachés dans les épreuves et remporter le maximum de points.

Une nuit pour être le meilleur

Dès 18h30, le directeur général de Stéria a accueilli les 170 étudiants, expliqué le déroulé du challenge et les règles du jeu : les festivités ont pu alors débuter.
A 22h, chacune des équipes s'est installée dans la salle qui lui était réservée au sein du Green Office : à  chaque équipe son espace. A 22h30, le CTF a été lancé : c'était parti pour une nuit de challenges !

Les équipes ont enchaîné les épreuves et tenté de résoudre le maximum de challenges, le tout sous l'œil attentif des experts Sécurité dont Pierre Alexandre Louyot, Tech'mentor de l'Epitech Innovation Hub / Digital Security.

6h30 : gong de fin, le CTF est terminé, les PC sont éteints, le jour se lève, tous les étudiants ont rendez-vous pour un petit-déjeuner bien mérité.
7h : remise des prix et un constat : l'équipe Epitech « Crêpes au jambon » a réussi la recette du succès.

Un challenge qui s'inscrit au cœur des problématiques de la cyber-sécurité

Le hacking éthique consiste à aider les entreprises ou organisations à prendre des mesures préventives contre les attaques malveillantes en attaquant le système lui-même, tout en s'engageant à ne pas mener d'actions destructives et à respecter les limites légales.
Les métiers qui lui sont associés sont les suivants : consultants SSI, auditeurs technique, auditeurs tests d'intrusion.

Quelques mots clé de la cyber-sécurité

• cryptographie n.f. : discipline de la cryptologie s'attachant à protéger des messages en s'aidant de secrets ou clés.
• cracking n.m. : art de casser les protections d'un programme qui se veut sûr.
• forensics n.f. : technique permettant de retrouver et prouver les agissements d'un pirate en reconstituant la scène du crime.
• stéganographie n.f. : consiste à faire passer inaperçu un message dans un support audio-visuel inintelligiblement à autre que qui-de-droit.
• social engineering n.f. : forme d'acquisition d'informations, pour obtenir d'autrui, un bien, un service ou des infos clefs.

Space Oddity a pour objectif de sensibiliser la population à la pollution gazeuse et lumineuse, sujet particulièrement sensible dans la zone du Pic du Midi de Bigorre qui a acquis le statut de RICE (Réserve Internationale de Ciel Etoilé)* en décembre dernier.

Le projet fédère trois grandes écoles françaises de domaines différents : l'école de commerce de Toulouse (Toulouse Business School), l'Institut Supérieur de l'Aéronautique et de l'Espace (l'ISAE - i.e. la fusion entre ENSICA et Sup'Aéro) et Epitech. L'équipe comprend une vingtaine d'étudiants dont Cyril ANDRE (promo 2016 et responsable de l'Epitech Innovation Hub à Epitech Toulouse) et Aloïs MASANEL (JAPE). Arnaud SOURIOUX, le Directeur pédagogique adjoint d'Epitech Toulouse fait également partie de l'aventure.

Une étude unique qui suscite l'intérêt des grands acteurs de l'aérospatial

Concrètement, l'équipe de Space Oddity va lancer un ballon sonde au Pic du Midi pour obtenir des clichés aériens scientifiquement exploitables de la pollution lumineuse subi par ce site « classé ».

Ces photos seront ensuite utilisées comme témoin mais également traitées par des élèves en deuxième année à l'ISAE afin de valider et de développer un modèle théorique permettant de calculer automatiquement la pollution lumineuse subie par une zone.
Ce projet recueille un vif intérêt auprès de nombreuses organisations dont les grandes agences spatiales (ESA, CNES et NASA) et est soutenu par les grands acteurs de l'écosystème**.
Il a déjà remporté deux concours, en reconnaissance de son utilité et de son potentiel - les 7è Assises Nationales Etudiantes du Développement Durable et le concours « Jeunes Entrepreneurs Delta » organisé par la Fédération des Associations de TBS.

Un projet qui vise le partage et la découverte  

L'équipe Space Oddity  intervient tout au long de l'année dans les établissements scolaires toulousains en coordination avec les enseignants (une école primaire, un collège et un lycée) et organise une journée pour 20 enfants de la Croix-Rouge à la Cité de l'Espace.
Elle participera également à différents forums dont les 8è Assises Nationales Etudiantes du Développement Durable qui auront lieu le 3 avril à Toulouse.
Le 15 mai se tiendra à la Cité de l'Espace une conférence exposant les premiers résultats de Space Oddity, suivie d'une intervention sur la thématique de la pollution lumineuse et de la récente labellisation du Pic.

La page Facebook, c'est ici et la campagne de crowdfounding, c'est là : www.kisskissbankbank.com/fr/projects/space-oddity-2-0




*Ce label signifie que la zone concernée (3 000 km²) bénéficiera d'une qualité privilégiée et d'un environnement nocturne préservé par la vigilance des communes alentours en matière d'éclairage nocturne.

** M. Michel BONAVITACOLA : ingénieur chez Airbus et co-fondateur de Dark Sky Lab, membre de la commission Exploration de l'espace de l'Association Aéronautique et Astronautique de France (3AF) et responsable du groupe de travail Observation de la Terre de nuit ,
M. Sébastien VAUCLAIR : gérant de Cosmodiff (La Clef des Etoiles) et co-fondateur et gérant de Dark Sky Lab, vice-président de PIRENE, association à l'origine du projet de Réserve International de Ciel Etoilé,
M. Gonzague BOSCH : dirigeant de l'entreprise Tenum, spécialisée dans la construction des systèmes de transmission d'informations (utilisés notamment dans les ballons sondes).

Le 13 février s'est tenu le premier Forum Entreprises du campus urbain du Groupe IONIS Bordeaux Jardin Public, qui regroupe les écoles ISEG Business & Finance School, ISEG Marketing & Communication School, Epitech et E-Artsup.
Toute la journée, les étudiants ont pu rencontrer en face à face les professionnels venus proposer des offres de stages dans les domaines de la gestion ou de la finance, du marketing, de la communication, du webdesign, de l'infographie, de l'informatique...

Près d'une quarantaine d'entreprises ont répondu à l'invitation,  internationales (Unilever, Pernod Entreprise, Grand Vision, Softmobiles, ConcoursMania, Sogeti...) comme nationales (ST JOHN'S, Azendoo, Casino Barrière, TBWA\COMPACT...) et régionales (CCSO, CIC Sud-Ouest, La Caravelle).

Les réseaux mis en avant

Les participants ont pu bénéficier de conseils personnalisés grâce au Pôle OPEN ADVICES du Forum réunissant des professionnels du recrutement tels que Manpower et l'APEC. Des conseils qui sont très utiles quand il s'agit de savoir rédiger un CV et une lettre de motivation, de connaître les méthodologies de recherche etc...
La structure ActifRéso était également sur place afin de sensibiliser les étudiants à l'importance du réseau comme vecteur d'insertion professionnelle.
IF Coaching, après une simulation d'entretien d'embauche, a expliqué aux étudiants les bonnes pratiques à appliquer pour réussir un rendez-vous. Le pôle E-Réputation du forum s'est chargé de leur donner recommandations et conseils quant à la gestion et la mise à jour de leur e-réputation via leurs comptes Twitter, LinkedIn, Viadeo et autres.

À la suite de ce Forum Entreprises, de nombreuses sociétés ont déjà recruté leurs futurs stagiaires. C'est le cas, par exemple, de ConcoursMania, Azendoo et Hora concept qui ont recruté plusieurs étudiants Epitech, promo 2016. Conventions validées, ils débutent leur stage cet été.

Pour résumer, ce Forum Entreprises IONIS Education Group Bordeaux est une première édition réussie, ce ne sera sans doute pas la dernière.

Le 6 février, Airbus a inauguré son ProtoSpace, son nouvel outil maison dédié à l'innovation. Le leader mondial de la construction aéronautique prolonge ainsi la démarche enclenchée avec les équipes Innovation d'Airbus, avec lesquelles Epitech collabore depuis 2011.

Camille Mirey (Epitech promo 2007), tech'mentor du domaine Virtuality de l'Epitech Innovation Hub, Michaël Ohayon (promo 2016) et Jérémie Amsellem  (promo 2017) - membres de l'Innovation Hub / Embedded - ont proposé plusieurs démonstrations à l'occasion de cette inauguration.
Celles-ci étaient centrées sur des nouvelles Interfaces Homme Machine (IHM), en montrant certaines utilisations possibles des Google Glass, de l'Oculus Rift ou du périphérique Leap Motion.

Le ProtoSpace fait partie du département Emerging Technologies & Concepts (ETC) dont « la mission est d'identifier les technologies, les concepts émergents et de regarder ce qui peut s'appliquer à l'aéronautique », pour reprendre les termes d'Alain Fontaine, Vice-Président, responsable Airbus ETC pour la France. Pour préciser, il ajoute que le Protospace en constitue le « fab'lab » : « un endroit qui a vocation à cristalliser des idées, des concepts. Un lieu pour que des gens qui ont des projets, qui imaginent des solutions puissent venir et les réaliser et en même temps, se confronter à d'autres personnes, d'autres univers, voilà notre objectif. »

L'adaptabilité reconnue de nos étudiants

Alain Fontaine connaît très bien Epitech puisqu'il est membre de son Conseil de Perfectionnement : « c'est une école qui est très pratique et qui possède un regard pertinent sur ce qui se fait dans le domaine de l'innovation informatique (...). Ils nous ont montré des technologies en train d'émerger et surtout, nous en ont présenté des utilisations possibles, ce qui est très intéressant. »

Alain Fontaine connaît aussi toute l'adaptabilité de nos étudiants dans un cadre professionnel de haut niveau car il a déjà côtoyé plusieurs stagiaires dans son service, notamment Nicolas Aubry (Epitech Toulouse, promo 2014) qui y effectue actuellement son stage : « à titre personnel, je suis persuadé que les personnes formées par Epitech ont un niveau d'employabilité à la sortie de l'école qui est très élevé. »

Epitech Marseille a organisé le 18 février la troisième édition de son Forum Entreprises, visant à mettre en relation étudiants et entreprises dans une démarche de recherche de stages.
Sur la région marseillaise, le nombre d'entreprises du secteur IT s'accroît édition après édition et cette année, trente-six d'entre elles avaient répondu à l'invitation. Le panel de sociétés était donc suffisamment vaste pour faire découvrir aux étudiants le plus large panorama des différents secteurs du marché : SSII, éditeurs logiciel, e-commerce et embarqué.

Un futur sur-mesure

Chaque étudiant, sur la centaine de présents, a pu profiter d'offres de stages en lien avec son projet d'insertion professionnelle. De nombreuses propositions  se sont échangées et 25 conventions de stage ont d'ores et déjà été signées. Et ce n'est qu'un début car beaucoup d'autres sont en train de se conclure.

Epitech remercie les  entreprises partenaires ayant fait le déplacement cette année pour rencontrer nos étudiants : AIRBUS HELICOPTERS,  GEMALTO, CREDIT AGRICOLE ALPES PROVENCE, AMESYS-BULL , HIGHCO, MONEXT,  SMARDTV, DIGITICK, WYPLAY, INFOTEL,  RIGHT PLACE GROUPE SCALA, CITYWAY, INDEX EDUCATION, SELEXENS, PMSM (GROUPE ADECCO), MEDIAHUB;,NUMVISION, PHILAE ILLOCOPESTRA , BOUCHES DU RHONE TOURISME ,TVT INNOVATION (RESEAU 43.117), L'AGENCE TELECOM, MY MARSEILLE, VOXINZEBOX, ADDIXWARE, ALVECOM, EUREKA / OKARGO, NET-REVIEWS SAS, MAIRIE DE LOURMARIN, PROVENCE GESTION, CRAZYLOG / ENNOVIA, MONAPP, JOLIMIX 2S COMPUTING, DPT.

Cinq étudiants d'Epitech Nancy, accompagnés de Steven Martins et  Loïc Tosser, respectivement responsable pédagogique et Ancien de l'école ont remporté le hackathon organisé vendredi 28 février à Nancy.

Le thème de cet hackathon était orienté développement durable, éco-mobilité et qualité de vie. Une dizaine d'équipes se sont affrontées dans la bonne humeur, concentrées pour finir dans les temps et présenter leurs projets dans les délais (de 8:00 à 20:00 pour cette édition).
 
Le vélo c'est écolo

Pierre-Alain Simon et Fabien Casters (tous deux promo 2016) ; Yannis Berrouag, Alexis Gahon et Pierrick Libert (tous trois promo 2014) ont remporté avec leurs aînés les suffrages du jury, composé de professionnels de l'industrie et de l'enseignement supérieur, grâce à NCYcle. NCYcle est une appli mobile qui se présente comme un outil eco-friendly pour faciliter et encourager les déplacements en vélo. Elle sera disponible sur Android et iOS.

Comme les autres équipes qui concouraient conformément au « cahier des charges », NCYcle mixe openstreetmap et opendata, via les portails du Grand Nancy et du gouvernement dédiés aux données ouvertes.

Ce challenge d'une journée a eu lieu à La Source, la salle de l'agglomération dédiée au numérique et qui sert également de relais à la candidature du Sillon lorrain à la French Tech - le Sillon lorrain regroupant les villes d'Epinal, Metz, Nancy et Thionville.

En attendant le prochain hackathon du Sillon lorrain qui se jouera, lui, sur 2 jours, nos vainqueurs ont gagné 1500€ offerts par ERDF.

Le 15 février s'est tenu le premier Forum Entreprises du Campus IONIS Education Group, qui regroupe, à Strasbourg, Epitech et l'ISEG Group.
Nos étudiants ont pu rencontrer les professionnels venus représenter une quarantaine d'entreprises, de Steria à Fysiki ou Cap Gemini, Solution Internet, Actimage, Altran, Astek et bien d'autres encore. Un large choix des métiers possibles dans le secteur IT leur était ainsi proposé. Du logiciel à la sécurité informatique, du développement web au développement mobile, nos futurs experts de l'innovation informatique ont pu obtenir les réponses à leurs questions, et trouver le chemin de leur stage.

Immersion dans le réel

Chaque étudiant sur la centaine de présents a pu profiter d'offres en lien avec son projet d'insertion professionnelle. À la fin de ce Forum Entreprises, de nombreuses entreprises ont déjà recruté leurs étudiants. Ils débuteront leur stage cet été.

Alsace Digitale a organisé le week-end dernier à Strasbourg, le premier hackathon dédié à l'innovation numérique appliquée au domaine de la santé. Parmi 200 participants et 45 professionnels réunis pour ce DigitalHealthCamp, 5 étudiants d'Epitech se sont distingués. Répartis entre deux équipes, ils ont été récompensés par le jury à l'issue de ce marathon techno, dimanche 30 mars.

Armand Dupuis (promo 2017) a contribué activement à la victoire de son équipe pour le Prix de la meilleure innovation grâce au projet iJama (pyjama connecté pour analyser les troubles du sommeil).

Arnaud Schildknecht et Louis Brunner (tous deux promo 2016), David Henner et Emrah Yilmaz (tous deux promo 2017) ont remporté avec leur équipe le Prix de la Meilleure application clinique ainsi que le Prix Wellfundr grâce à Flashmed (gestion des risques liés à l'automédication).

Strasbourg est smart

Strasbourg et l'Alsace sont une région très versée dans l'e-santé, un secteur en pleine ébullition digitale - un Français sur deux utilise Internet pour rechercher des informations santé, par exemple.
Un secteur qui se développe à grande vitesse et qui devient, en termes de qualité de vie et de service à la personne, un des paramètres de définition de ce qu'est une smart city.

ITrust, société toulousaine experte en sécurité informatique et Epitech, l'école de l'innovation et de l'expertise informatique de Toulouse, organisent le 10 avril prochain la première édition de Cyber@Hack (Cyber « at » Hack).
L'objectif de cette journée est de sensibiliser le grand public aux enjeux de la sécurité informatique.

Cybersécurité : un sujet au cœur de l'actualité

« La cybercriminalité se développe tellement vite ces dernières années, ces derniers mois, qu'il nous apparaissait primordial de sensibiliser le plus grand nombre de personnes et d'entreprises aux enjeux de la sécurité informatique ». C'est en ces termes que Jean Nicolas Piotrowski, PDG d'ITrust explique la raison d'être de l'évènement.
Selon une étude du Cenzic, 75% d'entreprises ont été piratées au cours des deux dernières années. « Ce taux atteint les 90% selon nos tests d'intrusion chez nos clients » ajoute l'entrepreneur toulousain.

Une journée pour s'informer et s'entraîner

Cette journée Cyber@Hack est l'occasion d'appréhender la sécurité informatique de manière concrète et pédagogique, en présence d'experts du secteur.

Les intervenants des conférences seront :
-    Stéphanie Buscayret, responsable sécurité de Latécoère,
-    Hervé Shauer, PDG du cabinet HSC,
-    Julien Lavesque,  directeur technique de ITrust,
-    Benjamin Benifei et Nissa Jazottes, spécialistes juridiques en sécurité des systèmes d'information,
-    Alan Zaccardelle, expert sécurité d'Airbus,
-    Pierre Calais, DG de Cassidian-Arkoon Netasq,
-    Jean Pierre Nicolas Piotrowski, PDG fondateur de d'ITrust.

Au cours de leurs interventions, ils répondront aux grandes questions du moment : qu'est-ce que la cybersécurité ?, qu'est-ce que le cyberhacking ?, comment s'en protéger ?, quelles sont conséquences des révélations d'Edward Snowden pour les entreprises et leur business ?, quels sont les recours juridiques ?, entre autres.

Faire-savoir et savoir-faire

La journée s'achèvera avec un concours "Capture The Flag" (CTF) qui opposera des équipes professionnelles, des étudiants et des amateurs. Ce CTF a été conçu par Daniel Mercier et Kevin Soulès, tous deux promo 2017 d'Epitech ainsi que par Quentin Roland-Gosselin et Quentin Poirier (tous deux promo 2016) auquel participeront Amaury Ravanel, Joan Brugaya, Zadkiel Aslafy-Aharonian, Louise Soreda et Valentin Pezon, tous promo 2018.

Pour participer au concours ou assister aux conférences : inscription gratuite, mais obligatoire sur http://www.itrust.fr/newsletter/Invitation10Avril.html

Epitech et Studyka (*) lancent en co-création Hack4France, le premier challenge d'Innovation en ligne dédié aux start-ups françaises.

Un challenge au cœur de l'éco-système de l'innovation

L'innovation est un sujet clé de l'économie française, en particulier du secteur du numérique. Pour répondre à cette réalité, les principaux acteurs sont mobilisés pour faire de ce premier Hack4France une réussite. Les starts-ups les plus performantes (Aldebaran, Deezer, Jaccede, Netatmo, Sculpteo, Ubudu...), les développeurs et les grands comptes sont réunis pour atteindre cet objectif et Epitech, école de l'innovation et de l'expertise informatique, est au cœur du dispositif.

Un challenge innovant dans sa conception

Hack4France se déroule on line et sur 4 mois, ce qui est  une durée exceptionnelle vs les 48 heures habituelles des hackathons.

Il est construit en 3 étapes :

un concours de start-ups : il a eu lieu entre le 31 mars et le 6 avril pour sélectionner les dix plus prometteuses. Celles-ci vont mettre leur API à la disposition d'une très vaste communauté de développeurs qui devront en tirer les applis les plus innovantes.

un hackhaton en ligne : à partir du 21 avril, la seconde étape de Hack4France démarrera.
Ce concours de taille XL s'adresse à des milliers de développeurs en plus de tous les étudiants d'Epitech. En effet,  OpenClassRooms, également partenaire de ce challenge national, rassemble une communauté participative de 600 000 développeurs.

Une remise des prix, en deux temps forts : les 19 et 20 juin.
-    Une démonstration des différents prototypes dans les locaux d'Epitech au Kremlin-Bicêtre.
-    Une soirée, dans le cadre de la FrenchTech, où les gagnants  seront récompensés au ministère de l'Economie et des Finances à Bercy.

Pour désigner les gagnants, le jury sera composé de la fine fleur de l'écosystème français (Bouygues Telecom, Fabernovel, MyFrenchStartup, TheFamily, Webshell)

Pour tout savoir et surtout pour vous inscrire : http://www.hack4france.fr/


(*) : Studyka est LA plateforme de challenges étudiants en ligne. Elle propose des hackathons techno, mais également business, design etc... Studyka dispose de 1600 partenariats à travers le monde des écoles.

ITrust, société toulousaine experte en sécurité informatique et Epitech, l'école de l'innovation et de l'expertise informatique de Toulouse, organisent le 10 avril prochain la première édition de Cyber@Hack (Cyber « at » Hack).
L'objectif de cette journée est de sensibiliser le grand public aux enjeux de la sécurité informatique.

Cybersécurité : un sujet au cœur de l'actualité

« La cybercriminalité se développe tellement vite ces dernières années, ces derniers mois, qu'il nous apparaissait primordial de sensibiliser le plus grand nombre de personnes et d'entreprises aux enjeux de la sécurité informatique ». C'est en ces termes que Jean Nicolas Piotrowski, PDG d'ITrust explique la raison d'être de l'évènement.
Selon une étude du Cenzic, 75% d'entreprises ont été piratées au cours des deux dernières années. « Ce taux atteint les 90% selon nos tests d'intrusion chez nos clients » ajoute l'entrepreneur toulousain.

Une journée pour s'informer et s'entraîner

Cette journée Cyber@Hack est l'occasion d'appréhender la sécurité informatique de manière concrète et pédagogique, en présence d'experts du secteur.

Les intervenants des conférences seront :
-    Stéphanie Buscayret, responsable sécurité de Latécoère,
-    Hervé Shauer, PDG du cabinet HSC,
-    Julien Lavesque,  directeur technique de ITrust,
-    Benjamin Benifei et Nissa Jazottes, spécialistes juridiques en sécurité des systèmes d'information,
-    Alan Zaccardelle, expert sécurité d'Airbus,
-    Pierre Calais, DG de Cassidian-Arkoon Netasq,
-    Jean Pierre Nicolas Piotrowski, PDG fondateur de d'ITrust.

Au cours de leurs interventions, ils répondront aux grandes questions du moment : qu'est-ce que la cybersécurité ?, qu'est-ce que le cyberhacking ?, comment s'en protéger ?, quelles sont conséquences des révélations d'Edward Snowden pour les entreprises et leur business ?, quels sont les recours juridiques ?, entre autres.

Faire-savoir et savoir-faire

La journée s'achèvera avec un concours "Capture The Flag" (CTF) qui opposera des équipes professionnelles, des étudiants et des amateurs. Ce CTF a été conçu par Daniel Mercier et Kevin Soulès, tous deux promo 2017 d'Epitech ainsi que par Quentin Roland-Gosselin et Quentin Poirier (tous deux promo 2016) auquel participeront Amaury Ravanel, Joan Brugaya, Zadkiel Aslafy-Aharonian, Louise Soreda et Valentin Pezon, tous promo 2018.

Pour participer au concours ou assister aux conférences : inscription gratuite, mais obligatoire sur http://www.itrust.fr/newsletter/Invitation10Avril.html

Epitech Nancy vient d'accueillir un hackathon pas comme les autres : le Startup Weekend. Cet événement, décliné ville par ville partout dans le monde, crée les conditions pour trouver une (bonne) idée de start-up et la développer dans toutes ses dimensions. Nos étudiants s'y sont illustrés.

Un week end, des start-up

S'il existait la recette de l'idée géniale qui transforme les porteurs de projets en stars de l'écosystème entrepreneurial, on le saurait. D'où les Startup Weekend : les participants se rassemblent le vendredi et 'pitchent' leurs projets. Puis l'assemblée vote pour désigner les meilleures idées. Une fois celles-ci sélectionnées, les équipes se forment pour les développer pendant tout le week-end.

Dimanche, dernier jour de sprint

Le dimanche après-midi, les équipes doivent alors présenter leurs prototypes devant le jury.
C'est dans ce type de moments que les profils « tech » en viennent à comprendre qu'un projet sans optique business ni réflexion design, a peu de chances de gagner.

Usecase

Selon Franck Petriz, Epitech promo 2017 et membre de l'équipe Lictif, cette expérience Startup Weekend est « extrêmement enrichissante, car on n'a pas l'habitude de réfléchir à la démarche marketing. On découvre d'autres visions des problématiques ». Sur ce Startup Weekend, Franck et ses trois autres compères de l'école - Claire Famelart (promo 2014), Théau Magnolini (promo 2017) et Thomas Hug (promo 2018) - se sont associés avec Bertrand Gasnier, orienté marketing et Emeline Gaube, spécialisée design et communication.

Coup de cœur

Cette équipe, Lictif, projet de plate-forme d'édition et de lecture de livres-jeux, a gagné le prix le « Coup de Cœur » du jury. Ce prix leur permet de profiter d'une journée de « coaching business » offerte par Paypal et de 6 mois de commissions (de transaction).

La règle et l'exception

Pour qu'une règle existe, il lui faut une exception : l'équipe Wassup ? a gagné le deuxième prix et elle était composée uniquement d'étudiants de l'école. Ses cinq membres - Alexis Gahon, Florent Bennani, Hugo Meloni, Pierrick Libert, Yannis Berrouag -  sont tous de la promo 2014.
Arrivés en fin de cursus, ils sont la preuve avec cette médaille d'argent, que l'ouverture aux dimensions business, design et « user experience » alimentée par les Epitech Innovative Projects est une étape indispensable du cursus de l'école.

Tsunamail est un nouveau service de messagerie issu d'une mobilisation générale des deuxième année d'Epitech Montpellier au cours d'un rush, un des grands moments de l'école. Tous ensemble, ils veulent améliorer l'existant en revitalisant une techno disparue sous son nom propre mais dont l'esprit est bien vivant dans les Google apps orientées messagerie, chat et social.

What's a rush ?

Le rush est un examen trimestriel qui donne aux étudiants deux jours pour réaliser un prototype logiciel. Cette fois-ci et au vu du challenge qu'ils se sont eux-mêmes donné, les 45 élèves en « tek 2 » d'Epitech Montpellier se sont regroupés pour ensuite se partager le travail. Et quel travail : produire en 48 heures une application web de messagerie, ce qu'on appelle techniquement un « client Mail », en renouvelant une forme que l'on avait déjà vue mais disparue.

What a rush !

Malgré leur jeunesse, les étudiants d'Epitech Montpellier se rappellent avec nostalgie de Wave que Google a supprimée de son offre. C'est pourquoi ils sont repartis de ce concept pour créer Tsunamail. Avec cette nouvelle messagerie personnalisable, la présentation des flux sur  sa boîte e-mail se lit non plus comme d'habitude, en fonction de ses correspondants, mais selon ses objets de discussion. Quand vous cliquez sur un fil de discussion, tout l'historique de cette même conversation s'affiche.  Et sur ce fil, l'enchaînement des emails se fait de façon claire, « en escalier », façon sms ou Facebook.

Le sens de la vitesse

Dans un fil de discussion Tsunamail, les fichiers joints, images, videos, tous les types de fichiers se retrouvent directement intégrés dans le corps du message. Ce choix est parfaitement logique quand on considère les nouveaux besoins liés à la mobilité et ce que Tsunamail représente en termes de gain de clics et donc de temps. Sur une action, c'est peu ; sur une utilisation quotidienne, cela fait beaucoup moins de temps perdu (cf. les problèmes récurrents de connexion notamment...).

Un océan de louanges

On comprend vite tout l'intérêt d'un tel outil. D'ailleurs quand Fleur Pellerin, alors ministre déléguée chargée des PME, de l'Innovation et de l'Economie numérique, se retrouve contactée par l'équipe com' de Tsunamail lors du rush sur Twitter, elle supporte l'initiative avec enthousiasme.. On comprend mieux  le jeu de mots de nos deuxième année pour indiquer leur volonté de faire encore plus fort qu'une vague (wave) : un tsunami. « Digital natives » sans complexe, ils font fructifier leur sens des nouveaux usages.

Le droit de faire

Epitech, avec sa pédagogie favorisant toujours la prise d'initiative sait que ses étudiants la prennent au mot. Le zéro donné au groupe pour son rush parce que ne correspondant pas au sujet n'a pas empêché l'équipe encadrante de les féliciter chaudement. Et de faire incuber le suivi du projet Tsunamail via l'Epitech Innovation Hub. On attend sa sortie beta à la fin de l'année.

Les 17 et 18 mai prochains, Epitech sera présente à la deuxième édition du festival Geekopolis, le festival des cultures de l'imaginaire, porte de Versailles à Paris. L'école y tiendra un stand de démonstrations étonnantes et variées pendant les 48 heures de cette deuxième édition.

Bienvenue au pays de l'imaginaire Geek

Avec ses cinq quartiers représentant chacun un univers, Geekopolis est une véritable ville dédiée à la culture Geek dans toutes ses facettes. On peut y croiser des elfes, des supers-héros, des mecha japonais, des vapo-machines rétro-futures, des scientifiques illustrant leurs dernières découvertes et tant d'autres créatures.

Les « citoyens » de Geekopolis peuvent profiter d'animations, d'expositions, de rencontres, de conférences ou de jeux liés à l'activité de chaque quartier. Pendant 2 jours, ils iront des rues de Little Tokyo mêlant modernisme et tradition japonaise, aux allées de Nautilus où la vapeur et l'esprit de Jules Verne revisitent notre histoire. Ils passeront par les chemins d'Avalon, par  le spatioport de Metropolis ou par les avenues du Teklab bordées de laboratoires scientifiques.

En 2013, cette ville a fait rêver plus de 9 000 personnes grâce aux 180 exposants et 500 intervenants venus partager leur art, leur expérience scientifique, leurs activités ludiques.

Sur le stand de l'école, drones, Google Glass, sabres laser façon Star Wars...

Grâce aux étudiants d'Epitech, membres de l'Innovation Hub de l'école ou du Game Dev Group, les visiteurs vont découvrir  les technologies à la pointe de l'innovation et de la réalité virtuelle.

Ils verront et approcheront les Google Glass de Google, mais aussi des drones, ces nouveaux « objets volants identifiés » aux usages multiples.

Dans un esprit plus ludique, le jeu Pod Panda sera mis en avant, tout comme une démonstration de sabres lasers virtuels à la Star Wars et une simulation de combats spatiaux avec le Kinect de Microsoft en support.

A cette occasion, Epitech a mobilisé une quinzaine d'étudiants de son site parisien.

Pour en savoir plus sur Geekopolis, rendez-vous ici : http://www.geekopolis.fr
Bon Geek End !

On connaît de mieux en mieux l'enjeu des dangers qui planent sur les différentes espèces d'abeilles. La disparition accélérée de colonies d'abeilles devient un sujet de préoccupation globale. L'activité de pollinisation de ces insectes est en effet essentielle pour préserver la biodiversité. Selon une étude du CNRS et de l'INRA, 35% de la production mondiale de nourriture est directement dépendante de l'activité de ces insectes...

Développer le développement durable

Attirés par ces problématiques, quatre étudiants promo 2016 d'Epitech Bordeaux (Max Chrétien, Charles-Edouard Vanet, Xavier Hermouet-Alunda, Pierre Quesnel) ont, dans le cadre de leur projet libre de troisième année, proposé une solution technologique : un Drone d'Assistance à l'Apiculture (DAA).
Invités à rejoindre le réseau aquitain focalisé sur cette question, Max, Charles-Edouard, Xavier et Pierre ont intégré OpenBeeLab et baptisé leur projet OpenBeeHive.

OpenBeeHive, kesako ?

OpenBeeHive est une solution open-source qui collecte en temps réel  les données de tous les apiculteurs intégrés au projet, six à ce jour. Le drone assure une surveillance complète d'une ruche, il est capable de détecter les variations de température, de bruit, d'humidité et de pression pour déceler les perturbations dangereuses pour la vie d'une colonie. Il se configure via une interface web. En cas d'alerte, le drone prévient l'apiculteur.

Science & Art

Ces enjeux autour de la pollinisation et de la vie de ces petites bêtes ne font pas qu'inquiéter les scientifiques. Artiste et apiculteur, membre du réseau OpenBee, Pierre Grangé-Praderas se passionne pour ce problème. Evangélisant sur le sujet, il a converti le musée d'art contemporain de Bordeaux (le CAPC) qui a ouvert son toit pour y installer deux ruches.

Un réseau européen

Un autre rucher OpenBee a été placé à Barcelone. De l'Espagne à la Finlande, les collaborateurs s'agrègent au réseau si bien que le projet européen Socientize a décidé de financer OpenBeeLab. Car tout cela coûte cher : l'installation des ruches au CAPC, où l'on pourra par ailleurs data-visualiser la surveillance effectuée par le drone, a coûté 15000 €.
Beaucoup moins cher que ce que couterait l'extinction totale des abeilles.

La piscine d'adaptation des troisième année spéciale vient de s'achever. Il s'agit de sept jours intenses, avec le premier lundi, la présentation du cadre et du challenge à relever. Le mercredi qui suit, premier point avec les encadrants pédagogiques d'Epitech sur les projets et les modifications éventuelles à y apporter. Le jeudi : suivi des projets. Le lundi d'après : soutenance.

En s'ouvrant avec Usbek & Rica

Usbek & Rica est un magazine et site web traitant du futur. Non pas le futur en mode « boule de cristal » mais l'avenir contenu dans les innovations actuelles. Usbek & Rica réfléchit à demain en partant d'aujourd'hui. Thierry Keller, son rédacteur en chef le souligne : « on est là pour rencontrer ceux qui sont dans les salles machine, ceux qui font l'innovation techno de demain. Ils parlent une autre langue que moi. Par exemple, je ne sais pas lire une ligne de code ».

En imaginant le media du futur

Le thème de cette semaine : imaginer ce que pourrait être un media dans 30 ans. Un media oui, mais toute la chaîne qui relie celui-ci à son utilisateur. Pour relever ce challenge, chacun des deux groupes d'étudiants  a attaqué la problématique aux deux bouts de cette chaîne.

En sortant de la technologie pure

Le premier projet, Mediavision, est un système de distribution de l'information. Les membres du groupe ont pensé aux murs du métro du futur. Transformés en projecteurs interactifs, ils sont capables de reconnaître l'usager via smartphone, Google Glass version 2044, bracelets connectés, reconnaissance faciale voire rétinienne. On garantit que l'information désirée arrive en temps réel. On garantit aussi à la régie des transports publics de demain, des revenus publicitaires conséquents.

En pensant à l'utilisateur

Le deuxième projet, Ornella, se base sur la demande du public à dépasser le rôle du journaliste. Le cœur du projet est de permettre à un lecteur de se projeter sur la scène qui l'intéresse, à distance, via un Oculus Rift qui permet de voir en 3D la réalité du terrain. Ornella pense aux drones ou aux satellites capables d'englober tous les terrains. Il envisage le journaliste comme celui qui « passe les images » vers l'utilisateur qui veut voir en vrai ce qu'il se passe.

En faisant

Comme le dit dans le tout dernier numéro d'Usbek & Rica (# 9) Alain Bublex, artiste contemporain : « Le futur, ce n'est pas ce qui sera, c'est ce qui pourrait être. Et c'est à nous de le faire ». Dans trente ans, Maura Rodriguez, Sarah Issaad, Tracy Ungudi, Alexandre Crettet, Anis Chaouche, Jean-Michel Lied-Lied et tous les autres de la promo 2016 auront l'âge de décider ce que sera le futur du futur.

(Jean-Michel, Maura, Anis, Alexandre, Tracy & Sarah)

En capitalisant

Alexandre Crettet par exemple, du projet Ornella, a son avis sur l'utilité de ce type de piscine : « cette piscine m'a apporté beaucoup au niveau de la gestion de groupe et de la découverte de nouvelles technologies. »
«  Nous avons compris qu'il n'était pas si difficile de faire de la réalité virtuelle même sans avoir de connaissances spécifiques dans ce domaine. »
« Et enfin, il nous a fallu être efficace afin de proposer un prototype fonctionnel en à peine 4 jours destinés à la formation puis au développement de celui-ci. »

Les 26 et 27 avril derniers, Epitech Bordeaux organisait la deuxième édition de « Viens tester ton skill », concours de création de jeux vidéo en 48 h ouvert à tous, développeurs débutants ou expérimentés.

De la feuille blanche au jeu finalisé en deux jours

Après une séance de travaux pratiques d'introduction le samedi matin, la vingtaine de participants (tant internes qu'externes à l'école) s'est lancée dans une nuit et un jour de développement intensif sur un thème onirique : les ombres et les lumières, le voyage dans le temps, l'enfer, les îles.

Encadrés et  jugés comme et par des pros

Encadrés par le Game Dev Group de Bordeaux (Léo Nadeau, Marc Wieser, Ludovic Alarcon et Frederic Tan, tous promo 2017), les gamers avaient un seul objectif : finir leurs projets avant l'heure fatidique de rendu.
Le jury était composé de Marc Tranchant (Supinfo Game, membre de l'association Flat 226 spécialisée dans le jeu vidéo à Bordeaux), Romain Uhel (responsable de l'association Mandora, organisatrice des salons Animasia à Bordeaux), Mathieu Voisin, Ornella Marchive et Théo Sbrissa, tous 3 directeurs d'Epitech Bordeaux.

Créativité et bonne humeur

Malgré la pression, l'ambiance est restée détendue et conviviale, avec de multiples parties multi-joueurs pour se détendre.
9 jeux ont été réalisés (certains en équipe) : Parabellum, Toto, Lost in the Dark, Light particles, Temp, Kaupy, Wlad, BE, Toto2.

3 prix ont été attribués à l'issue des délibérations :

Mention spéciale du jury pour « Be » réalisé par Yannick Jouneau (créateur de l'asso FLAT 226 et "pro" du jeu vidéo), un jeu de vaisseau sur un thème alliant lumière et monde souterrain, avec un gameplay cohérent et un style rétro.

Prix Epitech pour « Kaupy » de Styve Simonneau (Epitech Bordeaux, promo 2017), un jeu basé sur le lien entre la lumière et le son avec des patterns très recherchés, élu pour son sound design étonnant et son ambiance prenante.

Prix Coup de Coeur pour « Light Particles » de Jérémy Météreau (futur étudiant d'Epitech Bordeaux) un jeu très créatif basé sur un casse-tête, avec de nombreux niveaux augmentant en difficulté.

Rendez-vous en juin

En parlant de Game Jam, la première session jamais tenue à Bordeaux se déroulera dans les locaux de l'école les 20, 21 & 22 juin prochains. Ce sont Marc Tranchant et ses amis qui en sont les co-organisateurs. L'inscription se fait ici.

Vous avez été nombreux à venir visiter le salon Geekopolis, vous n'avez pas oublié le stand Epitech ni celui du Game Dev Group. C'est ici qu'étaient présentés les projets les plus aboutis de la dernière Game Jam organisée conjointement entre Epitech, e-art sup, Jam Shaker, Potion of Wit et Coin.

Des fruits, du sucre et du jus de cerveau

Cette Game Jam s'appelle La Grande Confiture de Jeux - du jeu video au de jeu de mots, on imagine que « confiture » est la traduction libre de « jam » en anglais...
Comme toutes les jams de création de jeux vidéo, elle se déroule sur 48 h. Elle réunit des équipes pluridisciplinaires qui rassemblent des développeurs, des graphistes, des game & sound designers. Autrement dit, toutes les compétences nécessaires pour fabriquer un prototype de jeu vidéo en deux jours.

Des rois, des reines et un disco king

Le thème imposé : « trône », d'où les rois, reines, royaumes et autres trônes dans des gameplays attachés au sujet de façon littérale. Ou pas, tels Disco King ou Trone of Paper dont les équipes ont interprété la thématique dans un sens plus figuré.

Plusieurs villes, plein de jeux

Les Parisiens ont participé mais pas qu'eux. Nantais et Nancéens étaient là aussi et pour ne pas perdre les bonnes volontés, cette Grande Confiture des Jeux était ouverte à la communauté online. Le résultat de ce grand bain de créativité non-stop en simultané : 21 jeux présentés. Un à Nancy, six à Nantes, idem à Paris et huit online.

Demos et protos

Les prototypes les plus aboutis en termes de « party game » ont été présentés sur le stand Game Dev Group à Geekopolis, en faisant tourner les jeux pour plus de variété. De la jam de Paris, Catfight Royale, Kingsmaker, Loupcorne et Disco King ont été montrés. De Nantes, c'étaient A Kings Life, Trône et The Londoner's Dad. De Nancy, Brawl4Throne et des jammeurs online, King of the World et All hail the tim.

Feedbacks

D'après Aymeric Girault d'Epitech Nancy (promo 2016) et présent à Geekopolis pour montrer Brawl4Throne, « les gens étaient assez curieux au départ mais de loin, sauf que quand ils venaient jouer, ils hallucinaient qu'on ait réussi à sortir en deux jours des jeux qui se jouent ». Rien que cela, c'est déjà beaucoup.

L'Epitech Innovation Hub est ouvert, il a été présenté le 4 juin à un public de journalistes, d'entreprises et d'institutionnels. Après les discours de Fabrice Bardèche, vice-président exécutif de IONIS Education Group et Emmanuel Carli, directeur général de l'Epitech, les acteurs de l'innovation numérique, l'écosystème de l'école ont pu découvrir notre espace de co-working autour de démos présentées par les étudiants dans un esprit de partage convivial.

Un espace interface

L'Epitech Innovation Hub est un lieu ouvert à destination de tous les acteurs de l'innovation numérique. Son rôle est de favoriser les contacts et les interactions entre ces acteurs et nos 4400 étudiants. Entreprises, organisations et cellules Innovation peuvent toucher du doigt l'énergie créative de l'école, pour se rencontrer, travailler ensemble et nouer des partenariats. Le hub est une passerelle.

Un incubateur de talents

Côté école, les étudiants viennent au Hub pour développer leurs projets, prendre conseil auprès de nos tech'mentors et se lancer dans l'exploration de nouvelles solutions logicielles et de nouveaux usages. Certains vont créer des communautés centrées sur leurs technologies de prédilection, tels les Game Dev group et Google group, puis travailler ensemble sur ces univers.

Du bac à sable à la maturité

A partir d'idées disruptives et du matériel de pointe mis à leur disposition (imprimante 3D, Google Glass, Oculus Rift etc.), l'Epitech Innovation Hub fait germer les graines de l'innovation. En cherchant, en testant, en échouant d'abord pour enfin trouver. Puis, après cette séquence « sandbox », en implémentant ces idées devenues réalités.

Un problème ?

Bouygues Construction s'est adressée au Google group pour résoudre une problématique particulière, celui des chantiers ouverts. Quand de longues distances sont en jeu, il est fastidieux pour les responsables sécurité de vérifier les badges de tous ceux qui y travaillent avec une tablette et une liseuse de badges RIFD.

(Vincent Nëel, promo 2016, Google group)

Une solution !

Le Google group conçoit alors une solution basée sur les Google Glass et des QR Codes sur les casques et identifier chacun (photo, statut, nom de société, habilitations, autorisations de conduite etc.). Cette appli a permis aux responsables sécurité de gagner un temps fou sur le terrain, de même que d'avoir un rapport moins intrusif avec les personnels lors de leurs inspections. Il faudra tendre l'œil dans un avenir proche pour voir ce type de lunettes à réalité augmentée sur les chantiers.

Cyril Conraud et Stéphane Gleizes (Epitech Lyon, promo 2015 tous les deux) valorisent leur quatrième année au sein de la California State University de Long Beach en participant à certains des hackathons parmi les plus renommés de la région de Los Angeles.

Deux marathoniens du hackhaton

Déjà présents au LA Hacks, le plus gros challenge du genre organisé aux Etats-Unis ayant démarré à UCLA, ils ont rempilé pour une nouvelle session de trois jours, à l'occasion du Burbank Game + Hack. C'est ici qu'ils ont gagné le prix Creativity & Innovation de l'Open Challenge.

Burbank, entertainment city

Surnommée la capitale mondiale des médias aux E-U, la ville de Burbank (comté de L.A.) a organisé ce hackathon en partenariat et dans les locaux de Nickelodeon, le célèbre studio d'animation situé dans cette ville. Le troisième partenaire était le YMCA de Burbank. C'est dans ce contexte que Cyril et Stéphane se sont amusé en toute intensité à produire un prototype de jeu ludo-éducatif.

Serious game

Dr Atom est une manière attrayante d'initier les enfants à la chimie, ceux qui n'en ont pas encore commencé l'étude à l'école, les 9/12 ans. Comment ? En prototypant un jeu vidéo qui fait débuter le joueur par l'achat d'atomes (oxygène, hydrogène...), pour ensuite créer des molécules en les assemblant. Le but est d'arriver à combiner suffisamment de molécules pour reproduire l'équivalent chimique des produits quotidiens, comme le vinaigre ou le sucre.

Scientific fun

Avec l'argent gagné, on peut racheter de nouvelles formules chimiques pour avancer dans Dr Atom sans se rendre vraiment compte que cette exploration revient à apprendre... On peut aussi produire du carbone pour comprendre comment le maîtriser et le recycler, revendre les composants moléculaires dont on n'a plus besoin etc.

Apprendre en faisant

Tous ces éléments sont autant d'étapes pour amorcer l'apprentissage des sciences et de la chimie, et comprendre comment elle est reliée directement à la vie quotidienne - cette façon très concrète d'apprendre qui est d'ailleurs au cœur de la méthode Epitech, via la méthode projets...

Cyril et Stéphane ont fait l'unanimité avec Dr Atom, "très très bon" en français dans le texte selon le Mashery Developer Blog : "these guys hit it out of the park". C'est dit.